Circé

issu du verbe grec « médomai » (μηδομαι) « méditer », issu de la racine d'origine peut-être médique « med » : comprendre, concevoir[1]. Ce nom révèle peut-être le savoir ou la capacité à raisonner de ce personnage. Elle est magicienne, comme sa tante Circé que l'on retrouve par exemple dans l'Odyssée d'Homère, aède grec du IXe siècle avant JC. Particulièrement sombre, la légende de Médée est constituée d'une succession de meurtres ponctuée d'une série de fuites. C'est pour cela qu'elle a accompli

méritent les honneurs et le respect, car c'est la Muse, aimant la race des chanteurs, qui les inspires." Ulysse au Héraut. "Sage fils de Laerte" "fléau des villes" CHANT IX Poséidon: "susceptible et irascible" CHANT X "Ils entendaient Circé chanter dedans à belle voix en tissant la toile" "Je pleurais" (Ulysse) CHANT XI Tirésias parle de Poséidon: "son âme est pleine de rancune" Description des Enfers: "le chien" "Minos" (l'un des trois juges) CHANT XIII "Ne vas-tu

On peut constater que certains personnages de l'Odyssée sont repris mais n'ont pas le même rôle. Nous relevons une allusion à la magicienne Circé qui devient dans la réécriture Docteur Circé. De plus, Saad lui raconte son aventure ce qui nous rappelle l'analepse de l'Odyssée lorsque Ulysse fait de même mais avec les Phéaciens. A la différence du Docteur Circé, la magicienne avait transformé les compagnons d'Ulysse en porcs, ce qui n'est pas du tout le cas dans Ulysse from Bagdad. Ensuite, bien que

L’Odyssée raconte que, après avoir passé une année avec Circé, Ulysse décida de continuer son voyage de retour vers Ithaque. Mais avant de partir, la sorcière le mit en garde à propos des dangers qui l’attendraient en mer. Le premier d’entre eux, dont devait particulièrement se garder le héros grec, c’étaient les Sirènes : ces êtres malins qui ensorcelaient les marins avec leurs seuls chants. Pour les éviter, Circé dit à Ulysse : «Passe au large et bouche les oreilles de tes compagnons

ULYSSE ET LES SIRENES Circé la magicienne prévient Ulysse des dangers qu’il doit affronter, en particulier des sirènes. Les sirènes, filles du dieu-fleuve Achéloos, sont des êtres fabuleux, à la tête et au buste de femme sur un corps d’oiseau. Elles vivent sur des rochers escarpés entre l’île de Capri et la côte italienne. Elles attirent les marins par la douceur de leur voix, qui fait tout oublier et les navires se brisent sur les récifs. Prévenu par Circé, Ulysse leur résiste : "Et je disais

des compagnons réussirent à s’échapper. Ainsi, ils atteignirent l’île d’Aiaié où demeurait la déesse Circé, magicienne, fille du Soleil et de Persé. Les hommes abordèrent l’île, et, après quatre jours, décidèrent d’aller à la rencontre de la magicienne. Après un tirage au sort, c’est Euryloque, égal aux dieux, qui partit avec vingt-deux compagnons. Ils arrivèrent dans l’entrée de la demeure de Circé, ils l’entendaient chanter, merveilleusement bien. Elle tissait. Politès, le capitaine, prit la parole

géants lançaient des pierres énormes sur nos bateaux. Tous furent détruits, sauf celui sur lequel je me trouvais. Et nous naviguions désespérés, regrettant nos propres folies, lorsque nous abordâmes sur une petite île habitée par une magicienne, Circée à la voix d’or. J’y envoyai mes hommes en reconnaissance, et elle les accueillit dignement, leur offrant à manger et à boire, dans un décor magique. Et puis, d’un coup, elle les toucha de sa baguette magique, les transformant en porcs. Pourtant, un

« la très sage Pénélope », « la prudente Pénélope ». Les cheveux des femmes font également l’objet d’éloges : « la nymphe aux belles boucles », pour parler de Calypso, « Calypso aux beaux cheveux », « Circé aux beaux cheveux ». Finalement, on souligne la grâce de ces personnages féminins : « Circé la royale », la « merveilleuse Calypso ». Il est possible de dire que ces épithètes tentent d’idéaliser les personnages féminins, de les monter au rang de la divinité, de la perfection. Les épithètes

l’envoyant au fond d’un détroit. Elle se mit à avaler la mer et les bateaux trois fois par jour. Non loin de là vivait Scylla. À l’origine, Scylla était une nymphe dont Glaucos était follement amoureux. Ce dernier alla demander à la magicienne Circé un philtre d’amour, mais celle-ci, étant folle amoureuse de Glaucos et jalouse de Scylla, profita de l’occasion pour changer la nymphe en un monstre terrifiant, ayant douze moignons en guise de pieds et six têtes emmanchées de longs cous. Dans l’étroit

Médée : Dans la mythologie grecque, Médée est la fille d'Éétès, roi de Colchide. Elle est magicienne, comme sa tante Circé (ou sœur dans certaines traditions qui la font naître d'Hécate). Particulièrement sombre, la légende de Médée est constituée d'une succession de meurtres ponctués de fuites qui la voit accomplir un voyage à travers toute la Grèce antique, sa vengeance meurtrière ayant donné naissance au complexe de Médée. L'histoire de Médée débute avec l'arrivée des Argonautes en Colchide