Cerne

Les Colchiques de Guillaume Apollinaire Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s'empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-la Violatres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent les colchiques

pouvons remarquer son champ lexical : « yeux » (v.5, 7), « cerne » (v.4, 6), « paupières » (v.1). Cependant, il détourne l’image de la femme. Au XVIe siècle elle était souvent comparée à une fleur, ici aussi mais elle est du poison, il joue avec les règles de la poésie amoureuse. Pour finir, aux vers 4 à 6, les comparaisons « Le colchique couleur de cerne et de lilas y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-là violâtres comme leur cerne et comme cet automne » sont difficiles à comprendre, il est

cris, mes pauvres cris perdus. Verhaeren Emile, Les Débâcles, 1888. Les Colchiques Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s'empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-la Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent les colchiques qui sont comme

renouvelle-t-elle le lyrisme élégiaque?Les colchiquesPonctuationLiaisonsLe pré est vénéneux, mais joli en automne. 1 (12)Les vaches y paissant, (6)Lentement s'empoisonnent. (6)Le colchique, couleur de cerne et de lilas (12)Y fleurit. tes yeux sont comme cette fleur-là. 5 (12)Violatres comme leur cerne et comme cet automne, (13)Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne. (12)Les enfants de l'école viennent avec fracas; (13)Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica, (14)Ils cueillent les colchiques

préssence incongrue du verbe s’empoisonner marque l’expression d’une menace surnoise.Le participe présent marque la simultanisation des actions.Le vers 4 introduit la plante qui donne son nom au poeme :Le colchique Le mot cerne prete a confusion,Appolinaire joue sur la polysemie du mot cerne qui peut être associe a la fatigue provoque par la plante mais aussi comme ananeau de croissance sur les végétauxOn remarquera que le lilas est un plante de couleur mauve qui est associe au deuil ,cela renforce cette

s’empoisonne vii. Tradition du lyrisme avec la comparaison d’une femme à une fleur, la fleur est caractérisée avant qu’on parle de la femme1. Comme un blason de la femme aimé puisqu’elle est décrite uniquement par ses yeux viii. Couleur de cerne et de lilas, violâtre comme leur cerne, comparaison de description, côté péjoratif Séance 3 Etude : le lyrisme Remarque initiale : le lyrisme · Tous ce qui est rapport au sentiments · Pas forcément triste · Elégiaque c’est pour les sentiments négatifs · Amoureuse · Font

Gogh, ERMONT Étape 6 : figuré linéaire = réalisation d'un cerné rouge vif, feutre épais. M. CERNIGOJ 2015, lycée Van Gogh, ERMONT Étape 7 : figuré linéaire orienté= réalisation de flèches rouges, feutre fin. M. CERNIGOJ 2015, lycée Van Gogh, ERMONT Étape 8 : figurés linéaires = encadrement accompagné de flèches, feutre épais et feutre fin. M. CERNIGOJ 2015, lycée Van Gogh, ERMONT Étape 9 : figuré linéaire = renforcement du cerné rouge des EU, pour rééquilibrer par rapport au rectangle bleu

coupe. Tous les semis (n = 57) ont donc été inclus dans la classe d’âge Réaction à l’ouverture i) Croissance radiale à la base du tronc La Fig. 2 montre les patrons de la variation annuelle moyenne de la croissance radiale (largeur moyenne du cerne produit à la base du tronc) pour les semis récoltés à la forêt Montmorency (2a) et ceux en Abitibi (2b). Les patrons sont similaires pour les deux populations. Avant la coupe (à gauche du pointillé), la croissance radiale variait peu d’une année

contour des yeux. La paupière supérieure et la paupière inférieure servent à protéger l'oeil et à répartir les larmes qui forment le film lacrymal, sur toute la surface de l'oeil. Le cerne est une zone très mobile et très sollicitée à chaque fois que l'on pleure, que l'on sourit, ou que l'on plisse les yeux. Le cerne est aussi la zone la plus fragile du visage. Cette zone est recouverte d'une peau qui est cinq fois plus fine qu'ailleurs. Elle contient moins de fibres de soutien. Et avec l'âge, nos

coordination « mais » qui traduit aussi une valeur d'opposition. Ce poème met en scène un paysage bucolique et plein de charme. En effet, la beauté est mise en avant par l'utilisation du champ lexical du regard : « yeux », « paupières », « couleur de cerne  et lilas ». A la beauté de ce cadre campagnard s'ajoute une ambiance de gaieté produite par un événement clé de l'automne : la rentrée des classes. Ces enfants animent bruyamment le pré en jouant de l'harmonica. Ils ne produisent probablement par