Chanson d'automne

affective) comme le souligne la répartition des mots « blesse », « cour », « longueur », « monotone » qui s'appliquent à la fois au domaine affectif et au domaine physique. La rime « automne », « monotone » qui apparaît chez Baudelaire (dans chant d'automne) souligne la caractéristique de cette strophe, douceur douloureuse. Lenteur, harmonie, due aux répétitions (allitérations) et à l'absence de ponctuation. II. DEUXIEME STROPHE On note le changement de ton et l'absence apparente de lien logique

Dans chanson d’automne, Paul Verlaine, se sert en réalité de l’automne comme prétexte afin d’extérioriser sa mélancolie. Il tisse un lien étroit entre le paysage et son fort intérieur. Intéressant passage de la nature à l’homme, si proches qu’ils s’en confondent… Dès le premier vers le ton du poème est donné. En recourant au vers court, Verlaine, donne au texte des sonorités musicales. Les violons du deuxième vers rappellent la musicalité dont fait preuve l’auteur. Le vocabulaire utilisé est simple

Commentaire composé – Chanson d’automne Paul Verlaine Paul Verlaine est l’une des grandes figures de la poésie du XIXeme siècle. Dès son adolescence il est guidé vers la littérature et influencé par son entourage pour travailler dur et rédiger des œuvres purement réfléchies. Après avoir fréquenté cafés et cercles littéraires et étant un grand admirateur de Baudelaire, il publie son premier recueil, Poèmes saturniens, en 1866, à 22 ans. Ce nom est dû à l’influence de Saturne sur ceux qui sont

affective) comme le souligne la répartition des mots « blesse », « cour », « longueur », « monotone » qui s'appliquent à la fois au domaine affectif et au domaine physique. La rime « automne », « monotone » qui apparaît chez Baudelaire (dans chant d'automne) souligne la caractéristique de cette strophe, douceur douloureuse. Lenteur, harmonie, due aux répétitions (allitérations) et à l'absence de ponctuation. II. DEUXIEME STROPHE On note le changement de ton et l'absence apparente de lien logique

affective) comme le souligne la répartition des mots « blesse », « cour », « longueur », « monotone » qui s'appliquent à la fois au domaine affectif et au domaine physique. La rime « automne », « monotone » qui apparaît chez Baudelaire (dans chant d'automne) souligne la caractéristique de cette strophe, douceur douloureuse. Lenteur, harmonie, due aux répétitions (allitérations) et à l'absence de ponctuation. II. DEUXIEME STROPHE On note le changement de ton et l'absence apparente de lien logique

Introduction Amorce : « Chanson d'automne » fait partie des Poèmes saturniens, premier recueil de poèmes publié par Paul Verlaine en 1866. Il est le cinquième poème de la partie intitulée « Paysages tristes ». Ce texte précède de huit ans le fameux « Art Poétiques » (1874) qui sera considéré comme le Manifeste symboliste. Présentation : Paul Verlaine naît en 1844. Il fait des études médiocres à Paris, mais il est passionné de dessin et de littérature. Après l'obtention de son bac, il hante

Chant d'automne pour erlaine, qui ont de nombreuses similitudes. Mais ont-ils également des différences ? Nous verrons donc, en premier lieu, les ressemblances de ces deux poèmes, avant d'éxaminer leurs différences. Tout d'abord, on remarque que les titres des deux poèmes se ressemblent : le poème de Baudelaire s'appelle Chant d'automne et celui de Verlaine s'appelle Chanson d'automne. La saison est la même mais la musique de cette saison est différente: on a un chant et une chanson. Ces deux

gloire populaire et la reconnaissance de ses pairs. Le poète : Victor Hugo occupe une très grande place dans l’histoire des lettres françaises. Il est à la fois poète lyrique avec des recueils comme « Odes et Ballades » (1826) , « Les feuilles d’automne » (1832) ou encore « Les Contemplations » (1856), célèbres pour l’évocation de sa fille morte : Léopoldine. Il est aussi un poète engagé contre Napoléon III dans « Les Châtiments » (1853) ou poète épique avec «La Légende des Siècles (1859 et 1877)

trucs qui le plus part du temps sont incompréhensibles. Mon anthologie s'ouvrira sur une poésie intitulé Lorsque l'Enfant paraît extraite de Les Feuilles d'automne (1831) puis L’Enfance, Les contemplations (1856) qui nous permettra d'étudier le symbole des enfants et de l'enfance selon Victor Hugo. Nous poursuivrons notre étude avec Chanson pour faire danser en rond les petits enfants. C'est un extrait du recueil de L'art d'être grand-père (1877) de Victor Hugo. Un autre poème, toujours de Victor

drames, Marion de Lorme (1831), Le roi s'amuse (1832), Marie Tudor (1833), Lucrèce Borgia (1833), Ruy Blas (1838); et surtout quatre recueils de poésies, où il se montre maître dans l'expression lyrique des idées et des sentiments: Les Feuilles d'automne (1831), Les Chants du crépuscule (1835), Les Voix intérieures (1837), Les Rayons et les Ombres (1840). Victor Hugo est mort à Paris le 23 Mai 1885 à l’âge de 83 ans. Il fut enterré au Panthéon aux côtés de plusieurs grands personnages de l’histoire