Clairière

certains partent, comme si ils avaient peur des habits, d'autres veulent les attaquer, mais ils ont peur de leurs armes. Le lendemain, les « sauvages » saccagent toues leurs affaires, leurs « objets » et les emmènent dans une clairière. Le lendemain, alors que la clairière était tranquille, tous se mettent à fuir. Mérou entends des coups de feu. Les chasseurs sont des singes qui sont habillés comme des humains et se tiennent comme eux. Ils tuent levain, un des camarades de Mérou et beaucoup d'autres

ligne seize " Etienne" ," Rasseneur" , "Maheu" et " Zacharie " a la ligne 21 qui montre une volonté de précision de la part de Zola. On releve également dans le texte des indications spatiales comme à la ligne une " au Plan- des- Dames" , " vaste clairière" et "haute futaie à la ligne trois qui permet donc au lecteur de situer le lieu et d'avoir une vue d'ensemble. De plus on retrouve dans le premier paragraphe une description du lieu on peut relevé le champs lexical de la fôret avec les mots "lichen"

et si naine ? » Elle veut alors se venger et se battre avec Héléna qui, effrayée, demande de l’aide aux messieurs. Ils continuent leur joute orale, tout en empêchant Hermia de faire du mal à Héléna, et décident d’en venir aux poings, hors de la clairière. Héléna s’enfuit également, suivie de près par Hermia.Le roi Obéron resté seul avec Puck lui reproche sa méprise. Le lutin se défend en expliquant qu’il a bien humecté les yeux d’un athénien, conformément aux ordres de son maître. Le roi l’enjoint

de la lune, les mains pleines d’or mais n’ayant plus force et qualité pour vivre ; et la vie le rejette. Du côté des joies, nul ne se presse ; elles sont libres dans le monde, seules à mener leurs jeux féeriques sur l’asphodèle et le serpolet des clairières solitaires. Ne crois pas que l’habitant des hautes terres y soit insensible. Il les connaît, les saisit parfois, danse avec elles. Mais la vérité est que certaines de ces joies plus tendres que les brumes du matin te sont réservées à toi, en plus

soldats. Edwin ouvrit la porte et courut comme jamais il n'avait couru, il ne se retournait pas de peur d'être rattrapé par les soldats. Après une heure de course acharnée, sans savoir où il allait, le jeune Edwin s'effondra de fatigue dans une clairière. Une pensée pour sa famille et son village fit couler sur ses joues quelques larmes avant de s'endormir. - " Un peu plus bas, plus bas, stop! Voilà lâchez tout! " Edwin se réveilla dans un lit de laine, le soleil brillant l'empêchait de voir

froid soufflait de la plaine. Le bois était ténébreux, sans aucun froissement de feuilles, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été. De grands branchages s'y dressaient affreusement. Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre des proies : quelques bruyères sèches, chassées par le vent, passaient rapidement et avaient l'air

le regard et le souffle courts, passant à peine, contraint de faire silence. Sous un soleil très matinal, ce fut soudain une explosion de blancheur, de lumière. Je venais de me baisser et de me relever, d’un seul mouvement, à l’orée d’une clairière, une clairière inconnue. Des milliers de brins de muguet sauvage couvraient la prairie comme un manteau de neige ! Premier mai ! C’est Beltaine, « feu de Bel », fête de Lug et de la lumière, des grandes assemblées druidiques ! En Fenderie, chez nos «

caprices qui épuisent George et le ralentissent grandement dans le périple. Mais ce dernier a pris Lennie sous son aile par affection et compassion pour son ami. La nuit, George décide de s’arrêter et de monter leur campement dans une clairière. Ce dernier établit la clairière comme point de ralliement si le moindre problème devait survenir. Chapitre 2 Le chapitre débute par une description du ranch, tandis que George et Lennie y arrivent le lendemain matin et sont accueillis par Candy, vieillard voûté

est, comme son nom l’indique, un cerf blesse de neufs flèches plantées tout le long de son corps. La tête est humaine, c’est celle de Frida. La creature est au premier plan, au centre. Au dessous d’elle, une branche. La scène se passe dans une clairiere délimitée par des arbres au dexième plan. Enfin en dernier plan, on aperçoit la mer recouverte d’un nuage et d’un éclair, le ciel est gris mais l’eau est bleue et semble paisible. Nos yeux, places en face de la creature, vont du cerf au fleches,

     Mais il aperçut au bout d'une clairière une autre voiture arrêtée et quatre messieurs qui piétinaient pour s'échauffer les pieds ; et il fut obligé d'ouvrir la bouche tant sa respiration devenait pénible. Les témoins descendirent d'abord, puis le médecin et le combattant. Rival avait pris la boîte aux pistolets et il s'en alla, avec Boisrenard, vers deux des étrangers qui venaient à eux. Duroy les vit se saluer avec cérémonie puis marcher ensemble dans la clairière en regardant tantôt par terre