Cinémathèque française

critique et commercial. Il a été décoré de l'insigne de chevalier et d'officier de l'ordre national des Arts et des Lettres par Frédéric Mitterrand en mars 2010 et fut le président du jury du 63e Festival de Cannes. Le MoMA de New York et la Cinémathèque française à Paris ont consacré une grande exposition à son œuvre plastique et cinématographique, respectivement en 2009 et 2012[1],[2]. Tim Burton a également été le sujet de plusieurs biographies illustrées, notamment Tim Burton d'Antoine de Baecque

→ Chabrol, Godard, Rivette ce sont rajoutés grâce à E.Rohmer – on les a nommé de « jeunes turcs » - critiquaient tout le monde.  « tous le cinéma de l'époque est le cinéma de papa » Henri Langlois - programmateur, fondateur de la cinémathèque française a initié La Nouvelle Vague au cinéma. Godard fait souvent hommage à lui. Caractéristiques de la Nouvelle Vague cinéphiles Hitchcock on les appelait aussi le « hitchcocko-hawksiens » Hawks Paris = espace privilégié

temporelle : formule esthétique Rhétorique Vues= comptemplations, enregistrement Tableaux= construit, artificiel Fin 1900 il à moins de succès et signe un contrat avec Pathé à qui il vends ses œuvres 1930 : collecte à la cinémathèque française lui achète un appartement Charles Pathé 1863-1957 « Le Cinéma sera le Théâtre, le Journal et l’Ecole de demain » Plus grand industriel Français du début du 20e siècle né de parents charcutiers. Voyage en Argentine en 1880 et revient

inventer ce qui est au cœur du 7ème art, son essence même : les films. Pas de films, pas de cinéma ! Et le couple Edison-Dickson est bien à l'origine des premiers films du cinéma, ainsi que le dit haut et fort Laurent Mannoni, conservateur à la Cinémathèque française des appareils du précinéma et du cinéma : les premiers films ont été enregistrés par le « Kinétographe (en grec, écriture du mouvement) : caméra de l’Américain Thomas Edison, brevetée le 24 août 1891, employant du film perforé 35 mm et un

123 À LA UNE DU MAGAZINE Laure Albin Guillot, l’enjeu classique 8 mars 2013 (Vidéo : Regardez cette vidéo sur la page des articles) Que retient-on aujourd’hui du travail photographique de Laure Albin Guillot ? Le nom de cette photographe française (1879–1962), est très peu connu aujourd’hui. Il évoque peut-être pour certains ses “micrographies”, photographies de préparations microscopiques, dont les motifs étonnants sont parfois interprétés comme des expérimentations abstraites, mais que la

œuvres les plus connues de Gehry comportent le Musée Guggenheim (Bilbao) en Espagne, le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles, l'Experience Music Project de Seattle, le Weisman Art Museum à Minneapolis, le Vitra Design Museum près de Bâle, la Cinémathèque française à Paris, etc. Tout d'abord, il fait des études d'ingénierie à Toronto. Après un court passage à l'université d'Harvard, Il se lance dans un voyage d'étude en passant notamment à Paris chez André Remondet. Il finit son voyage et part à l'université

scènes somptueuses et tout cela a constitué la « tradition de qualité »[1]. Mais avec l’esprit de révolution qui s’étendait dans la société française pendant les années 1950, la tradition de qualité a été graduellement considérée comme une contrainte. Afin de changer cette situation, il est apparu de nouveaux réalisateurs, prenant La Cinémathèque française et Cahiers du Cinéma comme les deux forteresses morales, qui sont devenus les personnages représentatifs de la Nouvelle Vague. Ils utilisaient

• 2004 : Carmen de Khayelitsha (U-Carmen e-Khayelitsha), film sud-africain de Mark Dornford-May • 2006 : Car men, film de Boris Paval Conen et du chorégraphe Jiri Kylian Sources : Wikipedia, Films de France (filmsdefrance.com), La cinémathèque française (cinematheque.fr).

récents Docks en Seine vert fluo, en passant par les « rondes » Maison de la Radio et Géode... La région parisienne regorge de constructions contemporaines spectaculaires. Loin du cliché de village parisien qui lui colle à la peau, la capitale française et sa périphérie possèdent une concentration de bâtis contemporains exceptionnels. Vedettes de l'urbanisme parisien, les constructions culturelles ont naturellement hérité de toutes les attentions des architectes. L'exubérance est aussi au rendez-vous

C’est aussi une façon de soutenir le développement culturel local et donc de participer à l’attractivité de votre territoire. MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION MISSION DU MECENAT mission-mecenat@culture.gouv.fr ASSEMBLÉE DES CHAMBRES FRANÇAISES DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE mecenatculturel@acfci.cci.fr FONDATION DU PATRIMOINE www.fondation-patrimoine.org ORDRE DES EXPERTS COMPTABLES www.experts-comptables.fr NOTAIRES DE FRANCE www.notaires.fr • Mécénat Culturel Mettez votre entreprise