Champ Lexical Prison

tièdes rivières, ces beaux champs couverts de moissons » « toute cette nature splendide de jeunesse ». Ensuite il dit à Rosette : « la pluie du matin roule en perles sur les feuilles séchées que le soleil ranime. » cette phrase peut faire penser à l’hiver «  la pluie du matin », a l’automne « feuilles séchées » mais aussi a l’été « le soleil ranime ». Ensuite Musset fait le champ lexical de l’eau : « fontaine » « eau » « troublée » « surface », il fait aussi le champ lexical de l’éclairage : « lumière »

amoureuse est évoquée ? Nous pouvons remarquer tout au long des trois extraits un vocabulaire «  amoureux » notamment relevé grâce à la présence de champs lexicaux. Par exemple nous pouvons retrouver dans la totalité des extraits le champ lexical de la beauté avec les termes : « belle » « ils sont si tendres » cf « yeux » et mais aussi le champ lexical du corps avec les termes : « yeux » « cœur » « oreille » etc… Cela marque la surprise et les émotions des personnages lors de leur rencontre amoureuse

3.1Champ lexical du vice et des péchés: "lésine", "péchés", "lâches", "débauché", "volons", "plaisir", "clandestin", "démon", "Satan", "viol", "poison", poignard", "incendie", "vices", "Ennui". L'homme comme individu dominé par la lassitude: champ lexical de la paresse "lâches", "oreiller", "berce", "débauché". L'homme est emporté: "C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent", "Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas". L’homme est déshumanisé, il n'est plus maître de son corps

coupe : l.35 3. Plan détaillé du développement FACULTATIF Paragraphe 1 Idée principale 1 Marqueur + idée : Premièrement, le préfet se dit certain que la lettre qu’il cherchait se trouve sur ces lieux. Preuve 1.1 (champ lexical) Thème : Une enquête Mots et source : recherche,cherché,examiné,police,cacher,examen Preuve 1.2 Procédé : Gradation descendante Citation (et source) : nous avons entrepris la maison de chambre en chambre, les meubles de chaque appartement

donc percevoir ces tyranneaux comme des amis du tyran, car ils sont désigné par La Boetie comme des “compagnons” mais ils semblent également partager le butin, car ils sont “les bénéficiaires de ses rapines” et profitent donc des biens du tyran. Champ lexical de l’armée : “ hallebardes” “gardes” “guet” “archers” “fantassins” “gens à cheval” La Boétie ne se contente pas de parler du tyran, il aborde également le sujet des personnes qui le protège et qui le soutiennent et qui font partie de l’armée.

personnage perdu?". Dans un premier temps nous aborderons le sujet d'une expérience douloureuse, traumatisante, pour ensuite nous pencher sur "comment ce passage fait le portrait d'un être perdu". Tout d'abord nous pouvons remarquer que le champ lexical de la violence est omniprésent dans ce passage avec: "bouscule, se fait bousculer" "foule de plus en plus violente" "enserre" "étouffe" "il ne voit plus rien, n'entend plus rien" "bombe" "corps éventrés" "village en feu" "cogne", cela renvoi à

condamné : dans les deux cas il n’est plus le maître de son destin. L’expression « bagnard est contraint à sa peine »insiste sur la souffrance liée à cet état avec l’association des termes bagnard et peine. Monsieur Linh est condamné à souffrir : le champ lexical de la douleur est présent avec les termes « bouscule », « violente », « enserre », « étouffe », «  éventrés ». Cette souffrance est progressive et elle devient de plus en plus grave car elle est liée à la mort. Ainsi la mort taraude le personnage

révèle être un paria. DEVELOPPEMENT I/ a-Tout d’abord, on peut constater que l’expression du rire est introduite sous ses differents aspects.En effet, sa description est réaliste. Il est « intime», fait partie de nous comme le souligne le champ lexical du corps humain : « bouche », « cou », « cœur ». La personnification du rire avec « grimacer » évoque la déformation physique qu’il peut entraîner. Il est associé à une sonorité par un vocabulaire musical : « timbre « , « musique », « Fantaisie

ommentaire composé rédigé Le monologue d’Hermione, Acte V scène 1 I/ La souffrance d’une héroïne 1) Une femme éperdue en pleineconfusion Champ lexical de la douleur (montre son désespoir et sa peine) → »chagrin », « douleur », « soupir » Questions rhétoriques (indiquent qu’elle est partie et dans un état de confusion)→ »où suis-je », « qu’ai-je fait », « ne puis-je savoir si j’aime ou si je hais » Une ponctuation expressive (qui marque la force des sentiments) ! 2) Une femme

Aussi moi j’aimerais au bras en avoir une, Je m’exalte, j’oublie… et j’aperçois soudain L’ombre de mon profil sur le mur du jardin ! » Apparition du champ lexical de la tristesse « Tu pleures ? » Il y a une apparition du registre comique, passage du registre comique au registre tragique (v.529). Le fait qu’il fasse rimer « j’aimasse » avec « limace » = antithèse comique (v.496) Registre comique :