Charles Baudelaire Un Hemisphere Dans Une Chevelure

tu t'imagine"s, de Raymond Queneau : il joue sur les sons en transformant le language écrit en language oral - créer une musicalité --> "Un hémisphère dans une chevelure", de Charles Baudelaire : une douce musique est créée par les allitérations en [m], [p] et [b] et les assonances en [ã] - créer des harmonie imitatives --> "Spleen", de Charles Baudelaire : allitérations en [k] et [t] dans le 4ième quatrain 2) Jeu sur la mise en page Un poème n'est pas présenté sur une page comme un roman.

Les poètes utilisent la beauté afin d'exprimer des sensations plaisantes surtout lorsqu'ils l'utilisent pour parler de la beauté physique d'une femme par exemple. Comme Baudelaire le fait dans un des ses poèmes « Un hémisphère dans une chevelure » où il décrit une femme sortie d'un rêve, une muse a qui l'inspire avec sa chevelure idéale et qui par sa beauté permet au poète de voyager : ''(…) dans tes cheveux ! Mon âme voyage sur le parfum(...)'' ; Tout comme André Breton dans « L'union libre »

Charles Baudelaire : numéro XXIII, « La chevelure ». La Chevelure A Ô toison, moutonnant jusque sur l'encolure!
A → rimes plates Ô boucles! Ô parfum chargé de nonchaloir!
B Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure
A → rimes embrassées Des souvenirs dormant dans cette chevelure,
A Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir! B La langoureuse Asie et la brûlante Afrique,
C Tout un monde lointain, absent, presque défunt,
D Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique!
C Comme

été écris en 1630. Le sixième poème que j’ai choisis pour cette anthologie est un extrait de l’œuvre « Les Fleurs du Mal » de Charle Baudelaire( né en 1821 et mort en 1867 ), s’intitulé La Chevelure écris en 1857. Le septième blason et aussi un poème de Baudelaire mais celui là, il est issu du recueil « Le Spleen de Paris » qui représente un hémisphère dans une chevelure. Le huitième blason de mon anthologie poétique est un poème de Paul Scarron ( né en 1610 et mort en 1660 ) dont le titre et « La

mélancolie ; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un oeil moins superbe, Tout bas, loin du jour, La vilaine bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour ! Un hémisphère dans une chevelure Laisse-moi respirer longtemps, longtemps, l'odeur de tes cheveux, y plonger tout mon visage, comme un homme altéré dans l'eau d'une source, et les agiter avec ma main comme un mouchoir odorant, pour secouer des souvenirs dans

XXIII - La Chevelure O toison, moutonnant jusque sur l'encolure! O boucles! O parfum chargé de nonchaloir! Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir! La langoureuse Asie et la brûlante Afrique, Tout un monde lointain, absent, presque défunt, Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique! Comme d'autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour! nage sur ton parfum. J'irai là-bas où l'arbre et

entre le texte et son lecteur, le lecteur est sollicité, invité à la réflexion ou à l'action, sur le rapport que le texte a avec d'autres textes- Interroge-toi si l'auteur s'appuie-t-il sur une esthétique particulièreCHARLES BAUDELAIRECharles Baudelaire est un poète français né en 1821 à Paris, il y meurt en 1867. Son œuvre maîtresse, Les Fleurs du Mal, recueil de poèmes en vers, est un ouvrage majeur de la poésie française du XIXe siècle. Si sa vie marginale et de bohème l’a conduit à de multiples

tu t'imagine"s, de Raymond Queneau : il joue sur les sons en transformant le language écrit en language oral - créer une musicalité --> "Un hémisphère dans une chevelure", de Charles Baudelaire : une douce musique est créée par les allitérations en [m], [p] et [b] et les assonances en [ã] - créer des harmonie imitatives --> "Spleen", de Charles Baudelaire : allitérations en [k] et [t] dans le 4ième quatrain 2) Jeu sur la mise en page Un poème n'est pas présenté sur une page comme un roman.

Jean-Baptiste Chassignet, « A beaucoup de danger est sujette la fleur » Ronsard, « je n’ai plus que les os », 1586 Agrippa d’Aubigné, « Tout cela qui sent l’homme », Stances Montaigne, del’imagination ? Shakespeare, Roméo et Juliette Baudelaire, « Une charogne », Les Fleurs du mal Lecture de l’image: Simon Renard de Saint André, Vanités Rubens, manuel de littérature page ? Lecture cursive et activités complémentaires Molière, Dom Juan II-Objet d’étude : la

Charles Baudelaire « Un hémisphère dans une chevelure », Le Spleen de Paris I) La composition de l’éloge 1) L’énonciation Le poème relie le « je » du poète à une destinataire qui est la femme « tes » (ajd possessif) l.4 : pp « tu » La femme apparaît avant tout comme un objet de contemplation/de délectation du poète. Elle n’existe pas comme sujet. Le poème est structuré autour de la répétition et ces dernières sont à la fois formelles et thématiques. Par exemple : la demande/prière