Clé de chiffrement

des risques et la réalisation de l’appréciation des risques. Souvent, une première analyse rapide et macroscopique a déjà été menée lors de l’étude d’opportunité, afin d’identifier les chantiers de sécurité à démarrer au plus vite (PCA, IAM, chiffrement, etc.). Lors de cette deuxième étape, il s’agit de réaliser l’analyse détaillée des risques de sécurité répondant aux exigences de l’ISO 27001. Elle permettra d’affiner et compléter les chantiers de sécurité qui auront été lancés en parallèle

802.11b. • • • • • • • • Fonctionnement sur la bande ISM (Industriel, Sciences et Médical) à 2,4 GHz. Utilitaire réseau sans fil Belkin intégré et convivial. Interface USB 2.0, compatible avec pratiquement tout ordinateur doté d’un port USB 2.0 Chiffrement WPA, WPA2, WEP 64 bits (Wired Equivalent Privacy) ou 128 bits. Accès sans fil aux ressources du réseau. Débit de données jusqu’à 300 Mbps* (draft 802.11n), 54 Mbps (802.11g) ou 11 Mbps (802.11b) Installation et utilisation faciles. Voyants lumineux

électroniques fondées sur la cryptographie à clé publique ou sur la cryptographie à double clé sont connues sous le nom de signatures numériques. La signature numérique permet au destinataire de vérifier l’authenticité et l’origine des données ainsi que leur intégrité. permet au destinataire d’un message portant une signature électronique, de déterminer si la signature numérique a été créée au moyen de la clé privé du signataire qui correspond à la clé publique et que le message n’a subi aucune modification

Séparation des équipements DATA et VoIP VII.3 L'utilisation d'une carte réseau supportant 802.1Q VI.4 Désactivation ou protection des ports réseaux supplémentaires VII.5 Sécuriser l'accés aux ports des switch VII.6 L'authentification VII.7 Le chiffrement (openvpn) VII.8 La sécurité périmétrique VII.8.1 Les ALG : Application level gateway VII.8.2 Les solutions intégrées de sécurité (SBC : session border controler) VII.8.2.a Opensbc VII.8.2.b Opensips VII.8.2.c Kamalio CHAPITRE 8 : LA REALISATION

SORUTEL : 9 II.La Voix sur IP (VoIP) 10 III.Attaques et Sécurité de la VoIP : 14 Chapitre 2 : Modélisation des besoins 16 I.Cahier de charge : 16 II.Modélisation des besoins : 18 III.Choix des technologies : 19 III.1.Choix du mécanisme de chiffrement et l’infrastructure du transport : 19 III.2.Solution firewall : 20 IV.Conception de l’application 22 Chapitre 3 :  Réalisation et Configuration 28 I.Architecture finale : 28 II.Configuration et Mise en place : 29 II.1.1.Installation de Pfsense :

les postes des commerciaux. 1. Il s’agit de deux techniques de chiffrement des trames. WPA est plus performant que WEP, considéré aujourd’hui comme insuffisant en terme de sécurité (trop facile à « craquer »). WEP s’appuie sur des clés relativement courtes (de 64, 128 ou 256 bits) mais surtout sur un cryptage de flux par un vecteur d’initialisation de 24 bits, ce qui permet de découvrir la clé après une écoute passive de quelques heures seulement. WPA peut utiliser le protocole

sécuriser le système, mais cependant très controversées. • BitLocker Drive Encryption : programme destiné à permettre le chiffrement des partitions. (seulement pour version entreprise et intégral) • SuperFetch : technologie destinée à améliorer la vitesse d’ouverture et le temps de réponse des programmes les plus utilisés. • ReadyBoost : technologie permettant l’utilisation d’une clé USB à mémoire flash comme mémoire cache pour les accès au disque dur. • DirectX 10 : pour simple à gérer par les développeurs

Authentification(le serv envoi un message chifré avec la clé pub client, et regarde si le retour is good) 2 Repertoire a retenir : $HOME/.ssh sur la machine cliente et serveur, ainsi que /etc/ssh sur la machine serveur A chaque fois qu’on se connecte, la cnx est enregistrée dans (client) ~/.ssh/known_hosts” ssh -v (-vvv) : permet de se connecter en mode debeug. ssh-keygen -l : permet d’afficher le fingerprint à partir d’une clé publique. Les clés sont stockées dans (serveur) /etc/ssh/ssh_host_rsa_key

descriptives (nom, adresse…) regroupées dans un inode. Sécurité et contrôle des fichiers : le SGF permet le partage des fichiers par différents programmes d’applications tout en assurant la sécurité et la confidentialité des données. En effet, un nom et une clé de protection sont associés à chaque fichier afin de le protéger contre tout accès non autorisé ou mal intentionné lors du partage des fichiers. Le SGF se doit aussi de garantir la conservation des fichiers en cas de panne du matériel ou du logiciel

certification installé sur les postes des commerciaux. 2.1 Il s’agit de deux techniques de chiffrement des trames. WPA est plus performant que WEP, considéré aujourd’hui comme insuffisant en terme de sécurité (trop facile à « craquer »). WEP s’appuie sur des clés relativement courtes (de 64, 128 ou 256 bits) mais surtout sur un cryptage de flux par un vecteur d’initialisation de 24 bits, ce qui permet de découvrir la clé après une écoute passive de quelques heures seulement. WPA peut utiliser le protocole