Chale

flèches) et est coiffée d'une tiare en forme cylindrique et surmontée d’un disque radié, emblème du divin. Celui-ci évoque la dimension astrale d'Ishtar, à laquelle est associée la planète Vénus. Son costume,  constitué d’une tunique courte et d’un châle frangé dégageant une jambe, est masculin. Dans la plupart des mythes qui la concernent, elle est décrite comme une déesse impitoyable qui pouvait tuer ses ennemis comme ses amis ou ses amants. Elle fut identifiée à la déesse phénicienne Astarté ou

de sa fourrure, cela fait partie de la vie. Nous même nous dévorons entre nous pour assouvir notre faim. C’est naturel, c’est ainsi écrit. Mais vous êtes fautifs de l’extinction entière d’espèces animales, juste pour la futilité de se décorer d’un châle de fourrure que vous appellerez ensuite « Channel » pour en augmenter sa valeur. Ce mépris de la nature en devient obscène ! A-t-on déjà vu une lionne chasser plus de gibier qu’elle n’en avait besoin, juste pour se vanter de ses talents de chasseresse

sui s’ensuivent sont consacrés au suicide raté de Pauline avec la répétition de l’adverbe « vainement » => son abnégation est proprement sublime. · (« déchirer son sein »= image christique, symbole du pélican ) + (« s’étrangler avec son châle » = dimension mélodramatique) + (« si je meurs ; il vivra » = équation fatale) => Pauline apparaît comme l’incarnation de la perfection. · PHRASE 3  : Caractérisation du désir érotique échevelé et « dans cette

majorité religieuse (plus de treize ans). Trois offices publics sont récités quotidiennement : la prière du matin (chaharit), celle de l’après-midi (minha), et celle du soir (arvit). A l’office du matin, les fidèles se couvrent les épaules du tallit, un châle rectangulaire garni de franges, et doivent porter le teffilin (« phylactères »), cubes de cuir noir contenant quatre versets de la Torah, qu’ils s’attachent sur le front et au bras gauche. Sur le linteau de la porte, il faut apposer une mezouza, parchemin

le ciel bas et les grands ombres des taciturnes qui montent et qui descendent Je suis couché dans un plaid Bariolé Comme ma vie Et ma vie ne me tient pas plus chaud que ce châle écossais Et l'Europe toute entière aperçue au coupe-vent d'un express à toute vapeur N'est pas plus riche que ma vie Ma pauvre vie Ce châle Effiloché sur des coffres remplis d'or Avec lesquels je roule Que je rêve Que je fume Et la seule flamme de l'univers Est une pauvre pensée... Cendrars Prose du Transsibérien

chasse, plus joli fusil, le plus joli couteau, la plus jolie gaine de Paris. Il emporta sa collection de gilets le plus ingénieux : il y en avait de gris, de blancs, de noirs, de couleur scarabée, à reflets d’or, de pailletés, de chinés, de doubles, à châle ou droits de col, à col renversé, de boutonnés jusqu’en haut, à boutons d’or… » « Au rez-de-chaussée de la maison, la pièce la plus considérable était une salle dont l’entrée se trouvait sous la voûte de la porte cochère… Cette pièce, dont les deux

cette couleur aimée des jeunes Romaines, – et dont elle faisait, en marchant, miroiter et crier les plis glacés et luisants, comme un appel aux armes ! Exagérément cambrée, comme il est rare de l'être en France, elle s'étreignait dans un magnifique châle turc à larges raies blanches, écarlate et or ; et la plume rouge de son chapeau blanc – splendide de mauvais goût – lui vibrait jusque sur l'épaule. On se souvient qu'à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux, qu'elles

164: ○ Minji se rend au village des coureurs des bois ○ Il "ne voit pas la terreur et de chao autour de lui". ○ Ti-Trou a dit à Minji: "Va-t'en, ils vont te tuer." ○ Minji regarde le ciel, en disant a Ikwe qu'il sent vient la rejoindre, en tendant le châle rouge d'ikwe ○ Bert Côté courrait vers MacIntosh qui s'approchait de Minji ○ MacIntosh à tirer sur Minji Nouvelle section 1 Page 4

couleur aimée des jeunes Romaines, — et dont elle faisait, en marchant, miroiter et 5 crier les plis glacés et luisants, comme un appel aux armes ! Exagérément cambrée, comme il est rare de l'être en France, elle s'étreignait dans un magnifique châle turc à larges raies blanches, écarlate et or ; et la plume rouge de son chapeau blanc – splendide de mauvais goût – lui vibrait jusque sur l'épaule. On se souvient qu'à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux

fourreaux traditionnels cèdent peu à peu la place au costume occidental, le lamba reste le vêtement  emblématique des Malgaches, pouvant aussi se changer en sac, en couverture, et en porte-bébé. Ce grand rectangle de coton ou de soie, porté comme un châle ou un cape, accompagne hommes et  femmes toute leur vie durant. Les beaux lamba (lambamena) sont réservés aux défunts. Lamba Pièce principale du costume traditionnel malgache, le lamba (tissu) résume tout un art de vivre. Selon qu’il est en rofia