Mme Arnoux était assise, sur le seul banc qui etais baignait par le soleil par une heure aussi tardive. Tout en profitant des derniers eclaircies, elle montra son sens du détail en brodant un foulard avec beaucoup d’attention. Elle leva les yeux au ciel et croisa ceux d’un homme difficile a distinguer. Elle mit la main sur son grand chapeau de paille par peur que la legere brise l’emporte. Il était vetu d’une manière tout a fait convenable et semblait etre une personne des plus normal mise a part le faite qu’il haussa les epaules sans aucunes raison. L’homme ne ralenissa pas sa marche et se mit plus loin dans l’allée. Elle posa son bout de tissu sur ces genoux vetu d’une belle robe clair a petits pois et legerement plissée. Mme. Arnoux comtempla une chaloupe sur la riviere poussé par un doux vent. L’homme vint devant elle et fit quelques tours surement pour dissimuler sa venue. Puis il se positionna devant elle a cote de son ombrelle et la regarda d’un air crurieux. Il examina chaque petit detaille de son corp. Comme s’il regadait de sa taille jusqu’aux bouts de ses doights. Elle se demanda quesqui interpeller autant l’homme, esceque ce fut la robe qui le deplut ou attendait il qu’elle deplace son panier a ouvrage pour qu’il puisse s’asseoir a ses cotés ? C’était un bel homme, remplit de grace, et le ciel bleu ne fesait que accentuer les details de son visage. Il l’a regardait comme s’il idolatrait déjà, et elle sentait chez lui un desir de l’approchait et de ne plus la quitter.