Classiques Et Néoclassiques Rupture Ou Continuité

au EU fin des années 70 et ensuite a été véritablement approfondie en France (auteur de l’économie internationale : KRUGMAN, RAINELLI, MUCCHEILLI). La NEI met en avant certains éléments qui sont essentiels, d’abord elle (ne) reprend les auteurs classique essentiellement Ricardo. * En partant de Ricardo il montre que la « mondialisation » n’est pas un phénomène nouveau. La mondialisation actuelle s’inscrit lors d’un processus de la première révolution industrielle et accéléré lors de la deuxième

d’individu au travail. Depuis l’école classique (1900) chaque mouvement c’est développé en réaction mais non en opposition à celui qui le précédé ( on est ainsi passé de l’école classique à l’école des relations humaines ; cette deuxième école va mettre en avant l’individu au travail dans son comportement en analysant l’être humain et ainsi de suite pour les écoles suivantes). On peut synthétiser ces différentes écoles par le schéma suivant : Chapitre 1 : L’école classique (1900) Introduction générale :

satisfaction des besoins grâce à la recherche et aux innovations ;  ensemble des innovations qui entrainent une transformation des moyens et des méthodes de production, de l’organisation du travail et des marchés, des structures de l’économie ;  rupture technique par rapport aux procédés, au savoir-faire, aux processus précédents, entrainant d’importantes modifications dans l’organisation des firmes et de l’économie, et permettant le « décollage » d’un certain nombre.  il s’agit d’appliquer des

décomposition cycle-croissance I CYCLES Définition des cycles Problématiques A/ LES THÉORIES A PRIX FIXES IS IS-LM L'accélérateur d'investissement Les équilibres à prix fixes Conclusion des théories à prix et salaires fixes B/ LES PROLONGEMENTS NEO-CLASSIQUES Le modèle OG/DG La critique par l'École des anticipations rationnelles C/ LES PROLONGEMENTS NEO-KEYNESIENS Les rigidités réelles Les rigidités nominales D/ CYCLES ENDOGÈNES L'oscillateur de Samuelson Le modèle de croissance avec butoir de

comportements économiques. Comme le soulignent B. Coriat et O. Weinstein2, H.A. Simon propose des principes grâce auxquels peut être mise en place une description des comportements des agents. Ces comportements sont définis par opposition à la vision néoclassique puisque l'auteur substitue un principe de satisfaction au principe de maximisation3. L’approche de H.A. Simon permet en effet de voir en la firme un lieu de compromis entre les participants et permet d’écarter l’objectif de maximisation du profit

l’inflation 115 3) Les conséquences du phénomène inflationniste 116 4) Les politiques de lutte contre l’inflation 116 VII - ECHANGES INTERNATIONAUX ET EURO (TD7) 119 A) LES THÉORIES DU COMMERCE INTERNATIONAL 119 1. Les théories classiques du libre-échange 119 2. Les nouvelles théories du commerce international 120 3. Les théories du protectionnisme 122 B) L’organisation des échanges internationaux 124 1. Le cadre de la libéralisation des échanges commerciaux 124

monétaire 0.1 La bipolarité du savoir économique (Platon et Aristote 5ème et 4ème siècle av J.C) 0.2 Controverse médiévale entre réalistes et nominalistes (12ème et 13ème siècle) Partie I : Les controverses fondatrices de la pensée monétaire classique 1. La controverse Bodin / Malestroit et la théorie quantitative de la monnaie 1.1 La thèse de Malestroit 1.2 La réplique de Jean Bodin 1.3 Bodin, précurseur de la théorie quantitative de la monnaie 2. Des controverses autour de la valeur de la monnaie

Le prix du marché dépasse alors le prix officiel et fin 79 les pays de l’OPEP décident de doubler le prix du baril ( 2nd choc pétrolier. 1980 : prix baril > 31$ Chap. 2 : Histoire de la pensée économique Thème 1 : Le courant fondateur des classiques De ces origines jusqu’au milieu du 19ème siècle, la pensée économique acquiert une progressive cohérence ainsi qu’une autonomie par rapport à la moral, à la religion puis au politique. A partir du moment où la pensée économique sera mise au

le marché. C'est l'Etat qui doit opérer cette régulation. CHAPITRE 1 : Les grands courants de la pensée économique I/ Le courant libéral Il y a deux écoles d'économistes libéraux : École classique : fin 18ème siècle - mi 19ème siècle : Smith, Ricardo, Say, Stuart Mill École néoclassique : depuis mi 19ème siècle, Walras, Marshall, Hayek, Friedman, Stigler, Lucas Leur point commun est la confiance fondamentale dans le marché, c'est le meilleur cadre d'action pour l'économie. Sur le

plusieurs économistes ont expliqué un certain nombre de traits de la société par les caractéristiques de la nature humaine notamment la théorie d’économie standard (ou bien courant mainstream) qui repose sur les mêmes fondements que la theorie neoclassique, et qui cherche à une meilleure allocation des ressource rares (utilisation optimale). Adam smith est l’un des économistes qui ont explique un certain nombre de traits de l’économie par les caractéristiques de la nature humaine qui est attachée