Charles II le Chauve

donc interdit. Les distinctions ethniques s'affaiblissent, mais se renforcent l'identité de la foi et le sentiment d'une appartenance politique. Les habitants de la Francia sont tous sujets du roi, mais le territoire ne va pas rester homogène. II- Le morcellement territorialité L’Empire bâti par Charlemagne était trop vaste et n'a pu conservé son unité après la mort de son fils Louis le Pieux. Ses trois petits-fils se disputent l'héritage comme s'il s'agissait d'un bien privé. La conception

l'habitat qui entourait la nécropole. De l’abbaye royale au caestellum Dès l'avènement des premiers Carolingiens, l'importance politique de Saint-Denis s'accroît. En 741, les funérailles de Charles Martel inaugurent une nouvelle série d'inhumations royales et, en 754, c'est dans la basilique que le pape Étienne II sacre Pépin le Bref. À l'ouest, l'édifice est précédé d'un massif d'entrée considéré comme l'agrandissement que Charlemagne aurait fait édifier sur la tombe de son père Pépin, mis en terre

L’assemblée de Coulaines (843) Introduction : C’est un récapitulatif de l’Assemblée de Coulaines. Charles le chauve roi de France. Dans les années 1130 des révoltes éclate est donc impossible de faire face aux invasions des Sarazins et des Vikings. Le peuple chrétien divisé sur 3 royaumes. Le souci des 3 frères est de rétablir la paix dans leurs royaumes et de faire face aux invasions. Plus difficile pour Charles car beaucoup d’insurrection ont lieu. A lieu le pacte de Coulaines : I- Les Différentes dispositions

D’AUXERRE En quoi l’abbaye deviendra dés le IXème siècle un lieu réputé dans tout l’Occident chrétien. I) Phases de construction 1) Les origines 2) Reconstruction carolingienne 3) Rénovations du Bas Moyen-âge II) Rayonnement carolingien 1) Cryptes et peintures 2) Ecole d’Auxerre 3) Relations et influences Conclusion Bibliographie I Phases de construction 1) Les origines Au Vème siècle Germain, évêque d’Auxerre fonde un sanctuaire, sans

Bref intervient en Italie selon la demande de la papoté avec Etienne II qui met en déroutes les lombards et qui reconquiert Rome et les villes autour. Les annexes au profit de la papoté, qui conservera la domination de ces villes jusqu’à l’unification italienne en 1870. Entre 768 et 771 le royaume des Francs sous domination Carolingienne est gouvernée par deux rois : Charles et Carloman. En 771, décès miraculeux de Carloman, Charles devient l’unique roi des Francs jusqu’en 814 (Charlemagne en 800 car

n'est pas l'homme apte à conserver l'unité. Jusqu'à sa mort, il va lutter contre ses trois premiers fils ( Pépin, Louis, Lothaire), jaloux de leur demi-frère,Charles, fils de sa seconde femme Judith de Bavière. Par ailleurs, le pape Etienne IV gagne de l'indépendance et le lien entre Rome et l'Empire semble rompu. Après la naissance de Charles, un nouveau partage est décidé, celui-ci ne plaît pas aux trois frères qui déposent leur père en 833. Pépin et Louis, regrettant d'avoir donné tous les pouvoirs

ralenti par le privilège d'immunité. Malgré ces freins, nous allons voir à présent que le pouvoir du comte n'est pas si limité que cela, et surtout qu'au cours de l'évolution de l'époque franque, il s'est révélé bien plus fort que celui du roi. II/ La fonction comtale symbole de la faillite du pouvoir royal Les comtes contribueront à la faillite du pouvoir royal de plusieurs manières. Ils obtiendront plusieurs garanties qui vont leur permettre de s'approprier le pouvoir public : une garantie

retoucher l'ordinatio Imperii puisqu'un fils nait de cette union : Charles le Chauve. Pépin Ier puis Louis-le-Pieux meurent successivement en 838 et en 840 : Lothaire tente alors de s'approprier la plus grande part de l'héritage et une guerre de succession s'annonce. Les deux frères Louis-le-Germanique et Charles-le-Chauve s'unissent contre lui et rédigent à Strasbourg en 842 un serment : ce texte est encore existant aujourd'hui. II]- La place de l'Église : Nous étudierons dans un premier temps

l'Empire Carolingien La même coutume de partage qui fut fatale au royaume mérovingien entraînera la perte de l'Empire créé par Charlemagne. Ainsi en 843, le Traité de Verdun verra la partition de l'Empire entre ses trois petits-fils : Charles le Chauve (Francie Occidentale, future France), Louis le Germanique (Francie Orientale, future Allemagne) et Lothaire (Francie Médiane). Les deux premiers se disputeront rapidement les dépouilles du troisième. Ces querelles affaiblissent leurs descendants

d’Église souhaitent principalement éviter la scission de l'unité de l'empire par un partage équilibré de celui-ci pour que "n'éclate aucun scandale dans la Sainte Église". Ils vont alors définir un partage inégal entre les héritiers de Louis le Pieux. II – Un partage inégal afin d'assurer l'unité de l'empire La partie du texte s'échelonnant de "C'est pourquoi nous avons pensé" à "la sécurité de l’Église toute entière" relate surtout du partage de l'empire fixé dans l'Ordinatio Imperii. Ce partage est