Chapeau Chanel

toute la journée, le sol était recouvert d’une épaisse couche de neige. Mon père et moi avions décidé de faire un bonhomme de neige. Dès qu’il fut terminé, mon père alla chercher des accessoires pour l’habiller : une carotte pour le nez, un vieux chapeau de paille et deux marrons pour lui faire de jolis yeux. Je pris un vieux balai près du chalet. A mon retour, il me sembla que le bonhomme avait bougé les yeux. Je restai planté là, incrédule, ce n’était pas possible ! Alors que je fixais le balai

aussi tardive. Tout en profitant des derniers eclaircies, elle montra son sens du détail en brodant un foulard avec beaucoup d’attention. Elle leva les yeux au ciel et croisa ceux d’un homme difficile a distinguer. Elle mit la main sur son grand chapeau de paille par peur que la legere brise l’emporte. Il était vetu d’une manière tout a fait convenable et semblait etre une personne des plus normal mise a part le faite qu’il haussa les epaules sans aucunes raison. L’homme ne ralenissa pas sa marche

Présentation de l’œuvre : Cette œuvre s’intitule « Golconde ». Elle date du 20ème siècle, exactement elle a été peinte en 1953. Elle est une toile à l’huile de 100 cm* 80. Sur ce tableau, nous voyons un bonhomme habillé d’un costume noir et d’un chapeau melon tombe en averse en dizaines sur la ville. Le peintre explique ainsi le titre de ce tableau : « Golconde  était une ville magique. Une ville extraordinaire de richesse et de luxe. Et nous pensons que c’est une merveille que de voyager à travers

Deuxième partie. Charlot est un personnage comique, émouvant, maladroit, et devient fou dans ce film. Ses mimes sont drôles, il est souvent une victime. Mais malgré ses malheurs il reste positif. Il a une silhouette caractéristique : Il porte un chapeau melon, une moustache, un vieux costume trop grand, une canne, des chaussures trop grandes qui rappellent un clown et il a une démarche en canard. Il y a plusieurs thèmes dans ce film : la misère consécutive à la crise économique, la satire sociale

modèles des couturiers, dont les patrons s’affichent dans les journaux. Jean Patou, Rochas, Lanvin, Maison Doucet et Chanel se partagent le haut de l’affiche de la mode 1920. La femme des années 20 a une nouvelle silhouette : la minceur devient une référence et pour la première fois, le bronzage devient populaire. Elle porte les cheveux courts à la garçonne, qu’elle cache sous un chapeau cloche pour les sorties. La robe chemise fait une entrée très remarquée dans la garde-robe : elle est déclinée par

cinéma et la littérature Les femmes ont occupés une place extrêmement importante dans même le milieu culturel, elles sont devenues peintre, actrices ou encore auteurs reconnues ( Simone de Beauvoir, Elisabeth Badinter, Benoîte Groult, Gabrielle Chanel, Niky de St Phalle, Louise bourgeois... ). Louise Bourgeois, artiste et icône féministe Louise Joséphine Bourgeois est une artiste sculpteur et plasticienne , elle est considérées comme une influence importante pour les nouvelles générations

Président du Conseil René Viviani Il convient avant tout que les vêtements ne gênent pas. Il faut pouvoir marcher dans les champs, monter dans le tramway, travailler sur une machine (pas prévue pour une femme à la base), porter des colis… Coco Chanel (1883-1971) s’est sentie très touchée par les problèmes vestimentaires féminins, mais surtout par un réel désir de pouvoir faire les mêmes activités qu’un homme sans pour autant être arrêtée par sa tenue. Elle commence donc avec les chapeaux qu’elle

l’embauche. Ces inégalités s’expliquent à travers l’histoire de l’émancipation de la femme française des années 20 à nos jours. En effet, nombreux évènements, ou changements de mœurs rendent possible cette évolution des mentalités. Comme Gabrielle Chanel le dit elle-même : «La mode n’existe pas seulement dans les robes ; la mode est dans l’air, c’est le vent qui l’apporte, on la pressent, on la respire, elle est au ciel et sur le macadam, elle tient aux idées, aux mœurs, aux événements. » C’est

• Chapeaux : à l'époque, il était encore très mal vu de sortir tête nue ou en cheveux, chose que seules les femmes du peuple faisaient ; les femmes aisées et mêmes les plus simples bourgeoises ne se montraient jamais dans la rue sans porter de chapeau, accessoire essentiel. La Belle Époque a donné lieu aux constructions chapelières les plus extraordinaires, chargées de plumes, de faux fruits et de fleurs, rappelant dans un autre genre les extravagantes constructions capillaires des femmes de la

avait essuyé doucement avec son mouchoir ma figure d'enfant noircie par le voyage. Puis elle était rentrée faire le compte de toutes les ouvertures qu'il allait falloir condamner pour rendre le logement habitable... Quant à moi, coiffé d'un grand chapeau de paille à rubans, j'étais resté là, sur le gravier de cette cour étrangère, à attendre, à fureter petitement autour du puits et sous le hangar. C'est ainsi, du moins, que j'imagine aujourd'hui notre arrivée. Car aussitôt que je veux retrouver le