Cindynique

consiste en l’évaluation et l’anticipation des risques, ainsi qu'à la mise en place d'un système de surveillance et de collecte systématique des données pour déclencher les alertes. La science qui étudie les risques industriels et naturels est la cindynique, selon la définition proposée en 1987 (Congrès Sorbonne - Paris). En 2004, dans Le risque, cet inconnu, Georges Jousse a proposé le terme « riscologie » pour l'étude générale et scientifique des risques quels qu'ils soient (Cf. Georges Jousse, Traité

____________________________________________________________ ______ Références bibliographiques [1] LE MOIGNE (J.L.). – Théorie du Système Général, théorie de la modélisation. Éd. PUF, Paris (4e édition) (1994). Actes des colloques cindyniques. Institut Européen de Cindyniques (1992), (1994), (1996). Actes des assises internationales des formations universitaires et avancées dans le domaine des sciences et techniques du danger. Université Bordeaux 1, IUT A, Département Hygiène, Sécurité, Environnement

reproduction de la force de travail comme le niveau de satisfaction qualitative et quantitative des besoins correspondants (alimentation, loisir, logement, transport, soins médicaux, etc.)13. La théorie des facteurs organisationnels dans les cindyniques (1980). In, Magne L. et Vasseur D.: risques industriels, édition Lavoisier, Paris 2006. P.156. 9 Bouras J. : « essai d’évaluation des seuils de prise en charge et de l’impact économique des accidents de travail et des maladies professionnelles »

L'inquiétant principe de précaution 2010, PUF, Paris, 2010 (ISBN 978-2-13-057166-7) Voir aussi[modifier] Sur les concepts[modifier] • Hans Jonas et Le principe responsabilité • Responsabilité Sur les risques[modifier] • Cindynique • Risque > Danger > Accident • Étude de dangers • Dangerosité • Aléa • Gestion du risque o Évaluation des risques o Prévention o Réduction des risques o Acceptabilité du risque

faut faire beaucoup de recherche sur les catastrophes qui se sont déjà produites, évaluer les risques de chaque milieux grâce à la science pour pouvoir identifier les endroits où il y a risque. Une science assez récente étudie les risques c'est la cindynique. Cette science est appelée également «sciences du danger». Elle s'intéresse spécifiquement aux risques majeurs. Il faut également étudier la vulnérabilité des espaces pour voir où les populations peuvent s'implanter grâce à une cartographie des

de décision, la gestion du risque consiste en l’évaluation et l’anticipation des risques, et à mettre en place un système de surveillance et de collecte systématique des données pour déclencher les alertes. La science qui étudie le risque est la cindynique. La gestion du risque : S'attache à identifier les risques qui pèsent sur ce qu'elle possède pour sa pérennité, ses moyens, ses biens c.-à-d. les actifs de l'entreprise, ses valeurs au sens large, y compris, et peut être même avant tout,

consiste en l’évaluation et l’anticipation des risques, ainsi qu'à la mise en place d'un système de surveillance et de collecte systématique des données pour déclencher les alertes. La science qui étudie les risques industriels et naturels est la cindynique, selon la définition proposée en 1987 (Congrès Sorbonne - Paris). En 2004, dans Le risque, cet inconnu, Georges Jousse a proposé le terme « riscologie » pour l'étude générale et scientifique des risques quels qu'ils soient (Cf. Georges Jousse, Traité

connait déjà un champ large d’exercice. C’est une question regroupant presque tous les aspects de la vie, grâce particulièrement à la combinaison de sciences diverses autour des cindyniques ; néologisme introduit en 1987 lors d’un colloque tenu à la Sorbonne pour désigner les « sciences du danger ». Les cindyniques (du grec « kíndunos » ; danger), les sciences qui étudient les risques, sont le regroupement d’autres sciences qui étudient le risque dans plusieurs domaines : des sciences de la

nous ne puissions plus imaginer vivre sans ? En sommes-nous arrivés à un point de dépendance si critique qu’une défaillance grave d’un de ces systèmes nous plongerait dans le chaos ? Et si oui, avons-nous un plan B, au cas où? Les spécialistes des cindyniques (les sciences du danger) ont beau chercher à tout prévoir, tout anticiper, cette éruption "ordinaire" nous rappelle que l’humilité reste de mise. Ni l’éruption ni ses conséquences directes et indirectes n’étaient à 100% prévisibles. Après l’infiniment

directement d’une partie d’un document à une autre, ou d’un document à d’autres documents.  i2 : nom d'un éditeur de progiciel, notamment de Supply Chain Planning  ICS : intégration de la conception et du soutien  IEC : institut européen des cindyniques  IED : Interactive Electronic Documentation (voir aussi IETM)  IETM : Intereactive Electronic Technical Manual  IGES : Initial Graphics Exchange Specification (norme du DoD)  ILS : Integrated Logistic System – Système logistique intégré