Cimetière juif

d'or ainsi que de la légion d'honneur. En 1898 il est fait commandeur de l'Ordre de Léopold (décoration militaire et civil de Belgique). DECES Il est atteint d'une cirrhose virale et meurt le 20 janvier 1901 à Bois-Colombes. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise ou sa tombe est surmonté d'une statue en bronze le représentant, sculpté par Mathurin Moreau. Il est encore honoré des plus hautes distinctions honorifiques belges et françaises. BIBLIOGRAPHIE / WEBOGRAPHIE http://www.reflexcity

d’ébène est précieux. Là, on me rendit les roses ; je les conservai dans un vase. Le lendemain, elles avaient disparu. Sans doute mon chat en avait-il fait son affaire. « Je décidai de me rendre sur la tombe de mon vieil ami Raoul C…, enterré au cimetière du Père-Lachaise, non loin de chez moi. Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant deux roses blanches posées sur sa tombe ! Je baissai la tête vers les fleurs et, quand je la relevai, une femme tout de blanc vêtue et au teint très pâle se tenait

poème est classique dans le fond car il est moralisateur mais sa forme est bien moderne. J’ai choisi ce poème car Baudelaire est un poète clef de cette époque. "2 Troisième poème:Antoine BLONDIN, AU PÈRE-LACHAISE J'ai vu tout de suite que ce cimetière n'était pas comme les autres... Celui-ci appartient déjà à l'autre monde par sa porte en demi-lune, la pente douce de ses verts paradis, la rocaille tortueuse de ses mausolées. Avant d'y pénétrer, on devine qu'on ne fera jamais le tour, qu'on ne

mode d'emploi et, suite au succès de cette œuvre, il quitte son emploi au CNRS afin de se consacrer entièrement à l’écriture. Il meurt d'un cancer des bronches le 3 mars 1982 à l'hôpital d'Ivry et ses cendres reposent désormais au columbarium du cimetière du Père-Lachaise à Paris Oulipo : L'Ouvroir de littérature potentielle, généralement désigné par son acronyme Oulipo, est un groupe international de littéraires et de mathématiciens se définissant comme des « rats qui construisent eux-mêmes le

mais ne figure pas sur les registres de l'Académie. Il promet aussi d'écrire que des ouvrages pieux. Il meurt le 13 avril 1695, et fut inhumé le lendemain au cimetière des Saints-Innocents. On peut trouver sur son corps un cilice, pénitence que l'abbé Pouget dit ne pas avoir ordonné. Sa dépouille sera transférée en 1817 au cimetière du Père-Lachaise.

Lors de la "semaine sanglante", 21 au 28 mai 1871, le mouvement insurrectionnel est écrasé, après des combats acharnés sur des centaines de barricades. Une partie de Paris est incendiée. La dernière poche de résistance est anéantie au cimetière du Père-Lachaise où plus de 400 combattants sont fusillés contre un mur d'enceinte qui devient le mur des Fédérés (nom donné aux partisans de la Commune de Paris). Le nombre de fédérés tués durant les combats, massacrés ou exécutés est estimé entre

en 1917, il est blessé à la tête. Il retourne donc à Paris, et se remet au travail : il fait jouer une pièce de théâtre & publie Calligrammes en 1918. Mais, très affaibli par sa blessure, il meurt en 1918 de la grippe espagnole. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris alors que, dans les rues, les Parisiens célèbrent la fin de la guerre. Son nom est cité sur les plaques commémoratives du Panthéon de Paris dans la liste des écrivains morts sous les drapeaux pendant la guerre 1914-1918.

la ville, mais leurs ennemis réussissent quand-même à pénétrer. Ils cherchent de réprimer la Commune très férocement, en provoquant beaucoup de morts ; pour cela nous appelons cette semaine « Semaine sanglante ». Les combats se terminent dans le cimetière Père-Lachaise, où les « Versaillais » capturent et exécutent les derniers Communards. La Commune donc se développe dans un précis moment de bouleversements et elle est conduite par le peuple ouvrier. Malgré sa brièveté, elle est la base et un

père Goriot.Le père Goriot fut transporté de la pension au cimetière du Père-Lachaise dans un corbillard. Le corbillard ne rejoint pas directement le cimetière, il s’arrêta dans une chapelle. Eugène, une fois arrivé à la chapelle, chercha désespérément les filles qui avaient été prévenues de la mort et de l’enterrement de leur père. Une fois le corps présenté a la chapelle, le corbillard repris la irection du cimetière. Au départ du cimetière, deux voitures se présentèrent, se fut les voitures des filles

la Terreur. Il échappe cependant à l’échafaud et se tient quelques années caché. Il s’exile à Hambourg puis revient en France en 1796. Il écrit ses Mémoires, chef-d’œuvre de pamphlet, et meurt à Paris le 18 mai 1799 d’apoplexie. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris.