Châtiment

médical obligatoire. La relation châtiment-corps n’est plus identique à ce qu'elle était dans les supplices, le corps s'y trouve désormais en position d'instrument ou d'intermédiaire si on intervient sur lui en en l'enfermant ou en le faisant travailler c'est pour priver l'individu d'une liberté considérée comme un droit et un bien. Le corps avec cette pénalité est pris dans un système de contrainte et de privation, de d'obligation est d'interdit. Foucault dit que le châtiment est passé d'un art des sensations

dans sa maison Hauteville House. Il fait partie des quelques proscrits qui refusent l'amnistie49 décidée quelque temps après (« Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là50 »). Ces années difficiles sont très fécondes. Il publiera notamment Les Châtiments (1853), œuvre en vers qui prend pour cible le Second Empire ; Les Contemplations, poésies (1856) ; La Légende des siècles (1859), ainsi que Les Misérables, roman (1862). Il rend hommage au peuple de Guernesey dans son roman Les Travailleurs de la

de parler etc.) il s’agit de les rendre un minimum « humains » | Arguments + références : l’utilité critique de la poésie | -La poésie comme réflexion sur le genre humain (ex : La Fontaine, Fables)-Lutter contre l’injustice (ex : V. Hugo, Les Châtiments, L. Aragon, Les yeux d’Elsa, A. Césaire, Cahier d’un retour au pays natal etc.) -Le poète comme guide du peuple (Peuples ! écoutez le poète ! Écoutez le rêveur sacré ! Dans votre nuit, sans lui complète, Lui seul a le front éclairé.) in « Fonction

"Fable ou Histoire" est une fable extraite du Livre III des Châtiments de Victor Hugo et publiée en 1852; elle raconte l'histoire d'un singe déguisé en tigre. Cette fable est une pastiche (= imitation) de "L'âne vêtu de la peau du lion", une fable de La Fontaine écrite en alexandrins. Nous allons démontrer, comment, à travers la dénonciation politique et morale de Napoléon III, Hugo fait la satire de celui-ci. Victor Hugo dénonce la moralité de Napoléon III. Le choix du singe n'est

remarquablement. On essaye sans cesse de créer une ambiance favorable qui permet à l'élève d'apprendre à se former, se cultiver, bref, d'être un élément performant et actif capable de s'intégrer dans la vie sociale. Dans cette perspective, on a aboli le « châtiment corporel » dans l'enseignement pour protéger la dignité de l'élève et dans le but d'éliminer toute forme de pratiques violentes capables d'influencer son caractère. Pourtant, les chiffres de la violence scolaire atteignent des taux relativement

aboutissement théâtraldu roman. Pour cela, nous observerons d’abord les modifications du rituel du jeudi soir ; puis nous nous pencherons sur l’aspect juste et inéluctable de la punition des deux époux et enfin, nousverrons en quoi cette fin est un châtiment tragique. I- Le rituel du jeudi soir connaît des modifications A- Le comportement théâtral des invités Dans cet extrait, Zola a voulu donner unetournure théâtrale à son roman naturaliste ; en effet, on remarque que le comportement des invités

du grotesque et du sublime (« …ver de terre amoureux d’une étoile »), fait de lui le chef du mouvement romantique : le poète ne trouve qu’en lui sa loi et sa raison. Mais poète engagé, il récusera et vouera aux gémonies Napoléon en 1853 dans Les Châtiments (« Napoléon dans la bataille, / Grave et serein, / Guidait à travers la mitraille / L’aigle d’airain. / Il entra sur le pont d’Arcole, / Il en sortit. / Voici de l’or, viens, pille et vole, / Petit, petit. ») ou encore en 1862 dans Les Misérables

est recherchée. Les sons et les rythmes se mettent au service des idées et ne leur servent que de faire-valoir. Ainsi Victor Hugo, dans Les Châtiments, donne la prééminence au message politique. Recueil écrit pour attaquer les « nains de l’empire » et leur « César » dépravé (derrière lequel l’on reconnaît bien sûr Napoléon III et son Second Empire), Les Châtiments sont un ouvrage violemment polémique. C’est le slogan « Liberté, égalité, fraternité » que le poète entonne. La poésie est par conséquent

Le poème Fable ou Histoire, apparaît au livre III du recueil Les Châtiment, écrit et publié par Victor Hugo en 1853. Ce poète est engagé dans les causes sociales de son époque et cette œuvre s’inscrit dans un contexte historique précis, lors de la prise de pouvoir de Napoléon III. Si cette fable bien bâtie plaît dans un premier temps, on remarque en analysant le personnage central du singe que l’auteur critique fortement la société. Cette œuvre laisse libre imagination quant à sa nature. Fable ou

obligation de changer de vie, être honnête - Promesse d’avancement - Almona L89, récompensé dans son activité de commerce - Le petit muet L93 - Le pécheur, « on lui donna une belle maison » L93 c) Personnages nuisibles sont punis - Aucun châtiment tragique - Itobade : punition formulé par une périphrase ironique L80-81 - Envieux : Il est puni par son propre default Hyperbole L88 - Semire et Azora : Regrette leur attitude par rapport a Zadig, « pleuraient » et « consolé » 3) Le pays