C'est la fin

• Présentation de l’extrait : c’est la fin du roman. Jeanne et Rosalie viennent de prendre en charge la petite fille de Jeanne, c’est-à-dire la fille de son fils Paul. Les deux femmes, en compagnie du bébé, font le trajet retour vers la maison de Jeanne (ce n’est plus la maison des Peuples, car l’héroïne a été obligée de la vendre). • Lecture expressive. • Annonce des axes de lecture : 1. Les échos avec l’incipit. 2. Une fin ouverte. Axe de lecture n°1 : Les

Question sur 8 points : Quelles relations entretient l’œuvre avec son titre. Fin de Partie, est l’une des œuvres les plus connues de Samuel Beckett. Pièce de théâtre écrite en 1957 en français, à Londres. Elle met en scène quatres protagonistes handicapés physiquement, qui sont enfermés dans un espace clos, l’extérieur quant à lui semble abandonné. Le titre anglais du livre, Endgame, est un terme propre au jeu d’échec, jeu, que pratiquait Beckett. Nous allons d’abord constater qu’il

enfant est toujours pire que la mort d’un adulte car c’est l’éventail de possibilités et de promesses qui s’en vont en même temps que lui. -« Tout ce que nous faisons qui n’est pour nous que le moyen d’obtenir quelque chose » : ces choses que nous suivons, nous ne les poursuivons pas pour elles-mêmes mais pour une autre chose qu’elles-mêmes : c’est une vie absurde. Une chose est toujours le moyen d’une fin, qui est le moyen d’une autre fin, et ainsi de suite. Si la vie était réduite à ses buts

une signification bien précise qui signifie : le commencement et la fin, ou encore le premier et le dernier. On pourrait se demander pourquoi c’est deux lettres sont telles à l’origine d’une telle expression et quelles sont les différentes valeurs que prenne cette expression? Mais aussi si c’est deux lettres qui correspondent au commencement et à la fin de quelque chose, s’il y a toujours une limite, ne peut-on jamais dépasser une fin ? Ainsi l’alpha et l’oméga de mon commentaire sera par exemple :

meilleure manière à tout moment. Pour Machiavel, agir comme il le faut, c’est tirer profit de toute situation pour réaliser ses objectif. Donc, pour lui, la fin justifie les moyens. La virtù, c'est donc le courage d'être sans état d'âme ni remord. La fin justifie les moyens, c’est le principe selon lequel le but excuserait les actions commises pour l’atteindre. Donc si nous reprenons les idées de Machiavel, on peut se dire que la fin justifie les moyens, mais il ne faut pas se focaliser sur la phrase

Fin de partie, de Samuel Beckett. Qui était Samuel Beckett ? * Né à Dublin. * Grandit dans une famille protestante et très croyante. * Dégoût de tout ce qui touche le corps. * Hantise du pêché. * 1928 : il quitte l’Irlande pour Paris afin de devenir assistant / lecteur en anglais. * Il tombe amoureux de la France et fréquente les intellectuels dont les surréalistes. * Il démissionne de l’université et commence une vie d’errance en voyageant beaucoup. * Il écrit

Le Bonheur est-il l'unique fin désirable ? Le bonheur est souvent conçu comme étant une fin ultime de l'homme, c’est à dire l'eudémonisme. Dans la mesure où le bonheur est défini comme le souverain bien, il se distingue des fins partielles, des fins qui deviennent des moyens pour atteindre des fins plus élevées, comme la richesse. Le bonheur est la fin la plus haute, une fin que l’on recherche pour elle-même, une fin en soi. Mais nous ne connaissons rien de la nature du bonheur. Selon l'opinion

disant «  la vie sans toi sera néantisée ». Artémis La Treizième revient… C’est encor la première; Et c’est toujours la seule, ou c’est le seul moment; Car es-tu reine, ô toi ! la première ou dernière ? Es-tu roi, toi le seul ou le dernier amant ?… Aimez qui vous aima du berceau dans la bière ; Celle que j’aimai seul m’aime encor tendrement : C’est la mort, ou la morte… O délice ! ô tourment ! La rose qu’elle tient, c’est la Rose trémière. Sainte Napolitaine aux mains pleines de feux, Rose

enfant est toujours pire que la mort d’un adulte car c’est l’éventail de possibilités et de promesses qui s’en vont en même temps que lui. -« Tout ce que nous faisons qui n’est pour nous que le moyen d’obtenir quelque chose » : ces choses que nous suivons, nous ne les poursuivons pas pour elles-mêmes mais pour une autre chose qu’elles-mêmes : c’est une vie absurde. Une chose est toujours le moyen d’une fin, qui est le moyen d’une autre fin, et ainsi de suite. Si la vie était réduite à ses buts

voit souvent de très bonne histoire avec une fin inattendue, Cependant, «une bonne histoire, comporte-t-elle toujours une fin inattendue ?» Est-ce que l'on est déçu d'une histoire avec une fin tant attendue ? Ou alors, une fin attendue fait elle une mauvaise histoire? Tout cela dépend certainement du lecteur. Une fin attendu fait t elle une mauvaise histoire? Le lecteur se fait inconsciemment au début de l'histoire, une idée de la fin, donc si cette fin correspond à celle du lecteur, l'histoire reste