Chemin de fer clandestin

surpeuplement des campagnes et aux départs massifs vers la ville, avec les institutions d’assistance et l’emploi industriel et la domesticité.Les conditions de travail sont très dures pour les ouvriers, avec des journées de 14 heures, une discipline de fer, une hygiène déplorable, et les accidents du travail.Et tout cela pour des salaires de misère.Les structures familiales sont instables (1/3 des naissances à Paris sont des enfants illégitimes), il y a aussi un fort alcoolisme, de la prostitution, et

importants (Shanghai et Singapour, deux premiers ports mondiaux en terme de trafic avec 500 millions de tonnes chacun). * Les transports terrestres Voir carte p 25 Les transports terrestres, route et chemin de fer, deviennent de plus en plus complémentaires : route pour les courtes et moyennes distances, chemin de fer pour les longues distances (supérieures à 500 km). Certaines voies ferrées jouent un rôle de « ponts terrestres », c’est-à-dire de transit, à l’échelle d’un continent, d’une façade maritime vers

des communistes, engage peu de réformes de structure qui se réduisent au contrôle de l’Etat sur la Banque de France, à la création d’un Office national du blé destiné à soutenir le prix du blé, à la nationalisation des usines d’armement et des chemins de fer avec en 1937 la SNCF. Le gouvernement espérait que la politique sociale (40 heures sans heures supplémentaires, et hausse des salaires) aurait été à l’origine d’une relance de la production économique par la consommation permise par l’augmentation

des États-Unis tient également à la richesse du pays, aux possibilités du sol américain, producteur de blé, de maïs, de coton, de riz, support d’un élevage florissant, comme du sous-sol, qui contient en abondance houille et pétrole, zinc et cuivre, fer et uranium, et qui a fourni dans le passé or et argent. Peu de pays sont aussi bien pourvus, encore fallait-il exploiter toutes ces ressources et les mettre au service de la nation. L’instrument en a été le capitalisme libéral, moteur de l’économie

successives : A)La mondialisation au temps de la suprématie britannique (1850-1914) -Domine le monde (libre-échangiste, empire, Londres, livre, 1ere puissance éco et financière) -mondialisation s’accélère à la fin du XIX° (chemin de fer, canaux, info plus rapides,…) B) La suprématie des Etats-Unis après 1945 -Une superpuissance économique (créanciers du monde, militaire, diplomatique, technopoles) -USA, moteurs du processus de mondialisation ( FMN, American

exerce sur les déplacements des hommes et des marchandises. Elle a pour cela développé des moyens de transports divers de la domestication des animaux (bœuf, âne, cheval, chameau) dès la période préhistorique à la découverte du transport motorisé (chemin de fer, bateau, automobile, avion) en passant par l’invention de la roue et de la navigation. L’évolution de ces moyens de transport ayant accompagné celle du progrès technique. En contribuant à la facilitation de la circulation des hommes et des marchandises

possibilités agricoles et touristiques. c. Un territoire maîtrisé Les Américains ont une bonne maîtrise de leur territoire. L’espace, motivation de la conquête aux XVIIIe et XIXe siècles (d’Est en Ouest), est quadrillé par un bon réseau de transports : chemin de fer, batellerie, puis autoroutes et réseau aérien. Le réseau de télécommunications y est très complet. Cet espace est mis en valeur. Il est organisé par une structure fédérale de 50 Etats dont la gestion est en partie autonome. L’essentiel Le territoire

venons, il y a 3 mois de cela, de « fêter » la chute du Mur de Berlin : cet énorme dispositif séparant l’Allemagne de l’Ouest et l’Est et plus particulièrement le monde entre deux idéologies : le capitalisme naissant et le communisme. Ce « Rideau de fer », symbole de cette guerre froide (1945-1989) n’est heureusement plus d’actualité  aujourd’hui. Cette réconciliation de 1989 n’a pas pour autant mis fin aux tensions. L’Europe a vu un redessinement de ses frontières amenant à la création ou à l’indépendance

pratique avec le contrôle de la taille, de la croissance des villes, la limitation de l'extension des villes. - de 1548 à 1724, succession de règles, d'ordonnances pour fixer les limites de la ville de Paris. Cependant, toujours des constructions clandestines. A la veille de la révolution française, réalisation d'une enceinte physique : l'enceinte des Fermiers Généraux, Pourquoi limiter la taille des villes ? Les autorités avaient peur de ne pas pouvoir approvisionner la ville et ses habitants; pour

des artisans (tondeurs et tricoteurs sur métiers à bras anglais) aux employeurs et manufacturiers qui favorisaient l'emploi de machines (métiers à tisser notamment) dans le travail de la laine et du coton. La lutte des membres de ce mouvement clandestin, appelés luddistes ou luddites, s'est caractérisée par le « bris de machines ». Deuxième Kondratieff 1850-1890 Point haut 1873 Ce deuxième cycle est plus complexe à expliquer. Même l'analyse schumpetérienne est difficilement tenable puisque