Chapeau

caractéristiques des oeuvres surréalistes sont avant tout l’effet de surprise et les juxtapositions inattendues. Analyse de l’oeuvre : Sur ce tableau, on peut voir un homme habillé avec un costume noir, une chemise blanche, une cravate rouge et un chapeau melon noir. Il se tient droit, les bras le long du corps. On peut se demander si c’est un autoportrait, mais on ne peut pas le savoir, puisque le visage de l’homme est caché par une pomme verte. Il y a un muret de pierre derrière-lui, et, en arrière-plan

scène 1 (extrait), (1834). Texte C : Eugène Labiche, Un chapeau de paille d’Italie, acte I, scène 1 (1851). Texte D : Eduardo Manet, Quand deux dictateurs se rencontrent (incipit), © Actes Sud-Papiers, (1996), TEXTE A – Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Le Barbier de Séville. ACTE PREMIER Le théâtre représente une rue de Séville, où toutes les croisées sont grillées. SCÈNE PREMIÈRE LE COMTE, seul, en grand manteau brun et chapeau rabattu. Il tire sa montre en se promenant. Le jour

texte: «Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses, qui palpitaient au vent, derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l’ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait en plis nombreux». Il décrit Madame Arnoux avec des adjectifs pour que l'on puisse s'en faire une représentation, il commence par décrire le chapeau puis les rubans, es bandeaux

son fils blasé à l’histoire de son pays. Après avoir visité un temple avec un groupe de touristes, Tony lui demande la permission de rentrer seul au Palace Hôtel. 5 10 15 20 25 30 Tony n’avait aucune idée de ce qui allait suivre. Il ôta son chapeau de paille, le glissa sous son bras, écrasant la calotte, vida le sable de ses chaussures. Puis, quittant le sol mou pour un sentier d’asphalte, il se remit en marche. Enfin lui-même ; dégagé, libre, heureux ! De loin, il aperçut la grande route qui

filasse, à la mâchoire maigre. Il avait entre trente et quarante ans et portait un complet griset un chapeau de paille. Une de ses boites en zinc qu’on prend pour herboriser pendait à son épaule, et il tenait à la mains un filet vert à papillons .»(L 11 p 74) « Stapelton était d’une teinte neutre, avec des cheveux clairs et des yeux gris » (L 21 p80) « Dans cet homme impassible, incolore, avec son chapeau de paille et son filet à papillon, il me sembla voir quelque chose de terrible, un être d’une patience

Chaplin et Charlot Le petit vagabond, Charlot comme l’appelle en France, c’est avant tout l’homme au chapeau melon, à la petite moustache et à la canne. Difficile à croire mais Chaplin lui-même raconte que ce personnage devenu icône emblématique serait né d’un hasard heureux, dans une loge spartiate, quelques minutes seulement avant d’entrer sur le plateau de Charlot est content de lui, son deuxième film. En effet, ce jour là, Charlie Chaplin, très peu à son aise dans l’univers cinématographique

été inhumé au cimetière Montmartre de Paris. Eugène est fils unique d’une riche famille de commerçant. Eugène était un écrivain mais aussi un auteur dramatique. Il a écrit plus de 174 pièces telles que « Le Major Cravachon » en 1844 ou encore « Un chapeau de paille d’Italie » en 1851. C’est en 1860 qu’il écrit « Le voyage de Mr Perrichon.». « Le voyage de Mr Perrichon » a été écrit en collaboration avec Edouard Martin. C’est une pièce de théâtre et plus précisément une comédie. Eugène Labiche

beauté indescriptible, cette jeune femme qui venait d’apparaître sur le banc à quelque mètres de lui. Vêtue d'une robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, elle tira son châle sur son dos en raison de la brise qui se levait. Malgré le chapeau de paille qui lui cachait un peu la figure, il voyait son visage radieux, son nez droit, et ses yeux bleu ensorcelant. Le cœur de Frédéric s'emballa. C'était comme une merveilleuse douleur, qui déclencha en lui un tourbillon d'émotion. Il ressentait

(extrait), (1834). Texte C : Eugène Labiche, Un chapeau de paille d’Italie, acte I, scène 1 (1851). Texte D : Eduardo Manet, Quand deux dictateurs se rencontrent (incipit), © Actes Sud-Papiers, (1996), 11FRTEME1 2/8 TEXTE A – Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Le Barbier de Séville. ACTE PREMIER Le théâtre représente une rue de Séville, où toutes les croisées1 sont grillées2. SCÈNE PREMIÈRE LE COMTE, seul, en grand manteau brun et chapeau rabattu. Il tire sa montre en se promenant. Le

distingua personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu'il passait, elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules ; et, quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda. Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent derrière elle. […], toute sa personne se découpait sur le fond de l'air bleu.  Comme elle gardait la même attitude, il fit plusieurs tours de droite et de gauche pour dissimuler sa manœuvre