Ciel Brouillé La Femme

Est-ce-le destinataire exprimé par le pronom "tu" dans le titre du poème ? Est-ce une femme, est-ce un homme ou une multitude ? Le poète joue de cette ambiguïté en alternant le masculin et le féminin aux vers 7 et 9.    A la fin du poème, le dernier vers "je t'aime" paraît éclaircir la situation, mais il n'en est rien. Le pronom "je" représente t-il le poète, un inconnu, un homme, une femme ? Et qui aime-t-il ? Le poète brouille l'énonciation pour mieux faire sentir l'hymne à la vie et à l'amour, du plus

prince des nuées  Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Charles Baudelaire Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée

dans son atelier et donne l'impression d'avoir fait son tableau sur le terrain. Dans le dernier tableau de la serie, les traces de peinture sont brouillés comme s'il avait fait son tableau rapidement sauf sur le visage où la serveuse semble arrêter, semblant prendre conscience dans toute cette agitation qu'on l'oberve calmement. Sur le premier tableau la femme est en arrière en plan. Personne ne semble la remarquer ni faire attention à elle mais elle finit une boisson d'un client devant tous les présents

2) Lieu indéterminé * Outils : - Allusion vague «  Là- bas » : déictique spatial=locution adverbiale reprise 3 fois ds le refrainlieu indéterminé opposé à la réalité qui ne peut être compris que par la femme aimée. * « Là » 1er refrain : sorte de promesse : un objectif : V 3 à 5 * « là » 2ème refrain : univers symbolique de la chambre * « là »3ème refrain : monde qui s’étend à perte de vue * 1ère strophe espace délimité mais flou :

scène tragique.Comique de mot à propos du spectre : « Ah monsieur c’est un spectre » et dans la scène finale « Ah mes gages … » rappelant son statut de valet.Sganarelle conclue sans aucune émotion sur le registre de la comédie, comme pour mieux brouiller les pistes et de rire du dispositif scénique baroque mis en place.Sganarelle parle au nom de la morale mais au moment du danger il désavoue son maître dont il a été le complice et le double : Don Juan n’est pas plus qu’un employeur indélicat qui

point notre jugement; elle le ravit et le ravage." Le poème, défini de cette façon, semble être coupé du réel et échapper à l'analyse rationnelle. Pourtant, la poésie émane de la réalité, l'exalte ou la nie. Aragon écrit « La poésie est un miroir brouillé de notre société, et chaque poète souffle sur ce miroir ». La définition de la poésie par son sujet laisse le lecteur face à un paradoxe : la poésie serait-elle un exercice d’imagination ou une évocation de la réalité ? Même si la poésie peut s’inscrire

31 Aout 1867. Pour Baudelaire on connait cinqs femmes, dont deux qui ont peu comptés dans sa vie et qui sont : Madame Autard de Bragard: lors de son voyage vers l'île Maurice en 1841, le bateau de Baudelaire fait une escale à Pont Louis. Cette femme l'heberge donc du 1er au 18 septembre 1841. Ce sera la premiere personne , on pense à lire les fleurs du mal . Pour elle Baudelaire a beaucoup de respect et écrira " à une dame créole". Sarah la louchette : Baudelaire la rencontre lorsqu'elle est

apprendra les choses, je vais voir fondre sur moi un orage soudain d'impétueuses réprimandes. SYLVESTRE Les réprimandes ne sont rien, et plût au Ciel que j'en fusse quitte à ce prix ! Mais, j'ai bien la mine, pour moi, de payer plus cher vos folies, et je vois se former de loin un nuage de coups de bâton qui crèvera sur mes épaules. OCTAVE O Ciel ! par où sortir de l'embarras où je me trouve ? SYLVESTRE C'est à quoi vous deviez songer avant que de vous y jeter. OCTAVE Ah ! tu me fais

Don Juan va jusqu’au bout de ses idées. 7) Quelles sont les dernières paroles de Don Juan dans ces deux scènes ? Essayer de leur donner des sens différents. Scène 5 : « Non, non, il ne sera pas dit ». Il ne veut pas se repentir. Scène 6 : « O ciel que sens-je […] » ( propre mort de Don Juan. 8) Quel sens donner à la dernière réplique de la pièce ? Côté comique de la pièce ( Sganarelle est le seul à être malheureux. Don Juan ne semble pas totalement subir une défaite puisqu’il reste sur

(exemple : « L’autre mime en boitant. ») : on imite le poète, le dégrade, l’humilie. On retrouve plusieurs antithèses, « beau...laid », ainsi que d’oppositions, « planche...azur ». Ces deux procédés marques l’aspiration du poète vers le bonheur (le ciel) et son mal être face à la société (sol). 5- Conclusion Ces deux poèmes ont une structures semblables et exposent le comparé dans la dernière strophe (le poète). Ils développent une allégorie de la condition de vie du poète au 19siecle, vécu comme