Chapeau

Sa carrière durera plus de 65ans, du music-hall en Angleterre jusqu'à sa mort. Son personnage est Charlot pour les francophones. C'est un sans domicile fixe qui a des manières raffinés dignes d'un gentleman, muni d'une canne de bambou, coiffé d'un chapeau melon, vêtu d'une veste étriquée et d'un pantalon qui tombe sur des chaussures trop grandes. Cette allure lui vaudra la réputation de "vagabond" misérable et roué, associal et obstiné, révolté et sentimental. Il fut fortement inspiré par l'acteur

Claude-Henri Grignon Chapitre 1 Séraphin dit « le riche » a remarqué sa femme Donalda grâce à ses talents de bête de travail, leur rencontre p.26 Malheureuse sans amour charnel, elle se met à travailler sans arrêt. p.28 Juillet 1890 Séraphin lui arrache le chapeau de paille pour laver le plancher et il la regarde d’un air violent. Elle prépare quand même le diner (soumission) p.30 Chapitre 2 Elle a foi en lui p.32, il lui faisait croire n’importe quoi. Description de la maison p.33-34 Séraphin est en amour

féminité ce qui ma permit d’avoir une autre perception de moi-même, en effet cela ma révéler ma propre virilité. Je me suis sentis pour la première fois de ma vie HOMME ! A travers Emma je voit le bonheur de la vie conjugale sa robe de mariée, son chapeau de paille accroché à l'espagnolette d'une fenêtre, le peignoir qu'elle met pour me voir partir au matin, ses robes, son tablier, ses bottines me ravissent, comme son peigne, ses bagues, et son fichu, que je ne peut me retenir de toucher continuellement

Les couleurs, plutôt froides, se partagent entre le blanc, le bleu, le gris et le beige. La lumière vient de derrière les immeubles comme une aube naissante et met en valeur les hommes qui sont comme des taches noires. Cette « pluie » d'hommes au chapeau melon, vêtus de gris foncé, est devenue une métaphore de la condition humaine au xxe siècle, le symbole de la perte d'identité individuelle et de la banalité monotone du quotidien. Le titre décalé: Magritte empruntait souvent des fragments poétiques

pays anglo-saxons, apparaît pour la première fois dans Charlot est content de lui (Kid Auto Races at Venice), le 7 février 1914. C'est un sans domicile fixe qui a des manières raffinées dignes d'un gentleman, muni d'une canne de bambou, coiffé d'un chapeau melon, vêtu d'une veste étriquée et d'un pantalon qui tombe sur des chaussures trop grandes. Cette allure lui vaudra la réputation de « vagabond » misérable et roué, asocial et obstiné, révolté et sentimental Il fut fortement inspiré par l'acteur

distingua personne, dans l’éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu’il passait, elle leva la tête ; il féchit involontairement les épaules ; et, quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda. Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent, derrière elle. Ses bandeaux1 noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l’ovale de sa fgure. Sa robe de mousseline claire

Eula May : Opératrice téléphonique de Maycomb Miss Maudie Atkinson: Voisine et amie des Finch, « C’était une veuve, une dame caméléon, qui travaillait toute la journée dans ses massifs de fleurs, vétue d’une salopette d’homme et coiffée d’un vieux chapeau de paille […]. » Miss Stéphanie Crawford: Voisine des Finch, commère Mr Dolphus Raymond : Blanc marié à une noire Mr. Dick Avery : voisin des Finch Mr. Gilmer: procureur, habitant d’Abbottsville, chauve, au visage lisse, possédant un léger strabisme

son jeu de mime et de clownerie, il a su se faire remarquer et devenir l'un des plus célèbres acteurs d'Hollywood. Son personnage de Charlot (vagabond qui a des manières raffinées dignes d'un « monsieur », muni d'une canne de bambou, coiffé d'un chapeau melon, vêtu d'une veste trop petite et d'un pantalon qui tombe sur des chaussures trop grandes) lui vaut une immense popularité mondiale. Lorsqu’il réalise Le Dictateur en 1940, il est la plus grande star du cinéma mondial. Ci- contre Charlot, le

de l'eau, l'équipage se débandait ; la troupe s'éparpillait et laissait passer la lourdeur du chaud dans une de ces siestes débraillées, étendues sur la verdure, allongées sous des ombres de branches, et ne montrant d'une société qu'un morceau de chapeau de paille, un bout de vareuse rouge, un volant de jupon, ce qui flotte et surnage d'un naufrage en Seine. 

nouvelles découvertes, de nouvelles sensations, il parcourrait les cinq continents. Après l'Afrique, ce sera l'Amérique! Ses pensées allaient au galop, prenaient le rythme des sabots de chevaux sauvages. Il voyait Sylvie, la tête ornée d'un long chapeau de paille, habillée d'une robe de soie blanche qui se soulevait légèrement lorsqu'elle se déplaçait. Elle sirotait un grand verre de jus d'orange rempli de glaçons. Jérôme quant à lui, était au milieu d'une écurie où il s'occupait de poules, de chèvres