Principia Mathematica

ensembles. premi`re version du paradoxe du menteur est attribu´e ` Eubulide, philosophe grec du IVe si`cle avant e e a e J.C. 2 Bertrand Russell (1872–1970) est un logicien britannique, auteur d’un monumental trait´ de logique e math´matique, Principia Mathematica, ´crit en commun avec A.N.Whitehead (1861–1947) entre 1910 et e e 1913, au plus fort de la crise des fondements des math´matiques, crise apparue en 1902 avec le paradoxe e sus-mentionn´. En 1895, le math´maticien Georg Cantor (1845–1918) avait

physicien anglais, est né l’année de la mort de Galilée. Entré au Trinity College de l'université de Cambridge en 1661, il y effectuait ses propres recherches et enseigna alors qu'il était encore étudiant. Son ouvrage "Philosophiae naturalis principia mathematica", paru en 1687, comporte trois sections et contient l'énoncé de la loi de la gravitation universelle et celui des trois fameuses lois de Newton. Cet ouvrage exceptionnel inclut également une part importante sur les "processus du raisonnement

Les lois de Newton Les trois lois du mouvement sont énoncées par Isaac Newton en 1687, dans son ouvrage Philosophiae Naturalis Principia Mathematica (Principes mathématiques de philosophie naturelle) I) Première loi : principe d’inertie 1) Enoncé Dans un référentiel galiléen, si la somme vectorielle des forces extérieures qui s’exercent sur le système est nulle (on dit que le système est pseudo-isolé), alors sont centre d’inertie est en mouvement de translation rectiligne uniforme ou au

idées, sa réussite indéniable à confronter et assembler les preuves axiomatiques et les observations physiques en un système cohérent, source de prédictions, donnèrent le ton de tout ce qui allait suivre son exemplaire Philosophiae Naturalis Principia Mathematica (1687). Pour montrer le progrès entre l’Âge de la Raison et le mouvement des Lumières, l’exemple de Newton reste en effet indépassable, en ce que le scientifique utilisa des faits observés empiriquement, comme la dynamique des planètes de Johannes

Halley en 1684. En français : Du mouvement des corps, Gallimard, coll. « Tel », Paris, 1995. De gravitatione et equipondio fluidorum. En français : De la gravitation, Gallimard, coll. « Tel », Paris, 1995. Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica, Londres, 1687, 2e éd. 1713, 3e éd. 1726. Opticks, Londres, 1704. Il s'agit d'un ouvrage majeur dans l'histoire des sciences, traitant de la lumière et de sa composition. En français : Optique, Christian Bourgois éditeur, Paris, 1989

objets sur Terre et des corps célestes sont gouvernés par les mêmes lois naturelles ; en se basant sur les lois de Kepler sur le mouvement des planètes[1], il développa la loi universelle de la gravitation. Son ouvrage Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica[2],[3], écrit en 1686, est considéré comme une œuvre majeure dans l'histoire de la science. C'est dans celui-ci qu'il décrit la gravitation universelle, formule les trois lois du mouvement et jette les bases de la mécanique classique. Il a

télescope.En 1672, il entre à la Royal Society de Londres suite à la fabrication d'un télescope à miroir sphérique dépouvu d'aberration chromatique. L'oeuvre majeure de Newton est le Philosophiae naturalis principia mathematica paru en 1687, qui marque le sommet de la pensée newtonienne. Les Principia marquent les débuts de la mathématisation de la physique. Ils comportent tous les fondements principaux de la mécanique classique : égalité de l'action et de la réaction, principe d'inertie, et surtout

la lune et du soleil. Toutes ces découvertes, Newton les publie en 1687 dans un ouvrage devenu célèbre: "Philosophiae Naturalis Principia Mathematica" (Principes mathématiques de philosophie naturelle). Troisième partie : Influence Newton a inflencé le developpement des sciences physiques. Durant 2 siecles suivant la publications des Principia, les scientifiques et philosophes trouverent un grand nombre de champs d'applications des methodes et analyses de Newton. Si bien que les

Londres suite à la fabrication d'un télescope à miroir sphérique dépourvu d'absurdité chromatique. Il publie plusieurs ouvrages comme Opticks, en 1675  mais son œuvre majeure est le Philosophiae naturalis principia mathematica paru en 1687, qui marque le sommet de ses pensées et les Principia marquent les débuts de la mathématisation et de la physique. Ses exemplaires traitent l’égalité de l'action et de la réaction, le principe d'inertie, et surtout la loi de gravitation universelle. En mathématiques

scientifiques. Ses livres et publications Son œuvre maîtresse parut en 1687. Il publie les « Principes mathématiques de philosophie naturelle ». Le scientifique britannique rassemble toutes ses recherches dans ses "Philosophiae naturalis principia mathematica". Parmi les nombreuses études qu’il y décrit (principe d’inertie, mouvement des fluides…), il y expose sa très célèbre théorie de l’attraction universelle, décrivant la gravitation comme une force responsable de la chute des corps et du mouvement