Cliché

pour modèle (C/D). Pistes pour répondre (comparaison B / A) : - Réécriture par le même auteur : on peut déceler un effort de style dans la version romanesque (texte B) - Nous sommes face à deux éloges - Deux scènes de 1ere rencontre (= un cliché dans la littérature) - Une intrigue quasi identique : la même anecdote. Texte A = perte du manteau, texte B = châle qui s’échappe (plus poétique). - Récurrence des mêmes détails - Expressions ou mots proches On pouvait évidemment montrer en

qu’elle devient usée et banale, elle se transforme : - en expression lexicalisée : Ex : fondre en larmes, prendre ses jambes à son cou ; verser des torrents de larmes ; être doux comme un mouton, une bouche d'égout, les bras d'un fauteuil… en cliché : Ex : des cheveux d’or ; un cœur de pierre… Les figures de substitution (Elles remplacent un terme par un autre terme ou par toute une expression ) : Métonymie Elle remplace un mot par un autre mot selon un lien Ex : Je viens de lire un Zola

fameuse ménagère. Elle se retrouvera principalement dans les publicités dont les femmes sont la cible première des produits : lessive, eau de javel, produit vaisselle, aspirateur, etc.  Multi Mania représente une superbe bimbo nunuche, véritable cliché de « la blonde » pour dire que son produit est facile d’utilisation "pas besoin d'être brune pour créer son site". Axe et son fameux slogan « plus t’en mets, plus t’en as » met en scène la femme sauvage et primaire. Enfin, il existe la femme

malgré son apparence joviale, comique et joueuse, a un très mauvais fond caractérisé par un sadisme et une cruauté sans limites. Origine du stéréotype du clown maléfique[modifier] Le personnage du clown, stéréotypé par définition, est devenu un cliché et a été sujet à des détournements : au sens propre, le clown est un personnage comique, son interprète cherche à répandre le bonheur ; on peut alors, par antithèse, imaginer un clown triste (qui ne pourra répandre le bonheur), ou un clown qui cherche

Clichés numéro 1 : les femmes sont obéissantes et les hommes dominants : l’homme est au-dessus de la femme pour montrer qu’il domine dans le couple et l’homme montre sapuissance par sa virilité avec le blouson de cuir et la cigarette et le fait qu’il regarde sa femme d’un air supérieur . la femme obeit on voit qu’elle est soumise par le fait que sa bretelle soit tombée . Clichés numéro 2 : les femmes à la maison, les hommes travaillent on voit que l’homme travaille puisqu’il est devant

Vers | Procédés formels | Explications | «J’ai blanchi toute une nuit»(vers 1) | Métaphore | L’émettrice veut dire qu’elle a passé la nuit éveillée. | «Noircir les feuilles de mes pensées»(vers 3) | Métaphore | L’émettrice veut dire qu’elle a rayé les pensées qui la contrariaient. | «Arracher des morceaux de ma vie/ Comme on déchire les pages d’un cahier»(vers 4-5) | Comparaison | Elle a passé la nuit à effacer de sa pensée des souvenirs dont elle veut oublier. | «Partir à tous les

la comparaison Elle établit un rapprochement entre deux termes, grâce à un élément grammatical (comme, tel que, ressembler à, etc.) à partir d'un élément qui leur est commun. Elle a deux valeurs : elle explique par une image et elle met en relation deux univers. "tes larmes que j'ai avalées, petite amie, étaient salées comme une herbe de marée." (Francis Jammes) la métaphore Elle établit un assimilation entre deux termes. Il n'existe pas de terme de comparaison entre le comparé et le

La comparaison : elle consiste à rapprocher deux éléments, un comparé et un comparant, pour en souligner les ressemblances ou les différences. Le rapprochement des deux termes se fait au moyen d’un outil de comparaison. Ex : Les dauphins (terme comparé) alentour sautent comme (outil de comparaison) des carpes (terme comparé). La métaphore : comme la comparaison, elle rapproche deux éléments, mais sans les relier par un outil de comparaison. Ex : L’aurore est un cheval La métonymie : cette

Le premier des droits de l’homme c’est la liberté individuelle, la liberté de la propriété, la liberté de la pensée, la liberté du travail, à si bien citer Jean Jaurès. C’est ce que nous prouve la pièce de théâtre « le libertin» d’Éric-Emmanuel Schmitt. Dans cette pièce, nous voyons une forme de libertinage que jamais nous aurions cru posséder dans notre société. La philosophie des personnages est très différente de ce que nous avons l’habitude de croire normal. Selon moi, dans ce texte nous voyons

Mme Tazi des mimiques plus qu’il n’en faut : Le snobisme est un phénomène de société récent, un phénomène d’actualité. Plusieurs artistes ses sont donc intéressés au sujet, et l’ont utilisé de manières différentes. Prenons par exemple, le grand humoriste Gad Elmaleh qui lors de son sketch « Décalage » s’est inspiré d’une marocaine pour caricaturer toute une classe sociale (la bourgeoisie marocaine qui cherche à se différencier) Mme Tazi est donc un stéréotype d’une snob marocaine. Devenant une