Charogne

cherche à tirer parti de toutes les ressources de la langue : lexicales, syntaxiques, sonores et rythmiques… Voir la fonction poétique du langage. • La réalité peut ne pas être belle et pourtant accéder à la beauté grâce au travail poétique : "Une Charogne" de Baudelaire… • La poésie est dans ce passage d’un langage utilitaire à un langage évocateur : "Hommage" de Mallarmé… La rédaction au brouillon Doivent être rédigés impérativement au brouillon : L’introduction La conclusion Le reste doit

au vide de l’âme dû au spleen. Il a d’ailleurs nommé une des parties du recueil La mort «  le bourreau » dans l’héautontimoroumémos « cimetière » dans spleen LXXVI « deuil » dans l’horreur sympathique ou encore dans l’alchimie de la douleur une charogne « les ténèbres » dans l’irrémédiable le mort joyeux « des mort » dans le tonneau de la haine « crucifix » dans les phares . Un gouffre dans l’irrémédiable « les ténèbres » dans l’obsession « l’âme » dans le spleen LXXV « démon » dans moesta et

Aujourd’hui reconnu comme un écrivain majeur de la poésie mondiale, Baudelaire est devenu un classique. Il est l’auteur du recueil Les Fleurs du mal, dans lequel nous pouvons observer deux visions différentes de la mort : un aspect morbide avec « Une charogne » ainsi qu’un aspect heureux avec « La mort des amants ». Ce poème est le poème de la promesse absolue, la promesse d’un amour infini dans la mort. Afin d’analyser la transfiguration de l’amour dans ce sonnet, il conviendra tout d’abord d’observer

le poe est effrayé par le tps q passe et rend la mort + proche ; tantôt il sfre de percevoir # le tps côm infini ø terme et exutoire. Ø inven° de B MS thème traditionnel q a connu ses h de gloire avc Ronsard (Pléiade). Ainsi on peut lire « Une Charogne », « Remords posthume » côm des vers° extrê de « Mignonne allons voir si la rose… ». Le poe conseille à la fê aimée d’aimer aujd avt q la décomposi° et putréfac° ne gagne son cadavre car « tout craq-, amour et beauté ». Or cet conscience obsédte

font découvrir les liens secret qui existent entre tous les éléments du monde. Le poète est un homme qui prend son inspiration dans le monde qui l'entoure. Il peint parfois de façon très réaliste la vie dans sa crudité. Baudelaire peint « Une charogne » décrivant de manière très précise se qu’il peut voir de ses propres yeux. Le poète s'efforce de rendre la réalité dans toute sa plénitude: les poètes peignent les choses de la vie même. Après le surréalisme qui dédaigne le réel dans sa forme

tenté de tisser et de démontrer les liens entre le mal et la beauté, la violence et la volupté. En parallèle de poèmes graves ou scandaleux pour l'époque, il a exprimé la mélancolie et l'envie d'ailleurs. Il a aussi extrait la beauté du mal (Une charogne). Baudelaire est un romantique qui exprime le moi souffrant de la solitude et la communion avec la Nature supérieure, tout en recherchant la présence du divin. Ce recueil est tiré par des aspirations contraires entre le romantisme et

c. Introduit à la célébration du monde : Supervielle, R.G. Cadou etc. Le quotidien se transforme sous le regard du poète. II) MAIS ELLE PERMET AUSSI DE REGARDER LE QUOTIDIEN AUTREMENT a. Dégager le beau dans la laideur (Baudelaire : Une charogne) b. Les objets du quotidien deviennent des objets d’écriture sous la plume de Ponge. « Le pain » = un univers dans le four « stellaire » c. Elle magnifie les sentiments (cf. tous les poèmes d’amour…dont on peut douter pour beaucoup de la sincérité…)

Phares[2]). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne).

et l’idéal, mais allant encore plus loin. A travers ce titre, Baudelaire expose une grande caractéristique de la poésie : la capacité à transformer le laid en beau. On retrouve cette alchimie littéraire tout au long du recueil, notamment dans Une Charogne, que Baudelaire magnifie presque, en la comparant à une femme, à une fleur. L’expression approfondie des sentiments et la recherche constante du beau peuvent donc définir l’aspect de fond de la poésie, aspect que l’on retrouve bien moins dans

Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère ») et même entre les artistes à travers les âges (Les Phares[4]). Outre des poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda), l'horreur (Une charogne) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage) à travers l'exotisme. Principaux ouvrages Salon de 1845 (1845) ; Salon de 1846 (1846), illustré par Raymond Pelez ; La Fanfarlo (1847), nouvelle ; Du vin et du haschisch (1851) ; Fusées (1851)