Chlorofluorocarbure

démarches de dialogues avec des Organisations Non Gouvernementales et des associations et en font de véritables partenaires. Un exemple est donné par les suites apportées au protocole de Montréal signé en 1989 sur la limitation des émissions de Chlorofluorocarbures (CFC) où la volonté des firmes a nettement contribué à la solution technique et à sa diffusion internationale : Coca-Cola, Unilever, Pepsi et Nestlé se sont alliés avec les Nations Unies et le WWF pour développer des produits réfrigérants sans

150 ans ; _ L’ozone (O3) qui ne reste pas plus de deux mois dans l’atmosphère ; .Les gaz à effet de serre industriels comprennent aussi des hydrocarbures halogénés comme : _ Les hydrochlorofluorocarbures, comme le HCFC-22 (un fréon) ; _ Les chlorofluorocarbures (CFC) ; _ Le tétrafluorométhane (CF4) ; _ l'hexafluorure de soufre (SF6). NB : 1. L'eau (sous forme de vapeurs ou de nuages) est à l'origine de 72 %, soit près de trois quarts de l'effet de serre total. 2. Le dioxyde de carbone est le principal

« couche » d'ozone stratosphérique qui protège la Terre des rayons ultraviolets nocifs pour toute existence biologique. Ses signataires se sont engagés à réduire, voire à éliminer, les émissions de divers gaz à effet de serre, notamment les chlorofluorocarbures (CFC.), qui détruisent la couche d'ozone. Celle-ci semble aujourd'hui stabilisée, ce qui constitue la première réalisation internationale concrète en termes de préservation de l'environnement global naturel. À son ouverture, la C.N.U.E.D.

le protoxyde d'azote (N2O) ; * l'ozone (O3). Les gaz à effet de serre industriels incluent, outre les principaux gaz déjà cités ci-dessus, des gaz fluorés comme : * les hydrochlorofluorocarbures, comme le HCFC-22 (un fréon) ; * les chlorofluorocarbures (CFC) ; * le tétrafluorométhane (CF4) ; * l'hexafluorure de soufre (SF6). Notes : 1. L'eau (sous forme de vapeurs ou de nuages) est à l'origine de 72 %, soit près de trois quarts de l'effet de serre total1. 2. Le dioxyde de

ans après la signature du protocole, la réussite du projet qui se concrétise par un arrêt total de la production des chlorofluorocarbures prévu en 2010 et une estimation optimiste de la communauté scientifique : la couche d'ozone retrouvera normalement son état de 1980 entre 2055 et 2065. Il était pourtant prévu d'éliminer les principaux substituts des chlorofluorocarbures d'ici à 2020 pour les pays industrialisés et 2040 pour les pays en voie de développement. Le succès du Protocole de

public. Le bien perd alors pendant une période donnée son caractère non exclusif. Une fois la protection échue, il peut retomber dans le domaine public ; - l’établissement de normes internationales (ex : l’interdiction de l’utilisation des CFC, Chlorofluorocarbures, gaz qui détruit la couche d’ozone). Remarque 1 : Réflexion sur le piratage informatique Hachette Livre 2009 – ÉCONOMIE BTS – La photocopie est autorisée pour une classe. La pratique de l’échange de fichiers peer to peer tend à rendre

individuelles : Le changement climatique, ce n’est pas seulement des multinationales qui polluent, c’est le chauffage, le transport ; cela concerne chacun de nous. Protocole Montréal - 1987 = Protection Couche d'Ozone* Limitation usage des Chlorofluorocarbures* (Aérosols & Cie) + Utilisation Substituts   Protocole Kyoto - 2005 = Contrôle Gaz à Effet de Serre Diviser par 2 Emission gaz à effet de serre d’ici 2050  Aider Pays Pauvres à Développer Energies « Propres » (éoliennes, hydromoteurs…)

utiliser l’effet de serre pour réchauffer la planète. Le choix semble se porter sur les chlorofluorocarbures (CFC), des molécules dont l'effet de serre peut-être 10 000 fois supérieur à celui du dioxyde de carbone. Sur Terre, les CFC libérés par l'activité industrielle ont probablement joué un rôle dans le réchauffement du climat et l'apparition du fameux trou d'ozone. Représentation des chlorofluorocarbures : Les CFC doivent leurs intérêts principaux à leur propriété : inerte, stable, ininflammable

combustion des combustibles fossiles, par quelques procédés industriels, par les véhicules automobiles et par les sols (surtout ceux cultivés avec des engrais azotés). Les océans et les sols naturels contribuent aussi aux émissions. I-5-8-3- CFC - Chlorofluorocarbures Ils sont totalement artificiels (à l'exception du chlorure de méthyle d'origine marine). Les émissions de CFC provenaient de l'utilisation de ces produits dans les biens de consommation courante (aérosols propulseurs, mousses, extincteurs

méthane (CH4) ; le protoxyde d'azote (N2O) ; l'ozone (O3). Les gaz à effet de serre industriels incluent, outre les principaux gaz déjà cités ci-dessus, des gaz fluorés comme : les hydrochlorofluorocarbures, comme le HCFC-22 (un fréon) ; les chlorofluorocarbures (CFC) ; le tétrafluorométhane (CF4) ; l'hexafluorure de soufre (SF6). Notes : L'eau (sous forme de vapeurs ou de nuages) est à l'origine de 72 %, soit près de trois quarts de l'effet de serre total1. Le dioxyde de carbone est le principal