Chapelle Brancacci

Michel-Ange est la figure même de l'artiste doté d'un génie solitaire. L'universalité de ses talents transparaît dans le tombeau de Jules II (vers 1510-1515), à Saint-Pierre-aux-Liens, à Rome; la chapelle des Médicis (1519-1534), à Florence; la voûte (1508-1512) et la fresque du Jugement dernier (1536-1541) de la chapelle Sixtine; la coupole de la basilique Saint-Pierre (commencée en 1546). Toutes ces créations représentent des chefs-d'œuvre inimitables dans les domaines de la sculpture, de la peinture et

impressioné par sa fidélité à la loi d'hospitalité, décide de seulement enlever Doña Sol. Après son départ, Don Ruy Gomez et Hernani complotent pour tuer le roi. Hernani offre son bras et sa vie à Don Ruy Gomez. Deux mois plus tard, en juin 1519, à Aix-la-Chapelle (capitale du Saint Empire romain germanique), Don Carlos attend les résultats de l’élection impériale tout en déjouant un complot : parmi les conjurés se trouvent Don Ruy Gomez et Hernani ; ce dernier, désigné pour assassiner le roi, refuse de laisser

Les motifs sont des motifs architecturaux de la fin de l'empire romain. La peinture compte soixante personnages si l'on compte Apollon et Minerve dans leurs niches. La fresque, signée dans le cou du personnage d'Euclide, connut un succès immédiat. Chapelle Sixtine Création d'Adam, Maichel Ange (1508-1512) "Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu il le créa. " (Genèse 1, 27). Le point central de l'épisode sur la Création de l'homme est le contact qui s’établit entre le doigt du Créateur

la production très fidele de la réalité a partir de documents en images. 2. Présentation de l’œuvre Titre : Supermarket Lady (ou Caddie) Auteur : Duane Hanson Date : 1969 Dimensions : statue grandeur nature Lieu de conservation : Aix La Chapelle Matériaux : résine de polyester, peinture acrylique et huile, vrai cheveux, yeux de verre, vêtements, caddie, paquets et boites de conserves. Courant artistique : hyperréalisme  3. Description de l’œuvre Cette sculpture représente une dame

(Médréac).13 Le château Delisse (Montauban-de-Bretagne).13 Le château de la Ribaudière (Montauban-de-Bretagne).14 Le patrimoine culturel dans Brocéliande.15 L'abbatiale de Paimpont.15 Les Forges de Paimpont.15 Le château de Comper (Paimpont).15 Le chapelle du Graal (Tréhorenteuc).16 Le manoir des Rues Neuves (Tréhorenteuc).16 L'Hostié de Viviane ou le Tombeau des druides (Brocéliande).16 La croix Lucas.16 La grotte religieuse de Paimpont.17 Le Tombeau du Géant (Brocéliande).17 Conclusion.18

Paris, Ionesco et sa jeune sœur Marilina sont élevés par leur mère qui les fait vivre comme elle peut, grâce à des travaux occasionnels et à l'aide de leur famille française. De 1917 à 1919, sa sœur et lui sont confiés à une famille de paysans de La Chapelle-Anthenaise, un village proche de Laval. Cette période restera dans son souvenir comme un temps très heureux. En 1925, le frère et la sœur retournent chez leur père qui a obtenu la garde à Bucarest où ils apprennent le roumain. En 1926, Ionesco se

inspirés de l'Antiquité et des thèmes mythologiques issus des sources littéraires ornent les palais, les murs, les meubles et la vaisselle. Les fresques sont à nouveau à l'honneur ; les artistes sont appelés pour décorer et orner les édifices comme la chapelle Sixtine.. La pratique antique de la frappe de monnaies pour commémorer des personnages éminents comme Cosme de Médicis est réintroduite par Pisanello. Des portraits de notables, mettant l'accent sur certains traits personnels, sont réalisés par

Botticelli fréquente le cercle de la famille Médicis, notamment les humanistes comme Ange Politien ou Pic de la Mirandole, ce qui lui offre protection et garantie de nombreuses commandes, comme L'Adoration des mages (celle de 1475), peinte pour la chapelle funéraire de Gaspare Zanobi del Lama de Santa Maria Novella, une œuvre importante dans laquelle il dépeint un cortège dans lequel il représente les membres de la famille Médicis. De cette même période date (1474-1475) une œuvre composée avec les

catéchumènes de Turin. Il commença à travailler : d’abord graveur puis laquais. En 1729, il rentre chez Mme de Warens. Pendant quelque mois, il fait un séminaire mais la prêtrise ne l’intéressait pas. Il se rendit à Lyon en compagnie d’un maître de chapelle car la musique le passionnait. Il rentre finalement à Annecy mais Mme de Warens était absente. Il se rend donc à Losanne pour y devenir maître de musique (même si ses connaissances sont restreintes) Il rentre pour la troisième fois, en 1731, chez

Alain-Fournier, pseudonyme d'Henri Alban Fournier (3 octobre 1886 - 22 septembre 1914), était un écrivain français mort à l'âge de vingt-sept ans après avoir écrit un unique roman, le Grand Meaulnes. Il naquit le 3 octobre 1886 à La Chapelle-d'Angillon dans le Cher et passa son enfance en Sologne et en Bas-Berry où ses parents étaient instituteurs. Il poursuivit des études secondaires au lycée Lakanal, à Sceaux près de Paris, où il prépara sans succès le concours d'entrée à l'École normale supérieure