Claire Redfield

------------------------------------------------- - l’enterrement du compte d’Orgaz RIBERA => peintre réaliste Caractéristiques : - utilisation du clair-obscur - composition équilibrés en grande masse et volume solides  - études méticuleuses du corps humain Œuvres : - Le pied-bot ------------------------------------------------- - St Paul l’ermite ZURBARAN : Caractéristiques : - Utilisation du clair obscur - Peintre religieux, il peint des portraits de grandes figures monastiques - Il peint des tissus soyeux

De son coté, le petit garçon semble regarder la bougie mais ses yeux sont complètement de coté et cella donne l’impression que ne regarde absolument rien. L’Artiste est très fortement inspirer de Caravage. Cella ce démontre par les grand jeux de clair obscur qui dans ce cas est la bougie qui éclair les visages des personnages. L’œuvre est chargé car il n’y a pas d’espace où un objet ou un personnage y prend place. Les expressions faciales de l’homme nous montre que l’homme essaye d’enseigner l’art

della Robbia Peinture sur chevalet Le bois est remplacé par la toile, qui est plus économique Le sfumato (effet brumeux, pénétration du clair dans le sombre mis au point par le célèbre Léonard De Vinci) Jan Van Eyck sans l'inventer, améliore la peinture à l'huile les techniques à fresque sur murs, plafonds et voûtes les effets de lumières et d'ombres (clair-obscur, grisaille) la perspective monofocale à point de fuite central (qui exprime la position du peintre, du spectateur, placé en dehors

Souvent dans la littérature du XX° siècle, des évènements banals sont à l’origine d’un grand amour. L’extrait du roman de Clair de femme, écrit en 1977 par Romain Gary trois ans avant son suicide, parle d’un homme qui a rencontré l’âme sœur en la bousculant dans la rue. Dans ce récit rédigé à la première personne du singulier, le narrateur parle d’une rencontre qui laisse supposer qu’il a lui-même vécu. Cette rencontre entre le narrateur et une femme a tout ce qu’il y a de plus banal. Le banal est-il

Synthèse de document Le lien mère fille complice ou en guerre, elles forment un couple particulier dont les sentiments vont de l'amour à la haine. Le texte d’abdelmalek Sayad, « l’émancipation » in la misère du monde 1993 et de Claire Bretécher Agrippine prend vapeur 1991 démontre l’incompréhension des mères avec leurs filles. Herb Watson et Caroline Eliachef et Nathalie Heinich expose qu’une insuffisance de différenciation entraine une confusion d’identité. Le problème soulevé par ces documents

Romain Gary (1914-1980) "Très publique, l'œuvre de Gary est coulée dans une langue claire, aérée, énergique comme dans certaines pages d'Hemingway et inspirée comme dans celles d'un Kessel. L'écrivain va droit au but, pour atteindre à coup sûr son lecteur." (Jérôme Garcin, Dictionnaire de la littérature française du 2Oème siècle (Albin Michel)) Personnage aux multiples facettes : écrivain, diplomate, cinéaste, héros de la " France libre ", Romain Gary confesse son penchant pour les " farces et

définir son idéal esthétique à travers des règles d’écriture, appliquées notamment dans le genre de la tragédie. (c.f la règle des « trois unités ») Le Caravagisme : influence du peintre Italien Le Caravage ; prédominance des scènes de genre, clair-obscur très contrasté. La philosophe des Lumières : née dans les salons intellectuels, elle s’appuie sur les découvertes scientifiques pour développer l’esprit critique et lutter contre toutes les formes de préjugés ; son idéal se résume dans l’ouvrage

a permis d'émuler les solos de batterie de vieux albums de funk, de soul et de rock datant des années 1960 et 1970. Les boites à rythme avaient de plus un stock limité de sons prédéterminés incluant des cymbales, des grosses caisses, des caisses claires et des toms. L'introduction des échantillonneurs (ou sampleurs) a changé la manière dont le rap était produit. Un échantillonneur permet d'enregistrer et de stocker numériquement des petits passages sonores provenant de n'importe quel appareil disposant

traduit dans sa peinture par la présence d’êtres humains dans ses œuvres. 6. De plus, Léonard utilise la perspective pour donner l’illusion de la profondeur : il suggère trois dimensions sur un support en deux dimensions. On lui attribue aussi le clair obscur, un jeu de lumière entre des zones sombres et d’autres éclairées pour mettre en valeur ce qui est essentiel. Enfin, il créé le sfumato : la transition entre les plans et les objets se fait par une légère brume et non pas par des contours tracés

de façon poussée la technique du clair-obscur qui est en fait une technique picturale dans laquelle des parties claires côtoient immédiatement des parties très sombres, créant des effets de grands contrastes. Elle influença nombre de grands peintres après lui. Dans le tableau, le fond est presque noir et l’unique lumière provient de la peau claire de Cupidon et du tissu sur lequel il est assis. La palette ne reprend que des tons bruns et blancs. À l’époque, le clair-obscur ou chiaroscuro, en italien