Chapelle palatiale

LA CHAPELLE ROYALE DE VERSAILLES (1689-1710) Architectes : - Jules Hardouin-Mansart (Paris, 1646 – Marly, 1708) - Robert de Cotte (Paris, 1656 – 1735) Historique : Plusieurs chapelles avaient existé auparavant en divers endroit du château, mais toutes avaient été considérées comme plus ou moins provisoires. Celle qui nous intéresse est la cinquième. En 1688, Louis XIV décida de faire construire un lieu de culte digne du palais, et chargea Jules Hardouin-Mansart d’en dresser

Auteuil, Passy, Batignolles, Montmartre, La Chapelle, la Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Vaugirard, Grenelle et diverses petites enclaves. La capitale doubla alors de superficie et fut découpée en vingt arrondissements. Paris passa ainsi de 3 288 à 7 088 hectares et la population de 1 200 000 à 1 600 000 habitants. 2ème partie : Etude à partir des textes d'Emile Zola Destruction de Paris et de sa société L 'Assommoir Le quartier de la Chapelle où se déroule l'action de l'Assommoir n'est

XIIe siècles, après avoir été brûlée par les Normands. La basilique fait partie des dix églises romanes majeures de Basse-Auvergne. Elle est construite en arkose blonde. Le cœur est surélevé, entouré d'un déambulatoire sur lequel s'ouvrent quatre chapelles rayonnantes. Le chevet est composé de fines mosaïques. Le clocher est ajouté en 1185 et les tuiles romanes sont remplacées par des dalles de lave en 1240. b. Église Saint-Austremoine d'Issoire : (photo : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Eglise_Saint-Austremoine_d%27Issoire_2

son grand nombre de sculptures. La crypte permet de découvrir la partie la plus ancienne de la cathédrale, bâtie au XIe siècle dans un très beau style roman. .Elle présente un plan très ambitieux et original, par l'ampleur et la forme données aux chapelles rayonnantes. Le grand orgue de la cathédrale[], très orné, est de taille modeste et[] il se situe dans la nef, en nid d'hirondelle, accroché à un mur intérieur, tout comme dans les cathédrales de Chartres et de Metz. Construite durant le XVIe siècle

autour des reliques des saints, mais aussi du chœur, permettant aussi la multiplication des messes dans les chapelles latérales. Les autels sont ainsi concentrés dans la partie orientale de l'église, au lieu d'y être disséminés en divers points de celle-ci. L'ensemble n'est pas encore harmonieux, il faudra attendre pour cela le développement du déambulatoire en demi-cercle ouvrant sur des chapelles rayonnantes, au milieu du XIe siècle. 3) Rénovation du Bas Moyen-âge La fin du Xe et le XIe siècle

compagnons de fête et fréquente de plus en plus souvent les chapelles de la vallée dite Val di Spoleto. En 1205 il a 23 ans. Alors qu'il est en prière devant le crucifix de la chapelle San Damiano, Francesco entend une voix lui demandant de « réparer son Église en ruine ». Prenant l'ordre au pied de la lettre, il se rend à la ville voisine de Foligno y vendre des marchandises du commerce de son père pour pouvoir restaurer la vieille chapelle délabrée. Furieux des excentricités de son fils, Pietro

déambulatoire, espace semi-circulaire dont l'implantation des colonnes et le jeu des arcs sont d'une rare élégance, donne sur trois chapelles du plan voulu par Fulbert vers 1020. La chapelle axiale est la chapelle des apôtres, celle du nord est la chapelle des martyrs, et celle du sud des confesseurs. Au moment de l'édifice de la cathédrale gothique, on ajoute les chapelles rayonnantes à la cathédrale basse, intercalées entre celles qui existaient déjà. S'ajoutent la sacristie, datant de 1270-1280,

compagnons de fête et fréquente de plus en plus souvent les chapelles du « Val di Spoleto ». En 1205, il a 23 ans. Alors qu'il est en prière devant le crucifix de la Chapelle Saint-Damien, (selon la légende), Francesco entend une voix lui demandant de « réparer son Église en ruine ». Prenant l'ordre au pied de la lettre, il se rend à la ville voisine de Foligno y vendre des marchandises du commerce de son père pour pouvoir restaurer la vieille chapelle délabrée. Furieux des excentricités de son fils, Pietro

représentent la Légende de Sainte Geneviève , sainte patronne de la Ville de Paris. Sous chaque vitrail, une inscription latine décrit la scène. 5. Les peintures : * La Visitation par Jean Jouvenet (1716) : Sur le mur occidental de la chapelle Saint-Guillaume est accroché l’un des plus beaux tableaux de la cathédrale, chef-d’œuvre du XVIIIe siècle, et rare vestige du chœur baroque de la cathédrale : la Visitation, peinte en 1716 par Jean JOUVENET. À la Révolution elles seront, comme toutes

de Fontenay a un dessin d'une austérité vraiment monastique : le plan est entièrement cerné par des lignes droites qui se rencontrent à angle droit. → Plan en forme de croix latine → Une nef + deux bas côtés → Un transept flanqué de quatre chapelles carrées du côté du levant → Un chœur à chevet plat. C’est un plan typiquement cistercien et que l’on retrouve dans toute l’Europe (de la Scandinavie jusqu'à la Sicile). LA NEF : huit-travées voûtées en berceaux brisés, divisé et soutenu