Classification des psychotropes

convention au 1er novembre 2002. • La convention de 1971 sur les substances psychotropes qui met en place "la liste des substances psychotropes". Principaux produits visés : MDMA (ecstasy), LSD, amphétamines, buprénorphine, benzodiazépines ... 172 États avaient ratifié cette convention au 1er novembre 2002. • La convention de 1988 contre le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes qui renforce la coopération internationale dans la lutte contre le trafic sous

textes sont dans une perspective de toxicomanie, étant un concept très large, il importe de préciser la définition de cette problématique : la toxicomanie est un terme générique pour identifier toute dépendance à une substance psychotrope, soit l'alcool, les médicaments psychotropes ou les drogues illicites (Santé Canada, Meilleures pratiques : traitement d’entretien à la méthadone, Ottawa, Bureau de la stratégie canadienne antidrogue, 2002, p. 4.). Le premier texte porte sur l’abus parental de substance

phénotypes bien distincts[4]. Le chanvre fut très largement utilisé par le passé et il côtoie l'être humain depuis le Néolithique. Il a toutefois peu à peu été interdit ou fortement réglementé au cours du XXe siècle en raison de ses propriétés psychotropes. Cela est dû à la propagande puritaine de l'époque aux États-Unis, qui en voyant l'échec de la prohibition, s'intéressa au cannabis, aidé par différents lobbys industriels (coton, papier, pétrole, nylon) et en en réglementant très durement l'usage

un potentiel d’usage nocif, d’abus ou de dépendance et dont l’usage peut être légal ou non ".L'Académie Nationale de Médecine, dans sa séance du 28 novembre 2006, a adopté le texte suivant : " Substance naturelle ou de synthèse dont les effets psychotropes suscitent des sensations apparentées au plaisir, incitant à un usage répétitif qui conduit à instaurer la permanence de cet effet et à prévenir les troubles psychiques (dépendance psychique), voire même physiques (dépendance physique), survenant

les modifications du fonctionnement cérébral lors de l’usage ponctuel ou chronique de psychotropes* et de différencier les mécanismes de dépendance* et d’addiction. Les données de la neuropsychologie, de la neurobiologie et de l’imagerie cérébrale ont pu ainsi démontrer que la dépendance vis-à-vis des substances psychoactives est le produit de mécanismes adaptatifs du cerveau face à l’action des psychotropes et que l’addiction n’est pas due à une absence de volonté mais à une altération des

l'individu dépendant ressent une sensation de vide qui pourrait être comblé par l'accomplissement du comportement addictogène Syndrome du sevrage: Ensemble de symptômes provoqués par l’arrêt brusque de consommation d’une substance psychotrope. Classification Dépresseurs du SNC Stupéfiants : opiacés Somnifères: -barbituriques -non barbituriques Tranquillisants : anxiolytiques Gamma hydroxy –butyrate (GHB) Alcools Stimulants du SNC Majeurs: -amphétamines -cocaïne Mineurs:

mieux à contrôler l’apparition des symptômes, sans que l’on obtienne de véritables guérisons, ni sans que l’on sache vraiment comment les médicaments agissent. C/ Les différentes phases Il existe plusieurs formes de schizophrénie, en effet la classification internationale des maladies discerne plusieurs formes cliniques : * La schizophrénie paranoïde, elle se manifeste par des délires de perspectivisme liés à des hallucinations * La schizophrénie hébéphrénique, elle est caractérisée par un

Epilepsie essentielle ou idiopathique * Aucun signe lésionnel mais seulement des anomalies de l’EEG. * Cryptogénique, où l’épilepsie est due à des lésions cérébrales non identifiables. Causes identifiées: * Sevrage brutal d’un psychotrope * Prédisposition génétique * Troubles métaboliques, hormonaux 2. Physiopathologie de l’épilepsie La crise épileptique résulte d’une dépolarisation d’un groupe de neurones. Cette dépolarisation pourrait être due à : * Diminution

stress et la dépression liés à l’arrêt de la consommation. C’est pour cela que le cannabis est régulièrement appelé « drogue de substitution ». Cela ne se limite pas à combattre le mal par le mal : le cannabis serait, selon différentes classifications des psychotropes, moins « pire » que ces drogues telles que la Cocaine ou l’héroine. 1« Development of a rational scale to assess the harm of drugs of potential misuse »" The Lancet 2007; 369:1047-1053 Symptômes psychiatriques : Différentes

apparition de la 1ère classification internationale, reposant sur des descriptions d’associations de symptômes, statistiquement significative. Les plus utilisés de nos jours sont le DSM-IV et le CIM-10. Le DSM-IV (diagnostic and statistical manuel of mental disorder) est réalisé par l’association Américaine de Psychiatrie. Il a pour ambition de résoudre les difficultés à poser un diagnostic. Le DSM classifie des troubles et non des individus. Le CIM-10 (classification internationale des maladies)