Chancelier de l'Échiquier

17ème siècle, c’est le début des grandes découvertes. Le monde est plus large. Les progrès de la science semblent appeler une nouvelle philosophie. Bacon illustre parfaitement cette époque charnière. C’est avant tout un professeur de droit. Il sera chancelier et produti principalement une œuvre de philosophie des sciences. Il va donc vouloir théoriser « la méthode expérimentale ». Il veut substituer la théorie de l’expérience à la logique ancienne. Il ne veut plus se fonder sur la théologie. Il veut

de contrôle et de régulation. * Le gouvernement – le Cabinet : Le premier ministre, le cabinet au sens stricte et le gouvernement au sens large. Le premier ministre choisit les membres de son gouvernement, les plus importants comme le Chancelier de l’Echiquier (finances) ou la Ministre des affaires étrangères se retrouvent au sein du Cabinet. Tous les membres du gouvernement sont issus de l’une des chambres. Le gouvernement est une entité collégiale, soit collectivement responsable. Les décisions

conférence de BW était en fait le lieu où on allait assister à une recomposition de la hiérarchie monétaire internationale. Deux projets de réformes s’y confrontaient: • Le plan britannique défendu par l’économiste britannique KEYNES (et chancelier de l’échiquier à l’époque) • Le plan américain défendu par white (président de la réserve fédérale américaine). Sur le fond, ces deux plans défendaient l’idée de la mise en place d’un régime de change fixe et de la création d’une institution chargée

sans avoir la même importance que ds les pays restés attachés à Rome. Les cours de justice royales (Cours de Westminster) vont dégager ce droit commun. Les commissions à compétence juridictionnelle vont s'intéresser aux finances royales (Cour de l'échiquier), aux affaires relatives à la propriété foncière (Cour des plaids) et aux affaires relatives à la paix du royaume, à la criminalité grave (Cour du banc du Roi). Mais finalement chaque cour va empiéter sur l'autre. Toutes les autres affaires vont

d’échange) recherchent des liens plus serrés, une relation presque amicale à l’intérieur même de la Communauté, à l’image des rapports personnels entre leurs chefs respectifs, d’abord le président Giscard d’Estaing et le chancelier Schmidt, puis le président Mitterrand et le chancelier Kohl. Il lui semble aussi naturel que l’insularité de la Grande-Bretagne souligne encore une fois sa particularité, et sous-tend sa contribution à l’Europe : la Grande-Bretagne fait figure de nation forte qui ne peut

nationalisme est donc d’abord l’héritier de la révolution puis celui du traditionalisme prônant une redécouverte du passé et des particularités nationales. Sous la Restauration et le Second Empire, le nationalisme est situé plutôt à gauche sur l’échiquier politique. La première moitié du XIXe siècle a été celle du mouvement des nationalités dont 1848 fut le symbole. En Italie, en Allemagne, en Autriche, les peuples se sont soulevés pour réaliser l'unité nationale, prenant conscience de leur identité

son esprit de sacrifice pour la collectivité, il n’en va plus de même aujourd’hui. Le Japon échappe aux critères habituels de la puissance. Son rang de deuxième économie mondiale et son rayonnement lui donnent une place importante sur l'échiquier mondial, même sans possession de l'arme nucléaire ou d'un siège au conseil de sécurité des Nations Unies. Aujourd'hui, le Japon a acquis par l'exportation des produits de son industrie culturelle (mangas, jeux vidéos, musique...) une influence mondiale

1922. À partir des articles qu'il rédige à cette occasion, il composera son Essai sur la réforme monétaire (1923), critique de la théorie monétaire classique où il prône l'abandon du système de l'étalon-or. Lorsque Winston Churchill, alors Chancelier de l'Échiquier annonce le retour à l'étalon-or à la parité d'avant-guerre, Keynes écrit Les Conséquences économiques de M. Churchill (1925), où il prédit que cette parité sera impossible à maintenir, ce qui entraînera une crise mondiale. Keynes, reconnu

l’importance des principes de liberté individuelle. Mais surtout, conscient du décalage qui subsiste entre l’évolution industrielle de la nouvelle Grande Bretagne d’une part, et l’archaïsme politique de son système politique d’autre part, poussent le chancelier libéral Russel à concevoir dans les années 1850 un nouveau projet de réforme électorale. S’inspirant pour beaucoup du Reform Act de 1832, le projet libéral vise à permettre à une part plus importante de la population britannique (et non uniquement

femmes au foyer. Cette approche caractérise en particulier la campagne électorale de 1924, au cours de laquelle l’attention se porta sur les efforts du gouvernement travailliste en faveur du « petit-déjeuner gratuit ». Philip Snowden, alors chancelier de l’Échiquier, affirmait ainsi avoir mis en œuvre un « budget de la ménagère », réduisant les taxes sur la nourriture de trente millions de livres 6. Le Parti travailliste dénonçait le programme économique des conservateurs, opposé selon lui aux intérêts