Cher Ange Vous êtes Belle

et se détendre . Nous n'avons certainement pas de sortir pour dîner si vous ne voulez pas . Je vais appeler Molly et lui dire que vous êtes trop fatigué . Voulez- vous que je le fasse? Elle comprendra , je sais qu'elle le fera. Et je vais vous faire cuire quelques belles souper ici à la maison . Il ya beaucoup de viande dans le congélateur . Nous avons une belle rôti . Il va juste prendre un peu plus longtemps à cuire , c'est tout . Alors qu'il est dans le four , je vais- je vais glisser hors de

(Baudelaire) - Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre (Baudelaire) La métaphore : est une sorte de comparaison mais sans outil de comparaison. Elle établie une assimilation entre deux termes. Elle est souvent formée à l’aide du verbe « être » : - Notre cœur est une lyre où il manque des cordes (Chateaubriand) - Vous êtes un beau ciel d’automne, clair et rose (Baudelaire) Par juxtaposition : - Poésie, ô trésor ! perle de la pensée.. (Vigny) - Mon bel amour, mon cher amour, ma déchirure

fut bientôt exclusivement acquise à un tableau qui, par ce temps de trouble et de révolutions, était déjà devenu célèbre, et que visitaient quelques-uns de ces entêtés auxquels on doit la conservation du feu sacré pendant les jours mauvais. Cette belle page représentait une Marie égyptienne se disposant à payer le passage du bateau. Ce chef-d’œuvre, destiné à Marie de Médicis, fut vendu par elle aux jours de sa misère. — Ta sainte me plaît, dit le vieillard à Porbus, et je te la paierais dix écus

bien laxistes. En vérité, les classes laborieuses devraient avoir à cœur de nous donner le bon exemple. Où irons-nous si ces gens-là perdent eux aussi le sens moral? LANE (entrant) Monsieur Constant Worthing. ALGERNON Comment allez-vous mon cher Constant? Que venez-vous faire à Londres? JACK M’amuser! Pour quelle autre raison je me déplacerais? Toujours en train de manger, me semble-t-il? ALGERNON Je crois qu’il est d’usage dans la bonne société de prendre quelque chose vers cinq heures

soudre.Hommes, ici n'a point de moquerie ;Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! XVI e siècle Pierre de Ronsard (1524-1585) Sur la mort de la mort Marie (1578) Extrait : Comme on voit sur la branche au mois de Mai la roseEn sa belle jeunesse, en sa première fleurRendre le ciel jaloux de sa vive couleur,Quand l’Aube de ses pleurs au point du jour l’arrose :La grâce dans sa feuille, et l’amour se repose,Embaumant les jardins et les arbres d’odeur :Mais battue ou de pluie, ou d’excessive

car je ne suis pas fixé… Je verrai ça, ce soir, en faisant ma caisse… (Tirant de sa poche un fragment de chapeau de paille, orné de coquelicots.) Voilà la monnaie de ma pièce !… VÉZINET, prenant le morceau de chapeau et l’examinant. La paille est belle !… FADINARD. Oui, mais trop chère la botte !… VÉZINET. Il faudrait chercher longtemps avant de trouver un chapeau pareil… j’en sais quelque chose. FÉLIX, qui s’est avancé et qui a pris le chapeau des mains de Vézinet. Voyons… FADINARD. Monsieur Félix

les potes, c'est quand tout va bien. MONSIEUR FERNAND : Ça va pas toi, dis ? Hein ? J'ai pas dis ça ! LOUIS : Non, non, t'as pas dis ça, t'as pas dis ça mais tu livrerais ma petite Patricia aux vautours ; oh, mon petit ange... MONSIEUR FERNAND : Ton petit ange, ton petit ange, hein ? LOUIS : Oui, oh, maintenant que t'es dans "l'honnête", tu peux pas savoir le nombre de malfaisants qu'il existe, le monde en est plein. Ils vont me la mettre sur la paille, ma petite fille. On va la dépouiller et

coquelicot avait raison. Une d'elles, qui était plus grande que les autres et fort belle, demanda la parole et dit : - Je n'ai jamais compris les grands airs que prend la famille des roses. En quoi, je vous le demande, une rose est-elle plus jolie et mieux faite que moi ? La nature et l'art se sont entendus pour multiplier le nombre de nos pétales et l'éclat de nos couleurs. Nous sommes même beaucoup plus riches, car la plus belle rose n'a guère plus de deux cents pétales et nous en avons jusqu'à cinq cents

garçons avaient partagé le même sort , et il séparé de son frère , avait gardé le nom ) pourrait l'accompagner dans cette enquête . Pour trouver l'un des objets de mon affection tada tourmenté , je risquais de perdre l'autre . J'ai visité pendant cinq étés les extrémités les plus éloignées de la Grèce , errant à au-delà des limites de l'Asie , et en roue libre vers mon pays , j'ai adressé à Ephèse , ¬ espérance sans les trouver , mais repugnándome passer par ce ou tout autre lieu où les hommes vivent

d'elle. -Votre position dans le monde, lui dis-je, doit vous faire souffrir? -Je sais, répondit-elle en soulevant sa tête ravissante et en fixant sur moi ses yeux bleus où l'apathie semblait toujours combattre la tristesse, oui, je sais, mon cher Aleo, que je suis flétrie dans le monde d'une désignation ineffaçable: fille entretenue. -Nous l'effacerons, Juliette; mon nom purifiera le vôtre. -Orgueil des grands! reprit-elle avec un soupir. Puis se tournant tout à coup vers moi, et saisissant