Chose en soi

Étude d'un extrait de "les choses" de Georges Perec , "Ils ne méprisaient pas l'argent[...] leurs ambitions,leurs espoirs", p34 "Français première" Introduction: -Georges PEREC (1936-1982), romancier contemporain et moderne. -Groupe: Oulipo, nouveaux romans -Critique de la société de consommation avec des romans comme "les choses"(1965) et "la vie mode d'emploi" (1978) =>En quoi ce texte est il une critique de la société de consommation ? I- Avoir sans être A) Consommer, posséder

cependant nécessairement, ils ont interprété le texte - le propre du chef d'oeuvre littéraire est de permettre plusieurs interprétations. Ex : le personnage d'Arnolphe, méchant homme qui élève sa pupille et future femme Agnès de façon la plus stupide afin de ne pas devenir un « cocu ». Pas sympathique : seul à la fin de la pièce, Agnès est heureuse avec un autre. Après les romantiques, des metteurs en scène ont plaint Arnolphe et l'ont rendu plus pathétique que méchant. III- Les limites de

1. Conductance d'une solution ionique, G : 1.1. Particularité des solutions aqueuses ioniques : Expérience :                                                           solution aqueuse contenant des ions. Un courant électrique circule dans le circuit. Les ions en solution assurent le passage d'un courant électrique dans la solution. Rappels : * Les cations (ions positifs) vont vers la borne - du générateur (que l'on appelle cathode). * Les anions (ions négatifs) vont vers la bornes

L'art sert-il à quelque chose? Les utilités de l'art sont contestées par beaucoup de gens au travers du monde, et cela est tout à fait compréhensible. En effet si l'on regarde une peinture ou une statue, on peut tout à fait se demander a quoi cela sert. Pourtant si l'on y réfléchie, pour tout le monde ou presque, l'art fait partie intégrante de notre vie, comment alors dire que l'art ne sert pas à quelque chose? L'homme passerait il autant de temps devant quelque chose d'inutile? C'est la question

Penser est-ce la même chose qu’avoir une opinion? D’emblée on peut remarquer le caractère provocateur du sujet, car penser ou avoir une opinion ne nous semblent pas être des « chose(s) » terme qui renvoie à la matière, mais au contraire des activités de l’esprit. Cependant, s’arrêter au terme « chose » ce serait passer à côté de l’analyse de l’expression « la même chose » qui peut viser soit «  l’identité » c'est-à-dire que deux réalités seraient de même nature, ou un rapport «  d’égalité » qui

BeasleyJustinT2DM Philo Peut-on désirer autre chose que à être heureux ? Être heureux selon le dictionnaire Larousse est «  Celui qui est très satisfait, très content de ce qui lui advient ». De nos jours, être heureux est généralement le fait de ressentir de la joie, l’accomplissement de nos désirs, en gros, le bonheur. Selon la philosophie antique, le bonheur est tout simplement le but de la vie. Selon Epicure, le bonheur est lorsque l’homme atteint la tranquillité de l'âme. Selon la définition

« Pourquoi il y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? » Cette citation de Leibniz nous ramène au but premier de la philosophie c’est-à-dire atteindre sophia. Depuis l’Antiquité l’homme a toujours chercher à vouloir expliquer la cause de ses maux et à comprendre la raison d’être des choses afin d’améliorer ses conditions de vie. Il est vrai que la sagesse peut sembler être un idéal dans notre monde moderne. Effectivement, on a toujours décrit une personne sage comme quel-qu’un qui aurait acquis

II) Le fait de la chose inerte, instrument du dommage Traditionnellement, lorsqu’une personne subit un dommage du fait d’une chose inerte, il ne suffit pas à la victime de rapporter la preuve de l’intervention matérielle de la chose inerte dans la réalisation du dommage. En effet, la jp exige en outre, pour que soit rapportée la preuve du rôle causal de la chose inerte que la victime établisse son rôle actif, c'est-à-dire son caractère dangereux ou sa position anormale. Autrement dit, pour

comme vraies. L'une des difficultés du sujet tient au flou intégral du "quelque chose". Le problème soulevé par le sujet devrait paraître évident à des élèves scientifiques. Si l'expérience, en effet, ne peut rien "démontrer", alors les sciences expérimentales - à commencer par la physique - ne sont pas des "sciences exactes". Une première partie pouvait montrer que, même si l'expérience peut "enseigner" quelque chose, la démonstration s'exerce essentiellement (pour ne pas dire exclusivement) dans

les trois quarts de nos actions. » En effet, que ferions-nous sans habitudes ? Cette fonction est généralement dévalorisée car on l’associe à un mécanisme qui produit l’ennui. Cette éventualité existe mais un peu d’attention nous prouve que la chose est plus subtile. Nos actes quotidiens – lire, écrire, tenir compte des obstacles dans nos déplacements – ont été acquis ; Hegel n’hésite pas à dire que même la position droite et la marche relèvent de l’habitude. De plus, il ne faut pas croire