Citation Claude Gueux

amitié (étude des pages 159 à 163) I. Le directeur, un personnage antithétique à Claude Gueux : Une relation dominant dominé : 1. Dans les lignes 31 à 35, relevez les verbes qui renvoient à Claude Gueux et ceux qui renvoient au directeur. Quelle remarque pouvez-vous faire sur la forme de phrase utilisée ? Pourquoi Victor Hugo a-t-il fait ce choix ? 2. Dans le dernier paragraphe du portrait de Claude Gueux, l’auteur souligne le rapport du personnage face à l’autorité, à l’obéissance : relève

concours de l'Académie des jeux floraux 2. Parcours littéraire Ses activités : poète, dramaturge, écrivain, romancier, personnage politique, sénateur Oeuvres et distinctions : poésies : Les Contemplations (1856), L'Ane (1880) , ses romans : Claude Gueux en 1834, Les Misérables en 1862, et pour ses œuvres théâtrales : Ruy Blas (1838) Appartenance à un mouvement littéraire : chef de file du mouvement littéraire '' le romantisme '' avec Notre Dame de Paris, Les Contemplations … Réception de ses

Messieurs les jurés, un homme ici présent a été condamné, et nous sommes tous ici pour juger s’il est coupable ou non de son acte final. C’est un homme nommé Claude Gueux qui a volé pour pouvoir nourrir sa famille .Cet homme avait pourtant un métier, celui d’ouvrier. Il n’a pas reçu d’éducation néanmoins c’était un homme intelligent, habile, qui ne savait pas lire mais très bien penser. De ce vol, il en tira trois jours de pain et de feu et cinq ans de prison. Arrivé à la prison de Clairvaux, il

[============================================ ] Affaire Claude Gueux Vendredi 30 juillet 183 Son Histoire -Il s' appeler Claude gueux , Personne très intelligent ,Beaux,Habile qui avait une famille une fille et sa femme qui serait pour lu sa maîtresse il habitait dans une petit galetas. Manquant de pain et de feu il décida de voler il pris une sanction de 5 ans dans la prison de Clairvaux ,Mais sa maîtresse ou vous préférer sa femme et sa fille eu du feu et du pain pour 3 jours. En prison claude gueux fut respecter les

Victor Hugo utilise l'histoire de Claude Gueux comme une réflexion sur le rôle et les devoirs de la société envers les criminels et de sensibiliser sur la peine de mort. Le lecteur va développer de forts sentiments de sympathie et de pardon envers Claude Gueux en raison de sa situation. Il est un pauvre ouvrier qui travail fort, mais c’était le froid, sa faim et son désespoir qui l'a amené à voler. Claude Gueux, homme fort et brave, intelligent et sage devenu maintenant un criminel, mais le lecteur

simple, c'est la question de ceux qui ont et de ceux qui n'ont pas ! ». Hugo est un farouche abolitionniste. Dans son enfance, il a assisté à des exécutions capitales et toute sa vie, il luttera contre. Le Dernier Jour d'un condamné (1829) et Claude Gueux (1834), deux romans de jeunesse, soulignent à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment suprême. Mais la littérature ne suffit pas, Hugo le sait. Chambre des Pairs, Assemblée, Sénat : Victor Hugo saisira toutes les tribunes

Léopoldine, sa fille, meurt tragiquement à Villequier. Hugo sera terriblement affecté par cette mort qui lui inspirera plusieurs poèmes des Contemplations — notamment, son célèbre « Demain, dès l'aube... ». Le Dernier Jour d'un condamné en 1829 et Claude Gueux en 1834 sont des romans à la fois historiques et sociaux qui sont, surtout, engagés dans un combat — l'abolition de la peine de mort — qui dépasse de loin le cadre de la fiction. Au début de la Révolution de 1848, il est élu député de la deuxième

Éveil des consciences sur la peine de mort et le rôle de l’État dans l’éducation du peuple ; le lecteur trouvera en Claude Gueux un véritable guide moraliste. L’effet produit est celui d’un miroir qui refléterait l’affligeante vérité des classes ouvrières. La nouvelle prend des allures de brasier, le peuple brûle, l’État l’encourage. L’énergie d’activation est la véhémence du ton de l’auteur, engagé contre la misère. La peine de mort est signe de déclin, d’une société qui croit progresser en encourageant

les écrivains critiquent les régimes politiques (ici le nazisme) de leur époque. Les écrivains sont alors, si l’on peut dire, la conscience de leur époque et osent le montrer, en risquant la prison, et en allant contre les politiciens. Dans « Claude Gueux », Victor Hugo s’élève contre la peine de mort. Robert Badinter dans « l’abolition », s’élève aussi contre la peine de mort. Victor Hugo a osé s’opposer à la mentalité de l’époque en montrant que ce n’était pas faire preuve d’intelligence que de

intellectuel français considéré comme le plus important des écrivains romantiques de langue française. Dans son enfance, il assiste à des exécutions capitales et toute sa vie, il luttera contre ces exécutions. Le dernier jour d'un condamné et Claude Gueux, deux romans de jeunesse, soulignent à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment de la peine de mort. Mais la littérature ne suffit pas, alors Victor Hugo saisira toutes les tribunes pour défendre l'abolition de la peine de