Cinéaste

Biographie Notre objectif n’est pas ici de présenter une biographie détaillée du cinéaste mais de brosser un rapide tableau dans lequel apparaissent les éléments qui forment l’œuvre d’une vie. (Sur notre photo ci-contre, Federico Fellini et son épouse, Giulietta Masina). Federico Fellini est né dans la station balnéaire de Rimini, sur la côte adriatique, en Italie, le 20 janvier 1920 dans une famille de la petite bourgeoisie provinciale. Bien des éléments de son enfance et de son adolescence trouveront

et la propriété de huit films prévus. Il fait alors immédiatement construire son propre studio dans lequel il réalise neuf films dont Une vie de chien, Le Kid et Charlot soldat. En 1919, un vent de révolte souffle sur Hollywood où les acteurs et cinéastes se déclarent exploités ; Chaplin s'associe alors à David Wark Griffith, Mary Pickford et Douglas Fairbanks pour fonder la United Artists. Puis, Chaplin fait peu à peu entrer dans son univers comique celui du mélodrame et de la réalité sociale comme

donc dire qu’il est important de transmettre. Parfois Il existe des conflits de génération. Les mentalités, les idées changent. De nombreux parents et enfants ne se comprennent plus. La cinéaste Lisa Azuelos met en avant la différence entre les générations. En s'appuyant sur un langage moderne, la cinéaste propose une comédie réaliste, opposant deux générations ; chacune pouvant être détentrice de problèmes identiques. En somme, les sentiments n'ont pas évolué, seule la société dans laquelle

ce film n’a pas de limites. 2) Les films documentaires comme propagande Le film documentaire historique naît avec l’utilisation du cinéma comme vecteur de propagande révolutionnaire. Avec « Le ciné-œil » de Dziga Vertov et les grands cinéastes soviétiques Koulechov, Protozanov, Poudovkine, Eisenstein, Kosintsev & Trauberg, etc, réalisateurs sommés de promouvoir l’image du communisme. Puis, les régimes fascistes qui ont bien retenu la leçon produiront à leur tour des films documentaires

«La réalité et le direct semblent hanter les premiers «documentaires» de Robert Morin, mais le vidéaste comprend très vite qu'il n'y pas de réalité qui tienne devant la caméra. Tout est subjectivité et mise en scène.» S’il y a un courant auquel le cinéaste peut s’apparenter c’est surement celui du Dogme 95 puisque ses intentions et ses contraintes sont très familières au mode de conception de Petit pow pow Noël. Premièrement, Robert Morin rejoint ce courant dans l’idée de faire des films très personnels

que dramaturge en 1906 dans la pièce de théâtre « Nous n’irons plus au bois » cette pièce a été créée au Théâtre du Park de Bruxelles. En 1912, il va jouer dans film belges réalisés par le cinéaste français Alfred Machin. A Bruxelles, en 1946, sa pièce Le Cocu magnifique a été adaptée en film par un cinéaste belge Emile-Georges de Meyst. Il a eu 3 enfant avec son épouseAnna Aldo, Piero,Milan. Son épouse décède le 15 août 1970. Ses œuvres : Le Sculpteur des masques (1908) Le Marchand de regrets (1913)

utilisant la technique du stop motion et des marionnettes qui évoluent dans des décors réels. Son cinéma se caractérise par un défilé de monstres et de créatures et un mélange d'humour noir, d'ironie et de macabre. Restant fidèle à son style, le cinéaste explore plusieurs genres qu'il enchevêtre par moments : film d'épouvante, drame intimiste, conte, mélodrame, biographie filmée, film de science-fiction, comédie, film d'époque, comédie musicale ou encore film d'action. Ses histoires mettent généralement

dramaturge, écrivain pour enfants et cinéaste canadien influençant surtout le Québec de la Révolution tranquille. Il a fait ses études classiques parmi les Jésuites au Collège-de-Brébeuf. Il reçoit une maîtrise en lettres de l’Université de Montréal en 1954; de là jusqu’en 1957, il a enseigné le français à l’Université d’Addis-Abéba en Éthiopie. Il est revenu au Canada en 1958, où il est devenu publicitaire avant qu’il entre à l’Office national du film du Canada comme cinéaste-scénariste. Il participe à la

Chaplin, l’Allemagne nazie, Histoire, 3e Thème : l’Allemagne nazie Analyse d’extraits du film: “the Great Dictator” C.Chaplin 1940 1) Objectifs généraux Problématique : comment Charlie Chaplin, artiste cinéaste s'engage-t-il contre Hitler? Objectifs : de contenus : l'engagement d'un cinéaste témoin de son temps dans la dénonciation de la manipulation hitlérienne méthodologiques : - décoder les images, la bande son et les sous-titres. - exercer son jugement (croiser le film avec des archives historiques)

CRITIQUES * Acte1 scène 1 L'ensemble de la scène est traitée de manière fort peu réaliste par le cinéaste: les personnages sont costumés de façon caricaturale, les gestes sont excessifs, les mouvements réglés comme un ballet, les visages souvent grimaçants. Il s'en dégage une impression parodique, accentuée par une musique qui rappelle celle des westerns spaghetti et par nombre de détails (comme les affiches ou le panneau publicitaire de la pompe à essence) destinés à nous faire sourire.