Chiton

un rocher, terre cuite, moule fait en argile ou plâtre, on a très peut de moule la grande Herculanaise, Praxitèle, côtes de melon, la tholia, base de Mantinée, base de statue, traitement du costume Tanagréenne, en terre cuite, trace de polychromie, chiton et himation, bleu , rose, dorure, atelier de la dame en bleue, provenance : Tanagra sophocléenne, atelier de la dame en bleu, musée du Louvre, hanchement très prononcé souligné par le bras gauche positionné sur la fesse les innovations technologiques

pieds nus ou chaussés de kothornoi, les cothurnes (chaussures à épaisse semelle de bois) grandissant l’acteur et lui donnant un air majestueux conforme aux rôles de rois ou de héros de la mythologie. Le costume comique masculin consiste souvent en un chiton (tunique) et un manteau courts. Il arrive que l’acteur utilise également des rembourrages au niveau des fesses et du ventre. Dans la comédie, le costume est agrémenté d’accessoires : de petites ailes, par exemple, pour le chœur des Guêpes d’Aristophane

jouées étaient choisies par le gouvernement. Tous les rôles cependant sont tenus uniquement par des hommes qui représentaient des dieux et qu’ils incarnaient grâce à des masques, et des tenues appropriées (tissus, bois, liège). Leur tunique (Chiton) couvrait leurs pieds et leurs poignets. Ils portaient également des chaussures en bois à semelles très épaisses (cothurnes). Les places des spectateurs variaient en fonction de leur Figure 2 : Masque utilisé lors des comédies en Grèce importance

car patinées : tombées durant le transport et trop dur à imiter, peut-être volontaire ▫Statuette en fonte pleine sur la bossette centrale mais plus grise du fait de son alliage différent et de son séjour dans le liquide du cratère. Femme vêtue d’un chiton serré par une ceinture, d’un himation et de chaussures à bout relevé. Elle tient verticalement dans sa main droite une phiale qui est donc vide et tenait une oenochoé dans l’autre ▫Entre 14 et 18 statuettes étaient rivetées sur le couvercle mais ont

par Poséidon dont l'identification est rendue certaine par le trident. On aurait plutôt attendu à cette place Zeus, le roi de l'Olympe et le père du héros. Héraclès a abandonné ses attributs habituels, léonté et massue, pour l'occasion. Revêtu d'un chiton court richement brodé, il ne porte que l'épée et l'arc. Il est précédé d'Athéna qui se distingue par un bouclier au très bel épisème en forme de chouette et d'Hermès qui semble, par sa position, faire la transition entre les deux mondes. De part

verbale. Voici donc l’ancêtre de la première comedie improvise. Ceci est l’ origine ce n est pas une comedie. les acteurs : tous masculins , rembourre le ventre et le derrière pour les rendre grotesques , sur des échasses, ils sont tous vétus d un chiton: c est une courte blouse qui accentue les formes et ressemble a un tonneau de vin. Par contre les masques sont plus petits que ceux de la tragédies et le nez est très applati, très long. Découpage d’une /comedie -1ère partie : le prologue : expose

Le gagnant du concours recevait un bélier en récompense. Autrefois, seuls les hommes jouaient, ils représentaient des dieux comme des femmes. Ils les incarnaient grâce à des masques, et des tenues appropriées (tissus, bois, liège). Leur tunique (Chiton) couvrait leurs pieds et leurs poignets. Ils portaient également des chaussures en bois à semelles très épaisses (cothurnes). Les places des spectateurs variaient en fonction de leur importance. Les places privilégiées étaient pour les religieux

Les tisserands étaient assez nombreux et faisaient un travail de bonne qualité avec de la laine et du lin. Ils utilisaient des métiers à tisser verticaux leur permettant de réaliser des étoffes colorées à motifs. L'habit des Celtes, alors, était le chiton (chemise ouverte), le manteau et le pantalon large pour les hommes, la robe pour les femmes. Tout ces habits étaient de couleurs vives. La métallurgie était présente dans quasiment tous les oppida, on y travaillait principalement le bronze et le

fine, des épaules trop larges... Les traits des visages sont caractérisés par un sourire et des pommettes saillantes, de grands yeux en amandes particulièrement bombés. Les kouroi (masculin pl) sont entièrement nus, les korai (féminin pl) vêtues d'un chiton (tunique de lin) ou d'un peplos (tunique de laine). Ce style est probablement inspiré des œuvres égyptiennes découvertes en Grèce grâce au commerce à partir du VIIème siècle avant Jésus Christ et se caractérise par la coiffure en nattes tressées,

accentué par l’évasement de la robe dans le bas. La koré porte plusieurs couches de vêtements et la sculpture joue sur le rendu du drapé avec des plis parallèles les uns aux autres. On a un jeu de surface lisses et striées. La première robe lisse, «chiton », s’attache devant, à la ceinture avec des plis très fins verticaux, c’est un rappel de la colonne cannelée. Le tout accentue la verticalité. Par-dessus il y a un « himation », sorte de manteau, placé en oblique pour varier le rendu et agrafé dans