Charles-François Dumouriez

prussiens, l’armée française, commandée par le général Charles-François Dumouriez, arrête l’invasion. Le 8 octobre, il pénètre en Belgique pour obliger les autrichiens à lever le siège de Lille et les refouler hors des frontières[56]. Dans le même but, le Général Custine s’empare de Spire (30 septembre), de Worms (5 octobre), puis de Mayence et de Francfort (les 21 et 22 octobre), ce qui lui permet de tenir la rive gauche du Rhin alors que Dumouriez, en remportant la victoire décisive de Jemmapes le

restitution quasi-totale des territoires conquis. La Prusse, sous Frédéric II garde la Silésie. Les duchés de Parme et de Plaisance reviennent au gendre de Louis XV, don Philippe. Marie-Thérèse et François Ier restent sur le trône d’Autriche en respect de la Pragmatique sanction (héritage de l’empire Habsbourg de Charles VI). C’est également lors de cet accord que Louis XV doit accepter le pouvoir hanovrien et protestant d’Angleterre. Enfin, l’Angleterre redonne à la France Louisbourg, en Nouvelle-Écosse (Canada)

constitution du patrimoine de Saint-Pierre en faveur du pape; récupération de la Narbonnaise sur les Musulmans). Sous son fils Charlemagne (seul roi en 771 à la mort de son frère Carloman, puis empereur de 800 à 814), qui porte depuis 801 le titre de "Charles, sérénissime Auguste, couronné par Dieu, grand et pacifique empereur, gouvernant l'Empire romain, pareillement par la miséricorde de Dieu, roi des Francs et des Lombards", les limites de la future France sont largement dépassées avec l'ensemble constitué

révolution de 987 et l'avènement des Capétiens. Pendant 340 ans, l'honorable maison capétienne règne de père en fils. La guerre de Cent ans et les révolutions de Paris. Louis XI : l'unité sauvée, l'ordre rétabli, la France reprend sa marche en avant. François 1er et Henri II : la France échappe à l'hégémonie de l'Empire germanique. Les guerres civiles et religieuses remettent la France au bord de la ruine. Henri IV restaure la monarchie et relève l'État. Louis XIII et Richelieu : la lutte nationale contre

révolution de 987 et l'avènement des Capétiens. Pendant 340 ans, l'honorable maison capétienne règne de père en fils. La guerre de Cent ans et les révolutions de Paris. Louis XI : l'unité sauvée, l'ordre rétabli, la France reprend sa marche en avant. François 1er et Henri II : la France échappe à l'hégémonie de l'Empire germanique. Les guerres civiles et religieuses remettent la France au bord de la ruine. Henri IV restaure la monarchie et relève l'État. Louis XIII et Richelieu : la lutte nationale contre

Paris et devient ainsi le fondateur de l’Empire franc. Après la mort de Clovis, en 511, l’expansion franque continue. La famille des Pippinides, après la victoire de Tertry en 687, assure l’unité de l’ensemble du royaume franc. Pépin de Herstal puis Charles Martel renforcent la frontière du Rhin, arrêtent les musulmans et consolident le royaume en intégrant la Bourgogne et l’Aquitaine. Le cœur de cette puissance bat dans cette région baignée par le Rhin, la Meuse et la Moselle. Si les peuplades franques

Patrie ? À quelle époque débuter l’histoire de France ? La réponse spontanée des moins initiés est un jaillissement désordonné de mots qui, pêle-mêle, s’associent par souvenir scolaire à des noms familiers en mal de définition : Gaulois, Romains, Charles Martel, avec comme fleuron l’incontournable Charlemagne, celui qui paraît-il aurait inventé l’école ! À quelle date en effet commencer l’histoire du long processus de construction de la France, si l’on prend comme point de ralliement le cadre géographique

batailles ds l'Est, les armées françaises, dirigées par 2 généraux, Dumouriez et Kellerman, qui se sont retrouvés à Valmy et qui vont réussir à stopper les armées austro-prussiennes. La bataille de Valmy n'est pas vraiment une bataille, les Français étaient très nombreux, et l'artillerie française effficace va arroser les Prussiens, qui essaient d'avancer, et se retrouvent face à des jeunes soldats prêts à en découdre. Dumouriez leur recommande de les finir à la baillonnette. Les Prussiens reculent

loi de l’inaliénabilité du domaine : le territoire du royaume n’est pas aliénable. Cette loi s’est précisée au 16ème siècle, en 1525 François 1er est vaincu par charlequin lors de la bataille en Italie et il est emprisonné. Charlequin par son père était l’héritier des états de bourgogne, il inscrit dans le traité que François 1er lui cède les états de bourgogne. François 1er signe ce traité de Madrid. Ces juristes ont admis que le traité était nul car il était contraire à cette loi. En 1536, l’édit

prussiens, l’armée française, commandée par le général Charles-François Dumouriez, arrête l’invasion. Le 8 octobre, il pénètre en Belgique pour obliger les autrichiens à lever le siège de Lille et les refouler hors des frontières[91]. Dans le même but, le Général Custine s’empare de Spire (30 septembre), de Worms (5 octobre), puis de Mayence et de Francfort (les 21 et 22 octobre), ce qui lui permet de tenir la rive gauche du Rhin alors que Dumouriez, en remportant la victoire décisive de Jemmapes le