Châtiment Orgueil Baudelaire

laisser en berne le drapeau de l’imagination. Le procès de l’attitude réaliste demande à être instruit, après le procès de l’attitude matérialiste. Celle-ci, plus poétique, d’ailleurs, que 3 la précédente, implique de la part de l’homme un orgueil, certes, monstrueux, mais non une nouvelle et plus complète déchéance. Il convient d’y voir, avant tout, une heureuse réaction contre quelques tendances dérisoires du spiritualisme. Enfin, elle n’est pas incompatible avec une certaine élévation

( L'arbitraire des raisons invoquées pour chaque condamnation : on note la disproportion entre la châtiment (la mort) et le chef d'accusation : non respect d'une pratique imposée par le catholicisme, retour à des pratiques traditionnelles pour deux Portugais issus du Judaïsme, propos prétendument dangereux tenus par Pangloss, attitude simplement attentive du disciple. ( L'horreur du châtiment et le caractère spectaculaire donné à la cérémonie. Une condamnation à mort est transformée en sacrifice

comme croient pouvoir le faire certains psychanalystes, l'ensemble d'une œuvre. [9] C'est donc au niveau des images détachées que nous pouvons « retentir » phénoménologiquement. Mais, précisément cette pointe d'orgueil, cet orgueil mineur, cet orgueil de simple lecture, cet orgueil qui se nourrit dans la solitude de la lecture, porte une marque phénoménologique indéniable si l'on en maintient la simplicité. Le phénoménologue n'a ici rien de commun avec le critique littéraire qui, comme on en a souvent

carrière. De nombreuses vocations d'écrivain naquirent à Pékin sans qu'il faille y chercher d'autre explication. Si Baudelaire avait pu savoir que «n'importe où hors du monde» trouverait une illustration en cette accumulation chinoise de vrai, de faux et de ni vrai ni faux, il ne l'eût pas désiré avec tant d'ardeur. A Pékin, en 1974, je ne lisais ni Wittgenstein, ni Baudelaire, ni le Renmin Ribao. Je lisais peu: j'avais beaucoup trop à faire. La lecture, c'était bon pour ces désœuvrés qu'étaient

le met au défi de rompre, et lui fait parvenir un «petit modèle épistolaire» de lettre de rupture cinglante et destructrice qui commence par : «On s’ennuie de tout, mon ange, c’est une loi de la nature ; ce n'est pas ma faute.» (lettre 141). Par orgueil, il s'exécute, la recopie sur le dos d’Émilie, et l’envoie enfin à Mme de Tourvel, que pourtant il aime, sans penser aux conséquences d’un tel acte. Mme de Merteuil triomphe, et le fait savoir à Valmont : «Oui, Vicomte, vous aimiez beaucoup Mme de

Rép., selon Zola => Ds La Curée, Zola décrit l’écharpe rouge, signe de pouvoir, du frère de Rougon comme le sang. Le roman sur les rouages de la politique montrant les crimes du 2nd Empire est dc un texte romanesque engagé comme Hugo ds Les Châtiments, 1853 qui utilise les ressources de la poésie pr dénoncer le crime de ce Régime et la médiocrité de son dirigeant. Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde Un mouvement littéraire et culturel : le classicisme Madame de

de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir ; Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. [Baudelaire, Les Fleurs du mal – Antisthène : penseur grec fondateur du cynisme philosophique – Don Luis : père de Don Juan chez Molière – Rapière : épée à lame fine utilisée pour les duels] [Baudelaire, Les Fleurs du mal – Antisthène : penseur grec fondateur du cynisme philosophique – Don Luis : père de Don Juan chez Molière – Rapière : épée à lame

de la mélancolie Evocation du temps qui passe/fuite du temps Ccl: .Poeme en hommage aux gravures de Durer .mais il reprend aussi à travers une description fantastique de ce cavalier et de sa monture, des themes chers au romantisme et notamment à Baudelaire .la mort est ici centrale comme dans les “fleurs du mal” A la promenade, de Verlaine intro: .Dans les “fetes galantes” V s'inspire des tableaux de Watteau, on y voit des couple qui se promenent dans des parcs et badinent agreablement. .Le tableau

mort). 3.3.4.− Les figures d'insistance • La répétition : elle consiste à répéter le même mot pour souligner son importance. « Waterloo ! Waterloo ! Waterloo !...morne plaine » (Hugo, Les Châtiments). • L'accumulation : elle est une série de mots de la même nature, séparés par des virgules. « Gloire, jeunesse, orgueil, biens que la tombe emporte » (Hugo, Les Chants du Crépuscule). • L'anaphore : elle consiste à répéter le même mot au début d'un vers ou d'une phrase ou d'un paragraphe. • L'hyperbole :

 1ère STI2D 3 SEQUENCE I – POESIE ET QUETE DU SENS Problématique Quel sens peut avoir la création poétique ? Que cherche le poète ? Textes étudiés en lecture analytique 1 – Hugo, « Le mendiant », Les Contemplations, 1856 2 – Baudelaire, « Correspondances », Les Fleurs du mal, 1857 3 – Jaccottet, « Le travail du poète », L’Ignorant, 1957 4 – Jaccottet, « Je sais maintenant que je ne possède rien … », L’Effraie, 1953 4 groupements de textes ○1er corpus. C’est le corpus que nous avons