Chale

pitié car elle vit dans la misère et la pauvreté. En effet, à la ligne 2 on nous dit qu'elle est vêtue d'une « camisole ». D'où l'importance du champ lexical des habits  : « un vieux chapeau » l.24, « des chemises et des chaussettes sales » l.25, « un châle troué » l.26, « un pantalon mangé par la boue » l.26 et 27 et « les dernières nippes dont les marchands d'habits ne voulaient pas » l.27 et 28. De plus, déjà qu'elle n'a rien à se mettre sous la dent, Zola la compare à un animal quand il dit « la malle

idée, prendre les mémoires écrits par Ida pour qu’elle revive. 5- A l’aide de son couteau suisse, Guillaume ouvrit la porte de l’appartement de la vieille dame. Il n’alluma pas la lumière pour ne pas être vu et emporta rapidement le cahier et le châle d’Ida. 6- Un jour alors qu’il était en train de lire le cahier contenant les mémoires d’Ida, on vint sonner à la porte de sa chambre. C’était Doudou, un de ses camarades. Guillaume décida de lui raconter l’histoire de la vieille dame et d’Ida. Doudou

Et toujours inlassablement, les murs de briques sordides » « Nabots d’aspect miteux » (3) « Les joues trempées de larmes » « Elle éclata en sanglots » « Le coulée noire des boulevards extérieurs » « misérable chambre garnie » « un châle trouée » « Une commode de noyer dont un tiroir manquait » (6) « Viens on va se mettre devant le Franprix. C’est ma gâche là- bas. » « Je me disais que tu sentais encore le savon » « C’est pour le bébé » « Mon public aime cette

personnage de Cassandre, les différents metteurs en scène ont voulu faire apparaître au spectateur. Dans cette première mise en scène de Peter Stein en 1980, on peut observer que sur la première image Cassandre est habillée d'une robe et d'un châle blanc symbolisant la pureté contrairement au chœur qui tend vers des couleurs sombres et des habits modernes tel un deuil porté envers Iphigénie ou les Atrides. Le fait qu'elle soit assise la main paume en avant peut signifier un signe de refus par

chapeau d’homme enfuit sous des chaussettes sales ". Le laisser aller de Gervaise est présent : elle est en chemise et en savates. Toute cette description s’accompagne du champ lexical de la misère (lambeau, flèche attachée au plafond par une ficelle, châle troué, les dernières nippes) L’univers de Gervaise est comparable à celui que Zola a connu (il a vécu dans un hôtel misérable), Zola est donc ici quelque peu metteur en scène : il plante un décor pour montrer comment vivaient les ouvriers. Mais la

approcher l'être aimé Bien que fasciné le personnage ne reste pas immobile. Il cherche à masquer son émotion, puis à trouver un endroit d'où il pourra la contempler discrètement. Il cherche à s'approcher et saisit l'occasion du châle qui tombe. Le portrait d'une inconnue découverte progressive de l'autre, la fonctions réaliste et esthétique du portrait : La description est précise et permet au lecteur d'imaginer la figure féminine: une vue d'ensemble

un effort de style dans la version romanesque (texte B) - Nous sommes face à deux éloges - Deux scènes de 1ere rencontre (= un cliché dans la littérature) - Une intrigue quasi identique : la même anecdote. Texte A = perte du manteau, texte B = châle qui s’échappe (plus poétique). - Récurrence des mêmes détails - Expressions ou mots proches On pouvait évidemment montrer en quoi la réécriture était plus riche : structure améliorée (expl : les paroles qui matérialisent le personnage sont reléguées

un effort de style dans la version romanesque (texte B) - Nous sommes face à deux éloges - Deux scènes de 1ere rencontre (= un cliché dans la littérature) - Une intrigue quasi identique : la même anecdote. Texte A = perte du manteau, texte B = châle qui s’échappe (plus poétique). - Récurrence des mêmes détails - Expressions ou mots proches On pouvait évidemment montrer en quoi la réécriture était plus riche : structure améliorée (expl : les paroles qui matérialisent le personnage sont reléguées

enfant. Il voit des paysages, des matins lumineux, la marche lente et paisible des buffles dans les rizières, l’ombre ployée des grands banians1 à l’entrée de son village, la brume bleue qui descend des montagnes vers le soir, à la façon d’un châle qui glisse doucement sur les épaules. Le lait qu’il donne à l’enfant coule sur le bord de ses lèvres. Monsieur Linh n’a pas l’habitude encore. Il est maladroit. Mais la petite fille ne pleure pas. Elle retourne au sommeil, et lui, il revient vers

parfois bordée de pourpre et brodée dans le bas. Cette stola est drapée autour des épaules, ramenée un peu au-dessus de la taille et un pan est porté sur l'avant-bras gauche. Quand elle sort, la femme drape sur la stola une palla, sorte de très grand châle couvrant les épaules et descendant jusqu'à la taille. En public, ou pour se protéger du soleil, elle peut ramener sur sa tête un pan de la palla. Les Romaines portaient des sous-vêtements, simple rectangle cousu en tube et épinglé sur les épaules