Châteaux de la colère

montagnards. 30. Grande Peur : été 1789, une rumeur court disant que le roi va rétablir l’ordre avec des troupes étrangères et que la noblesse va se venger. Un mouvement de panique gagne les campagnes, des révoltes paysannes éclatent (terriers et châteaux brûlés, seigneurs pendus et fonctionnaires royaux attaqués). 31. Jacobins : société politique sous la révolution française, d’abord modéré puis fort révolutionnaire lorsqu’il est dirigé par Robespierre. 32. Loi des suspects : Lois votée par la

quelque chose, renoncer. IIp" 3aKpbiTbIX JJ:BepHx [o6cY)K,[(aTb,pernaTb, etc.] Gurid.) - A huis clos [décider, discuter, etc.] Gurid.) : secrètement, en petit comité. 3aKycbIBaTb y~HJla (fam.) - Prendre le mors aux dents (fam.) : s'emballer de colère, s'emporter. 3aMOJIBHTb Koro, 0 KOM - {3aKHuYTb} CJIOBéQKO {CJIOBO} 3a Dire un petit mot à qqn en faveur de qqn : dire quelque chose à quelqu'un au profit de quelqu'un d'autre. 3aMHTb JJ:éJIO (fam.) - Etouffer une affaire (fam

malheur. 8 une gent : nation, peuple. 2 -2- Adaptation Depuis sept ans, l'empereur Charlemagne menait la guerre en Espagne. Avec sa puissante armée, il avait gagné de nombreuses batailles. Rien n'arrêtait les soldats français. Villes et châteaux étaient tombés entre leurs mains. Une seule place forte résistait encore, Saragosse. À la tête de ses vingt mille hommes, le roi Marsile refusait de se rendre. Ce jour-là, Marsile réunit auprès de lui ses conseillers. - Amis et Seigneurs, leur

tout en autre choseMèches plumes chiffons formes cœurs et fuseaux Charlemagnes de feu dont glissent les couronnes Géants d'étoupe que le vent coupe aux ciseauxÉphémères passants que les souffles façonnent Le joueur au filet prend la balle servie Châteaux troués d'azur que n'habite personne0 vendangeurs de brume à l'horizon suivis Qui portent sur leurs dos les raisins de la grêle Monstres qui contrefont les gestes de la viePuis c'est un lait qui tourne à la moindre querelle Tout fume comme un toit

Péloponnèse verra l’affrontement de Sparte et d’Athènes de 431 à 399). Homère est un poète grec du IX-VIIIème siècle. On lui attribue les œuvres de l’Iliade (qui raconte la colère d’Achille contre Agamemnon au cours de la guerre de Troie) et l’Odyssée (qui raconte l’épopée d’Ulysse revenant de la guerre de Troie et qui doit affronter la colère des dieux pour avoir tué le Cyclope). Alexandre le Grand est le fils du roi Philippe II de Macédoine (382-336) qui a su imposer une paix commune aux cités : c’est la

parlent de l’amour, le vrai, celui qui fait souffrir. Partagé entre la chasse et sa passion pour les romans, le vieux nous entraîne dans ce livre au style naïf et plein de charme dont le souvenir ne nous quitte plus. John STEINBECK, Les Raisins de la colère A peine sorti de prison, Tom Joad rentre chez lui, à la ferme familiale, dans l’Oklahoma. Il découvre que la crise économique a ruiné les fermiers. Incapables de payer leurs dettes, tous les fermiers sont chassés de leur terre, poussés à s’exiler

sifflements lugubres du vent, aux ténèbres. Elle n’avait nul besoin de lumière. Elle connaissait par cœur chaque roc, chaque faille, chaque passage, chaque méandre de la falaise et du château. Tantôt silencieuse, tantôt gémissant de douleur ou grondant de colère, elle observait la vie des habitants par des soupiraux ou d’invisibles meurtrières, écoutant les pas, les rumeurs, les paroles les plus intimes. Soudain, elle s’immobilisa, ses doigts griffant la roche, retenant à grand-peine le cri de rage qui allait

la nuit et un climat d’inquiétude et d’angoisse s’installe peu à peu au sein des garçons. Le groupe de chasseurs de Jack, absorbé par la chasse au cochon sauvage, oublie d’entretenir le feu et un bateau passe au loin sans s’arrêter entraînant la colère de Ralph. Jack, éprouvant de plus en plus d’aversion pour le chef du groupe, décide alors de former son propre clan et s’éloigne en compagnie de ses chasseurs pour s’installer dans une autre partie de l’île. Les deux groupes deviennent ennemis et

l'homme : le pressentiment d'une hideur propre au visage humain, d'une montee de la betise, d'une deformation dans le mal, d'une reflexion dans la folie >> (Breut 52). Il semble que pour Flaubert, tristesse et colere soient liees. Il se sent depossede de son etre par la betise et la colere nait de ce sentiment de depossession. La betise est <<ce quelque chose d'infini qui vous separe de votre propre personne et vous rive au non-etre,>> dit Flaubert. Ce quelque chose d'infini s'insinue

endroits où ils ne les ont point vus croître, et qui ne connaissent ni leurs commencements ni leurs progrès ! 23 (I) Si certains morts revenaient au monde, et s’ils voyaient leurs grands noms portés, et leurs terres les mieux titrées avec leurs châteaux et leurs maisons antiques, possédées par des gens dont les pères étaient peut-être leurs métayers, quelle opinion pourraient-ils avoir de notre siècle ? 24 (I) Rien ne fait mieux comprendre le peu de chose que Dieu croit donner aux hommes, en leur