Chlorofluorocarbure

dans l’atmosphère la même masse de méthane et de gaz carbonique, le pouvoir de réchauffement du méthane sera 56 fois supérieur à celui du CO2. Dans le cas du protoxyde d’azote, ce facteur est de 280. D’autres gaz à effet de serre comme les chlorofluorocarbures ont, à masse égale, un pouvoir de réchauffement entre 5 000 et 10 000 fois supérieur à celui du gaz carbonique. Heureusement, leur concentration dans l’atmosphère reste très faible . L'effet de serre naturel n'est pas mauvais en soi

volcans. Les plus gros émetteurs sont généralement les centrales thermiques[xxviii], les raffineries, les grandes installations de combustion, etc. Le gaz naturel, le GPL[xxix], le bois sont des combustibles[xxx] pas ou très peu soufrés. Les chlorofluorocarbures[xxxi] (CFC) sont totalement artificiels. Les émissions de CFC provenaient de l'utilisation des produits comme des aérosols[xxxii], des mousses[xxxiii], des extincteurs[xxxiv] ou des réfrigérants[xxxv]. A la suite d'accords internationaux, la

ce gaz a augmenté de 11 % depuis1978. Il a une durée de vie d’environ 14 ans. • les chlorofluorocarbures ( CFC ) proviennent des agents réfrigérants et des bombes aérosol. Ces gaz détruisent la couche d'ozone et contribuent beaucoup à l'effet de serre. Leur durée de vie et d'environ 1000 ans. Ils sont 10 000 fois plus efficaces que le CO2 pour capter la chaleur ! La concentration des chlorofluorocarbures a été réduite grâce au protocole de Montréal signé en 1987 : Partout où leur utilisation

de 1,3°C. * Les chlorofluorocarbures ( CFC ) sont des gaz qui ont durée de vie d'un millénaire et sont 10 000 fois plus efficace que le C02 pour capter la chaleur. Ils détériorent la couche d'ozone et, favorisent l'effet de serre. Il provient des agents réfrigérants ainsi que des bombes aérosol. Il à été utilisée pour son prix, mais qui à désormais fortement augmenté depuis son interdiction, lors du traité de Montréal. Ce traité à permis de remplacer les chlorofluorocarbures par d'autre gaz, là

produits soufrés, les volcans. Les plus gros émetteurs sont généralement les centrales thermiques, les raffineries, les grandes installations de combustion, etc. Le gaz naturel, le GPL, le bois sont des combustibles pas ou très peu soufrés. Les chlorofluorocarbures (CFC) sont totalement artificiels. Les émissions de CFC provenaient de l'utilisation des produits comme des aérosols, des mousses, des extincteurs ou des réfrigérants. A la suite d'accords internationaux, la production de ces substances, qui

l'eau a un jour coulé sur Mars, on peut donc penser qu'il en reste emprisonné dans le sol, ce qui faciliterait la réactivation de l'hydrosphère ainsi que l'augmentation de la pression et de la température. Il reste enfin le problèmes des CFC ( chlorofluorocarbures ). En effet, le lieu de production reste encore a être déterminer. On ignore si il est préférable de les produire sur Terre, auquel cas il faudrait ensuite les envoyer sur Mars a bord de sonde spatiale que l'on ferait exploser, ou alors si

évolutions pour ce produit, l’anti-transpirant continu d’abimer les vêtements. Un grand changement s’effectue en 1950, les déodorants et les anti-transpirants apparaissent sous forme de vaporisateurs, contenant de l’aluminium zirconium et du chlorofluorocarbure propergols. Leurs succès furent impressionnants ; ils engageaient à eux seuls, plus de 80% des ventes de déodorants. Cependant, les composants de ces produits n’étaient pas sans risques. C’est pourquoi, en 1977, la FDA (Food and Drug Administration)

l’atmosphère ? 3) Conséquences des activités humaines En raison de ses activités industrielles, agricoles et domestiques, l’homme rejette dans l’atmosphère des grandes quantités de gaz à effet de serre (H4, Méthane). Le Co2 et les CFC (chlorofluorocarbures), qui augmente l’absorption du rayonnement infrarouge, provoquent une élévation de la température moyenne de la Terre. Les échanges entre la biosphère et l’atmosphère sont modifiés, l’homme modifie l’équilibre du cycle carbone.

par l’activité humaine : * le gaz carbonique (CO2) (la concentration de CO2 a augmenté de 30% depuis une centaine d’années) * le méthane (CH4) * le protoxyde d’azote (ou N20). Contribuent également à l’effet de serre : * les chlorofluorocarbures (CFC), qui ont également pour effet d’appauvrir la couche d’ozone, * les substituts aux CFC (les HFC, PFC et le SF6). On ajoute les gaz précurseurs de l’ozone troposphérique : composés organiques volatils (COV), les oxydes d’azote (NOX)

volcans. Les plus gros émetteurs sont généralement les centrales thermiques[xxviii], les raffineries, les grandes installations de combustion, etc. Le gaz naturel, le GPL[xxix], le bois sont des combustibles[xxx] pas ou très peu soufrés. Les chlorofluorocarbures[xxxi] (CFC) sont totalement artificiels. Les émissions de CFC provenaient de l'utilisation des produits comme des aérosols[xxxii], des mousses[xxxiii], des extincteurs[xxxiv] ou des réfrigérants[xxxv]. A la suite d'accords internationaux, la