Classe moyenne supérieure

ca/media/concl_epr_14EUF_Organisation.pdf Sujet : La “classe ouvrière ”est en déclin. Les ouvriers n'ont pas disparu, mais ils sont moins visibles. En trois décennies, après avoir été la première force productive du pays et la figure centrale de la société salariale, ils ont été numériquement et sociologiquement laminés par la modernisation technologique et managériale des entreprises, les délocalisations et la perte de leurs repères traditionnels. La classe ouvrière ayant déserté le discours social et

terme de|Classe sociale|Strate sociale| Conception de la classe sociale|RéalisteElle est analysée par rapport aux conditions de la production capitaliste|Nominaliste : collection d’individusElle est appréhendée à partir de la situation par rapport au marché = les chances d’accéder à des biens ou des revenus sur le marché des biens ou sur celui du travail| Conception de la conscience de classe|Elle est un attribut de la classe sociale – classe pour soi|Elle n’est pas un attribut de la classe sociale

celle qui amorce le sujet. Il peut s'agir d'un fait, d'une statistique, d'une citation (dans ce cas, bien préciser son auteur, la date et l'intitulé de l'article, de l'ouvrage ou du discours cité). Dans cet exemple, l'accroche est celle-ci : "La “classe ouvrière” connaissait une hausse de sa part dans la population active lorsque, à partir de 1975, les statistiques montrent que celle-ci décline peu à peu". Elle s'appuie sur un fait (apogée des effectifs ouvriers au milieu des années 70, puis déclin

Les classes moyennes existent-elles encore ? C’est depuis la révolution industrielle que les pays touchés par ce phénomène connaissent une mutation sociale. Mais après plusieurs phases de transformations, la mutation décisive se produit après la seconde guerre mondiale. Cette période se caractérise par la « fin des paysans », le déclin, à partir des années 70, des ouvriers, et surtout l’explosion des emplois de bureaux et de services (employés, cadres et professions intermédiaires). Cette métamorphose

même en Suède pourtant de tradition égalitaire. -La chine qui était traditionnellement égalitaire mais son indice de Gine n'a cessé d'augmenter : 1981=0,291 1990=0,324 2012=0,474 Ceci à pour conséquence l'apparition d'une classe moyenne et d'une classe aisée/riche. En 2013 il y a 122 milliardaires en $ en Chine soit plus qu'en Afrique (103) et qu'en France, Royaume-Unie et Allemagne réunies (119). Evolution du coefficient de Gini à l'échelle mondiale Entre 1960 et 1982 les

google image II – Qui sont les consommateurs des produits de luxe ▫ Au début de l'essor du luxe, c'est à dire fin des années 40, le luxe est réservé aux personnes d'élites. Mais durant les Trente Glorieuses, vont faire apparaître les classes moyennes qui vont se mettre à s'intéresser à ces produits. Les personnes adepte à ce marché ont une motivation hédoniste, qui est de se faire plaisir. Par leur achat elles souhaitent appartenir à un club exclusif. Il y a 4 typologies de consommateurs

verrier se trouve confronté à l’augmentation des coûts du fioul lourd et du gaz naturel, qui fournissent les trois-quarts de l’énergie nécessaire SOCIOLOGIQUE CULTUREL Une classe moyenne dans les pays émergents -  La montée en puissance des pays en développement appuyée sur la croissance de leur classe moyenne. Ces classes moyennes s’équipent de plus en plus de verres correcteurs, qu’ils ne pouvaient s’offrir auparavant. TECHNOLOGIQUE Une industrie innovatrice en générale -  La croissance des nouveaux

solidarité (familiale, syndicale…). Le fonctionnement des groupes est différent, certains sont peu marqués par une hiérarchie (les groupes de pairs par exemple) d’autres au contraire sont organisés de manière hiérarchique (entreprise, syndicat, classe sociale). Enfin le degré de cohésion d’un groupe peut aussi marquer des différences. L’entreprise ou certains groupes de pairs (au travail, dans une association…) peuvent avoir une cohésion faible par contre elle est souvent plus forte dans la

idée selon laquelle on assiste à une atténuation des clivages sociaux accompagnée d’un accroissement des couches sociales intermédiaires ou « moyennes ». Cette thèse à été avancer par plusieurs auteur qui soulignait la perte d’emprise des milieux sociaux dit « traditionnels » dotés d’une forte identification comme la bourgeoisie au profit d’une classe moyenne de plus en plus étendue. Evoquée en premier lieux par Tocqueville au milieu du XIXe siècle puis repris et développer par Mendras au XXe siècle

cuisine française. Cela peut permettre aux marques de faire de l'auto-dérision ou de casser les codes pour casser les mythes. p.26 : Les « Classes moyennes »en France : Ce concept de « classes moyennes » ne date pas d'aujourd'hui, mais des « Trente Glorieuses ». Il correspond à l'émergence, entre classes populaires (ouvriers, employés, agriculteurs) et classes aisées (patronat et cadres supérieurs), d'une catégorie de la population ni riche ni pauvre : cadres intermédiaires, techniciens, fonctionnaires