Claude Gueux Les Thèmes

Marivaux dans ‘’L’Île des esclaves’’, par Montesquieu dans ‘’L’Esprit des lois’’, par Voltaire dans son ‘’Dictionnaire philosophique’’, par Rousseau dans ‘’Le contrat social’’ et par tant d’autres. L’originalité de Hugo se trouve ailleurs que dans les thèmes, dans la solution qu’il préconisa pour résoudre les problèmes de l’esclavage et certaines questions d’ordre moral. Et ce fut la première fois qu’un écrivain occidental parla de l’Afrique non seulement à partir d’Haïti, mais de toutes les Caraïbes

(« ses pieds adorés », « la voix qui m’est chère », « ces moments d’ivresse, // Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur », « ces extases sublimes », « Ils ont aimé ! »), sa solitude, et le sentiment douloureux de la fuite du temps, les trois thèmes étant intimement liés dans ce poème. C’est aussi un poème qui fait une large part à la nature, privilégiant ici le lac. 10) Il s’agit de rimes croisées. L’ensemble de la strophe présente une assonance en « ou » et en « an » ; une allitération en «

Feuilles d'automne », « les Rayons et les Ombres », « les Châtiments, la légende des siècles »,  le théâtre avec le Drame romantique, « Hernani », « Ruy Blas », le roman, « Notre Dame de Paris, les Misérable ». Il a aussi touché à d'autres genres, « Claude Gueux » montre une pratique journalistique, « Le Dernier Jour d'un Condamné » est un court roman sous la forme d'un journal intime, la « Légende des Siècles » est une épopée poétique visionnaire et bien d’autre encore. Il était un révolutionnaire et

 Anthologie Poétique Sommaire : Préface Thèmes et poèmes : Le pouvoir de la Poésie « La Fonction de Poète », Victor Hugo, Les Rayons et les ombres « Le crapaud », Tristan Corbière, Les amours jaunes « Alchimie du verbe », Arthur Rimbaud, Une saison en enfer « Le Cageot », Francis Ponge, Le Parti pris des choses La Fuite du temps « Soleils couchants », Victor Hugo, Les Feuilles d’Automne « Le Lac », Leconte de Lisle, Derniers poèmes « LXXVI – Spleen », Charles Baudelaire, Les Fleurs du

spectateur et carnet de voyage : une analogie et une ambition 2. Je me souviens... des citations épigraphes dans les lettres théâtre. 3. Le théâtre au PAF 4. Camus lit L’Etranger : une ressource INA 5. Plaidoyer pour des scénarios pédagogiques - Claude Gueux et le théâtre en classe - Ecriture d’invention : le portrait de Tartuffe - Théâtre d’objets : la tortue et les deux canards 6. Chronique lettres / langue / théâtre - Concevoir un audioguide : une ressource du CARDIE - Débats citoyens en langue

représente aussi le bagnard innocent, forcé de volé par nécessité et que la société a rendu plus mauvais qu’il n’était. Il reprend un thème déjà abordé par Hugo, celui de Claude Gueux : « C’est la seconde fois que […] l’auteur de ce livre rencontre le vol d’un pain comme le point de départ du désastre d’une destiné. Claude Gueux avait volé un pain ; Jean Valjean avait volé un pain » (p. 135-136, I, 2, 6). Fantine est la femme littéralement tuée par la société. Marius est l’enfant trompé, manipulé

tyran de Padoue 1838 : Ruy Blas 1843 : Les Burgraves 1882 : Torquemada 1886 : Théâtre en liberté (à titre posthume) Romans : 1818 : Bug-Jargal 1823 : Han d'Islande 1829 : Le Dernier Jour d'un condamné 1831 : Notre-Dame de Paris 1834 : Claude Gueux 1862 : Les Misérables 1866 : Les Travailleurs de la mer 1869 : L'Homme qui rit 1874 : Quatrevingt-treize Poésies : 1822 : Odes et poésies diverses 1824 : Nouvelles Odes 1826 : Odes et Ballades 1829 : Les Orientales 1831 : Les Feuilles

par le frère de son professeur, Raoul Dufy. De là son goût particulier pour la peinture. UN ETUDIANT ENGAGE : Il fonde les « Jeunesses socialistes » à l’hiver 1916. Cette même année L’Humanité publie son premier conte, L’Eternelle chanson des gueux, suggéré par la vision bouleversante d’un misérable émigrant en gare du Havre. Dans sa chambre, il n'a depuis deux ans qu'un seul portrait, celui de Jean Jaurès. Il monte à Paris en 1917 pour entreprendre des études de médecine qu’il abandonnera

Revue moderne et naturaliste 1. La République, en effet, non moins pudibonde et répressive que l’Empire qui a poursuivi vingt ans auparavant Les Fleurs du Mal et Madame Bovary, condamne en 1876 Les Diaboliques de Barbey d’Aurevilly et La Chanson des gueux de Richepin. En 1877, Goncourt tremble pour La Fille Élisa, et Huysmans fait paraître Marthe à Bruxelles pour éviter les poursuites. Maupassant les craint d’autant plus que sa place au ministère de l’Instruction publique est en jeu ; son affaire se

et de la biographie du personnage qui se construit dans le temps. Pris dans une évolution, il change, il vieillit, et ce même lorsque le récit se concentre sur une seule journée (cf. Ulysse de Joyce, la mort de Virgile d’Hermann Broch, Histoire de Claude Simon). Le travail de la mémoire et la projection du personnage dans l’avenir élargissent de façon considérable l’espace temporel du roman. L’identité du personnage ne dépend donc pas seulement de son portrait mais se construit également dans le temps