César de la meilleure actrice

étaient mêlées à ces gens. Une d'elles était jolie, souriante, parée, et avait l'air d'une cocotte; sa voisine, au masque tragique, ridée, parée aussi d'une façon sévère, portait ce quelque chose de fripé, d'artificiel qu'ont, en général, les anciennes actrices, une sorte de fausse jeunesse éventée, comme un parfum d'amour ranci. La troisième femme, en deuil, se tenait dans un coin, avec une allure de veuve désolée. Duroy pensa qu'elle venait demander l'aumône. Cependant on ne faisait entrer personne, et

mêlées à ces gens. Une d’elles était jolie, souriante, parée, et avait l’air d’une cocotte ; sa voisine, au masque tragique, ridée, parée aussi d’une façon sévère, portait ce quelque chose de fripé, d’artificiel qu’ont, en général, les anciennes actrices, une sorte de fausse jeunesse éventée, comme un parfum d’amour ranci. La troisième femme, en deuil, se tenait dans un coin, avec une allure de veuve désolée. Duroy pensa qu’elle venait demander l’aumône. Cependant on ne faisait entrer personne, et

mêlées à ces gens. Une d’elles était jolie, souriante, parée, et avait l’air d’une cocotte ; sa voisine, au masque tragique, ridée, parée aussi d’une façon sévère, portait ce quelque chose de fripé, d’artificiel qu’ont, en général, les anciennes actrices, une sorte de fausse jeunesse éventée, comme un parfum d’amour ranci. La troisième femme, en deuil, se tenait dans un coin, avec une allure de veuve désolée. Duroy pensa qu’elle venait demander l’aumône. Cependant on ne faisait entrer personne, et

tâche à laquelle elle s’est attelée en la plaçant au-dessus du travail – pourtant ô combien noble et exigeant ! – de traduction et d’interprétation des textes antiques. Elle passe donc par le littéraire – écrits de l’Antiquité – pour se revendiquer actrice d’un renouvellement d’inspiration fondé sur le matériau oral. 2. Imitation et création dans une œuvre littéraire Chrétien revendique le travail poétique de mise en forme (le « bien dire », la « fort belle composition ») ainsi que l’effort de restituer

mêlées à ces gens. Une d’elles était jolie, souriante, parée, et avait l’air d’une cocotte ; sa voisine, au masque tragique, ridée, parée aussi d’une façon sévère, portait ce quelque chose de fripé, d’artificiel qu’ont, en général, les anciennes actrices, une sorte de fausse jeunesse éventée, comme un parfum d’amour ranci. La troisième femme, en deuil, se tenait dans un coin, avec une allure de veuve désolée. Duroy pensa qu’elle venait demander l’aumône. Cependant on ne faisait entrer personne, et

mêlées à ces gens. Une d'elles était jolie, souriante, parée, et avait l'air d'une cocotte ; sa voisine, au masque tragique, ridée, parée aussi d'une façon sévère, portait ce quelque chose de fripé, d'artificiel qu'ont, en général, les anciennes actrices, une sorte de fausse jeunesse éventée, comme un parfum d'amour ranci. La troisième femme, en deuil, se tenait dans un coin, avec une allure de veuve désolée. Duroy pensa qu'elle venait demander l'aumône. Cependant on ne faisait entrer personne, et

mêlées à ces gens. Une d’elles était jolie, souriante, parée, et avait l’air d’une cocotte ; sa voisine, au masque tragique, ridée, parée aussi d’une façon sévère, portait ce quelque chose de fripé, d’artificiel qu’ont, en général, les anciennes actrices, une sorte de fausse jeunesse éventée, comme un parfum d’amour ranci. La troisième femme, en deuil, se tenait dans un coin, avec une allure de veuve désolée. Duroy pensa qu’elle venait demander l’aumône. Cependant on ne faisait entrer personne

mêlées à ces gens. Une d'elles était jolie, souriante, parée, et avait l'air d'une cocotte; sa voisine, au masque tragique, ridé, parée aussi d'une façon sévère, portait en elle ce quelque chose de fripé, d'artificiel qu'ont, en général, les anciennes actrices, une sorte de fausse jeunesse éventée, comme un parfum d'amour ranci. La troisième femme, en deuil, se tenait dans un coin, avec une allure de veuve désolée. Duroy pensa qu'elle venait demander l'aumône. Cependant on ne faisait entrer personne, et

ordre : Un ivrogne gagne sa vie, dans une petite ville, à donner des leçons. Avec le temps on apprend son vice et, de ce fait, il perd une grande partie de ses élèves. On charge un ami de l'engager à la sobriété. a Voyez, vous pourriez avoir les meilleures leçons de la ville, si vous renonciez à la boisson. Faites-le donc. » - « Comment, répond l'autre indigné, je donne des leçons pour boire, et il me faudrait ne plus boire pour avoir des leçons ? » Ce mot joue également la logique, comme le mot a

majoritairement animiste, toute forme d’anormalité (handicap inné ou gémellité) étant signe de puissance surnaturelle, tout individu de cet acabit est censé disposer d’un pouvoir divin. Ce dernier est capable de changer l’existence ou de la rendre meilleure en résolvant tous les problèmes. Il est clair que ce narrateur, pétri des cultures occidentale et africaine, dévoile ainsi implicitement que dans toutes les régions du monde, l’homme est un intermédiaire entre les dieux et la nature. Il peut,