Chéronée

très englobante, pourrait nous faire réfléchir sur les problèmes d’intégration des immigrants. COURS DU 6 AVRIL 2011. 430-404 Guerre du Péloponnèse 404-338 : Lutte intercités (surveiller par les macédonien du nord). Sparte 338 = bataille de chéronée : Les armés des cités du sud allié contre les macédoniens. Cela sonne le glas de l’indépendance des cités du sud. Phillip II de macédoine envahit la totalité de la grèce. 336-323 : Alexandre le Grand 323-31 : Époque hellénistique 32-… Histoire

archaïque (VIIIe - VIe siècle av. J.-C.) 3. Epoque classique (Ve - IVe s av. J.-C.) 4. Epoque hellénistique (fin IVe - fin Ie s av. J.-C.) ↳Périodes approximatives Epoque Hellénistique  On peut considérer que la période commence avec la bataille de Chéronée en -338. L’autre date qu’on peut choisir, c’est -336, date de l’avènement d’Alexandre III qui est la plus courante mais on peut aussi trouver la date de -323, avec la mort d’Alexandre III. La fin de période est marquée par la mort de Cléopatre

Philippe II car c’est lui qui s’entoure de portraitistes pour le représenter lui seul ou avec sa famille. Le groupe de portraits du Philippeion à Olympie construit à la gloire de Philippe II a été commandé au sculpteur Léocharès après la bataille de Chéronée en 338 av JC. Ce monument comprenant des statues chryséléphantines (les parties nues du corps sont en ivoires, le reste en feuille d’or) d’Alexandre le grand, d’Amyntas (père de Philippe II), d’Olympias (mère d’Alexandre) et d’Eurydice. Il peut être

cinquante ans. À cette époque, Philippe, père d’Alexandre, avait déjà soutenu ses premières guerres contre les Illyriens, les Péoniens et les Thraces. La guerre Sacrée lui donne occasion de se mêler des querelles des Grecs, et enfin la bataille de Chéronée, où la phalange macédonienne enfonce le bataillon sacré des Thébains, annonce à la Grèce qu’elle a un maître. Alexandre est roi. Hic autem vir bellator est ab adolescentia sua 1. « Après qu’Alexandre, fils de Philippe, fut sorti du pays de Céthim

Démosthène quelle peine il fallut pour la réveiller: on y craignait Philippe, non pas comme l'ennemi de la liberté, mais des plaisirs . Cette ville, qui avait résisté à tant de défaites, qu'on avait vue renaître après ses destructions, fut vaincue à Chéronée, et le fut pour toujours. Qu'importe que Philippe renvoie tous les prisonniers ? Il ne renvoie pas des hommes. Il était toujours aussi aisé de triompher des forces d’Athènes qu'il était difficile de triompher de sa vertu. Comment Carthage aurait-elle

sa partie inférieure un décret contre toute tentative d’instauration de la tyrannie à Athènes (337-336 av. J.-C.). Ce texte, gravé dans le marbre, est proposé à l’Ecclésia par Eucratès du Pirée, démocrate fervent, au lendemain de la défaite de Chéronée (338 av. J.-C.) qui marque l’échec de la politique de résistance à Philippe de Macédoine. Dans ce contexte, © Nathan 2010, Histoire 2de coll. Sébastien Cote Chapitre 2 – Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve-IVe siècles av. J.-C.) Athènes

la réforme de Clisthène (508/507 avant J.-C.), acte de naissance présumé de la démocratie athénienne, et le moment lycurguéen, auquel on attache traditionnellement une vaste entreprise de réorganisation de la cité aux lendemains de la défaite de Chéronée, en 338 avant J.-C. Ces deux événements, qui définissent les contours de ce qu’il est convenu d’appeler l’Athènes classique, invitent à redonner au politique grec ses vraies dimensions, qui excèdent le champ strictement institutionnel. […] Ces deux

La Période Classique (480 – 338 BC) Deux événements historiques marquent le début de la période Classique : 1. 480 BC : La fin des Guerres Médiques (le sac d’Athènes par les Perses). 2. 338 BC : La bataille des Chéronée, défaite d’Athènes et de ses alliés face à Philippe de Macédoine. Pour l’art et l’archéologie, les changements s’observent après la mort d’Alexandre-le-Grand, quand les royaumes se mettent en place. On assiste à une vraie coupure artistique.

dans un si court intervalle, il n’avait pas eu le temps de former d’assez grands rapports avec Aspasie pour devenir un personnage si considérable. Le second fut celui que les Athéniens firent mourir pour avoir été la principale cause du désastre de Chéronée, comme on le voit dans le seizième livre de Diodore de Sicile, c. LXXXVIII, où cet historien nous a conservé uu fragment du discours que l’orateur Lycurgue prononça contre ce général, et qui échauffa tellement les esprits des Athéniens, que, sans

rhétorique du monde grec sera celle d'Isocrate, mais le meilleur orateur sera Démosthène (383-322 a.n.è.), le principal adversaire de Philippe II de Macédoine. • En 338 a.n.è., Philippe II de Macédoine remporte la victoire contre les Cités grecques à Chéronée. Il propose une alliance militaire entre les Cités (Ligue de Corinthe) dont il serait l'« hégémon » contre l'ennemi commun, la Perse. Mais il est assassiné en 336 a.n.è. • Son fils Alexandre (356-323 a.n.è.), élève d'Aristote, lui succède, entreprend