Clémenceau Discours Chambre Des Députés

fédérations il existe deux chambres du parlement, la première qui a à vocation de représenter les Etats, la seconde, qui a vocation de représenter le peuple. Si l'on prend en considération les USA, c'est le sénat américain qui est la chambre de représentation des Etats selon le fédéralisme intégral, celui dans lequel chaque Etat est représenté dans les mêmes conditions. Que ce soit la Californie (60M habt) ou l’Arkansas (5M habt) ils possèdent deux voix. En Allemagne, la chambre qui représente les Länder

sur une défense des traditions religieuses et des hiérarchies acceptées. Dans ce régime représentatif, la liberté est ajustée aux grands propriétaires.
Chapitre 2 : L’échec d’un compromis entre l’Ancien Régime et la Révolution La Chambre : la Chambre des députés, au même pied d’égalité que le Sénat Monarchie constitutionnelle : Monarchie dans laquelle les pouvoirs du monarque sont soumis et limités par une constitution Monarchie parlementaire : monarchie constitutionnelle avec en plus une

elle n’a pas de constitution formelle (pas de norme qui ait une valeur supérieure à la loi) (seulement une constitution matérielle = chez eux la loi), pourtant ses libertés sont garanties. En une loi d’une seule phrase la place héréditaire dans la Chambre des Lords a par ex été modifiée. Les définitions formelles et matérielles ne coïncident pas. Une norme contenue dans un texte peut être constitutionnelle formellement mais non pas matériellement. L’exemple le plus célèbre est celui d’une disposition

nouvelle assemblée est prévue, la Convention. Cette convention est partagée en 3 groupes : les girondins, qui lutte contre les montagnards les montagnards : députés à gauche dont Robespierre, Marat, Danton. Ils militent pour une république démocratique, centralisée et égalitaire. Ils vont éliminer des députés girondins. la plaine (députés avec des idées centristes, ils sont les plus nombreux). Une nouvelle Constitution est votée en juin 1793. Dans cette période instable se pose la question militaire

propagandes nationalistes poussent à la guerre, A Berlin les arguments portent sur l’extension coloniale. Des campagnes ont lieux pour exciter le chauvinisme de part et d’autre. La victime de ce chauvinisme est Jean Jaures qui est assassiné en 1914. (Député socialiste, chef de fil du PS, tué à coup de revolver par un déséquilibré. Sa position était pacifique, partisan de la paix). Cependant les français ne sont pas du tout favorable à la guerre. Les hommes d’affaires ont toujours surmonté les rivalités

Gouvernement et Assemblées). Ce sont des conseillers privés et individuels du roi, qui les nomme et qui peut les révoquer à tout moment. Le Roi peut dissoudre la Chambre des Députés. * D´autre part, il s´agit de bicamérisme égalitaire (deux chambres ont les mêmes pouvoirs) entre la Chambre des pairs héréditaires et la Chambre des députés élus au suffrage restreint. b. Etablissement progressif du régime parlementaire Quatre éléments ont été favorables à l´avènement du régime parlementaire

Versailles. Pour les Allemands, ce traité de paix signé en juin 1919 est un « Diktat » inacceptable, d’une part parce qu’il est jugé humiliant, d’autre part parce qu’il a été « dicté » sans négociation par les quatre « Grands » (USA, RU, Fce, It). Et Clemenceau est parvenu à faire triompher le point de vue de la France, qui espérait assurer sa sécurité en « mettant l’Allemagne à genoux ». Les sanctions envers l’Allemagne sont de trois types (transparent traité de Versailles) : - militaires : suppression

avec les diplomates britanniques, Georges Picot réclame au nom de la France, un protectorat sur une « Syrie intégrale » ou « Syrie naturelle ». Les responsables britanniques sont effarés par l'ampleur territoriale de ces demandes. Et en décembre, le député conservateur Mark Sykes est invité a se joindre aux négociations. Sa connaissance de l'Orient en fait rapidement le principal interlocuteur de Georges Picot. Le 4 janvier 1916, Sykes et Georges Picot rédigent un mémorandum qui va servir de cadre aux

importante question, celle de savoir comment la concilier avec la prérogative royale ? Car, enfin, on ne pouvait empêcher que le roi eût un statut spécial, qu'il ne fût effectivement pas nommé par le peuple, qu'il ne se situât pas à égalité avec des députés, qu'il profitât d'une tradition du pouvoir... Y aurait-il deux souverainetés ? Cela semblait à la fois impossible et presque inévitable. Ou bien une souveraineté absolue et une souveraineté partielle ? Ou bien la seule souveraineté populaire à laquelle

lendemain de son adoption en Conseil des ministres. Tout est fait dans le rituel et le décor choisis pour affirmer la volonté de continuité républicaine. Les discours des orateurs (en plus de celui du général) insistent sur les régimes 7 républicains antérieurs (moins sur la IVe) et sur les grands hommes républicains tels Gambetta, Clemenceau, Jaurès, Lyautey. André Malraux évoque la Résistance et la France libre : « Et la République crie à tous les Français ce que leur disait naguère la voix