Chevalet

serpentins, une boîte de maquillage, de vieilles robes longues et brodées. - Quelle chance de trouver ces déguisements avant la prochaine fête à l’école ! ont dit mes filles. -> De quelle fête s’agit-il ? ……………………………………………………… Dans cet atelier, le chevalet et la toile attendent les pinceaux, les couteaux et les brosses. Des aquarelles sont accrochées sur le mur éclairé. Des tubes de couleurs sont ouverts. Des esquisses traînent sur une table. ->Chez qui sommes-nous? ………………………………….. Assise dans un fauteuil

heurtais du crâne mes barreaux, On me livrait tout vif aux chiffres, noirs bourreaux ; On me faisait de force ingurgiter l’algèbre ; On me liait au fond d’une Boisbertrand1 funèbre ; On me tordait, depuis les ailes jusqu’au bec, Sur l’affreux chevalet des X et des Y ; Hélas, on me fourrait sous les os maxillaires Le théorème orné de tous ses corollaires ; Et je me débattais, lugubre patient Du diviseur prêtant main-forte au quotient. De là mes cris.Un jour, quand l’homme sera sage, Lorsqu’on

de l’Homme, le thème du paysage naît. La perspective et les profondeurs se développent avec Brunelleschi, dans les Flandres. Il y a également l’apparition de la peinture à huile qui donne plus de profondeur aux œuvres et des toiles. Le tableau de chevalet apparait ainsi que la peinture tonale. La mutation de l'image du monde par les sciences naturelles et les grandes découvertes, les tensions religieuses et politiques ainsi que les troubles sociaux se reflètent dans les arts. Le réel et l'idéal, le

revisité. Les peintres humanisent le divin et s’autorisent plus d’imaginaire dans sa représentation. Les artistes du quattrocento se détournent de la fresque et utilisent le panneau de bois et la toile tendue sur châssis pour peindre. La peinture de chevalet se généralise à Venise dès le début du XVIe. La composition des tableaux se complexifie au cinquecento, l’étude des effets d’ombre et de lumière tend à créer un modelé illusionniste (Léonard de Vinci avec le Sfumato=enfumé). C’est alors qu’apparaît

sans doute un des plus marquants autoportraitistes de l’histoire, il fait des centaines d’autoportrait de lui qui nous permettent de suivre son évolution, il se peint sans aucune complaisance de manière très réaliste. Rembrandt, autoportrait au chevalet. 1660 Rembrandt a peint ce tableau dans la dernière partie de sa vie, il avait à 54 ans. Il se représente sous une lumière tombante, enveloppante. Il a le visage fatigué et il n’est pas rasé, il fait clairement référence à la difficile période qu’il

réalisme. Il a constitué la rébellion des jeunes peintres français de la fin du XIX e contre les écoles classiques. Ils cherchaient à capter l’intensité de l’instant à travers la lumière et la couleur. Ils travaillaient surtout à l’air libre, avec un chevalet et dans les dimensions les plus diverses. Ils utilisaient des couleurs brillantes du plus bel effet grâce à l’obtention de pigments artificiels. Pour augmenter l’intensité des couleurs, ils n’utilisaient pas le noir ni les tons terres. Les artistes

perspectives. Elle va créer une vrai révolution dans la peinture . La peinture médiévale était surtout caractérisée par des thèmes surtout religieux, des enluminure. Cette renaissance permet de découvrir de nouvelles techniques tel que la peinture sur chevalet, la peinture sur toile qui est plus économique, l'amélioration de la peinture à l'huile par Jan Van Eyck. Les peintres Italiens : Léonard de Vinci (1452-1519)En 1504, il s’installe à Florence. Il assimile des nouveautés graphiques comme les

il s'appelle "santir" ou "santour". Il aurait été importé par les gitans en Occident à l'époque des croisades. On en retrouve dans des peintures italiennes dès 1430, il est de forme rectangulaire et un chevalet divise les cordes par leur moitié (soit l'octave), les cordes situées à gauche du chevalet sonnant à l'octave au-dessus de celles situées à droite. On l'appelle alors "doulce melos". On utilise déjà de petites mailloches de bois pour frapper les cordes métalliques. Comme il n'y a pas d'étouffoirs

À Paris, le Salon Comparaisons, au musée d'Art moderne de la ville de Paris, constitue dès 1954, le point de rencontre de tous les exposants de ces courants, confrontés, dans le même espace, aux peintres figuratifs et abstraits de la peinture sur chevalet.

bandes d’or diaphanes où brillaient des grains de poussière. 19 Une douzaine de chevalets élevaient leurs flèches aiguës, semblables à des mâts de vaisseau dans un port. Plusieurs jeunes filles animaient cette scène par la variété de leurs physionomies, de leurs attitudes, et par la différence de leurs toilettes. Les fortes ombres que jetaient les serges vertes, placées suivant les besoins de chaque chevalet, produisaient une multitude de contrastes, de piquants effets de clair-obscur. Ce