Coalition sociale-libérale

A partir de 1922, Benito Mussolini instaure en Italie un nouveau type de dictature : Le fascisme. En réaction aux valeurs héritées des Lumières et à la démocratie libérale, il place l’Etat au dessus de l’individu, supprime les libertés fondamentales et aspire à retrouver la grandeur de l’Empire romain. Grâce à une police politique dans scrupule et à un parti unique, il contrôle et embrigade étroitement la population. Centré sur l’exaltation de la Nation, le fascisme italien s’impose ainsi comme

articulé autour de trois axes principaux à savoir analyser en quoi la démocratie constitue un frein au développement d’un pays sur le plan politique, économique et social. ISUR LE PLAN POLITIQUE Argument 1 : A un niveau institutionnel il y a de sérieuses menaces de fragilisation du Pouvoir Le rôle accru des organisations politiques et sociales dans le jeu politique modifie les règles de la démocratie. Les groupes s'érigent en contre-pouvoirs et prennent leur autonomie visà-vis du pouvoir politique,

la République de Weimar est contestée. Son crime, aux yeux de l’opinion nationaliste est d’avoir ratifié le Diktat de Versailles. Jusqu’en 1923, la République de Weimar s’appuie sur une coalition de centre gauche rassemblant le Zentrum (Centre Catholique), le DDP (parti démocrate), et le SPD (parti social-démocrate). Après 1924, le DVP (Deutsche Volkspartei) ou parti populaire de Stresemann se rallie à la République. L’opposition au régime vient des extrêmes : A droite, le Parti National Allemand

des idées libérales et républicaines à travers les frontières. Les signataires du traité s’engagent à lutter contre toute propagande de même nature à l’extérieur de leurs propres frontières en intervenant si besoin dans les affaires intérieures des autres pays d’Europe même non signataires du traité. L’exemple caractéristique est la France de Louis XVIII mandatée par la Sainte Alliance pour intervenir en Espagne afin de rétablir la monarchie absolue du roi Ferdinand VII auquel les libéraux espagnols

froide est d’abord un conflit idéologique entre les deux anciens alliés de la 2°GM, les EU et l’URSS [Union des Républiques Socialistes Soviétiques] qui incarnent et défendent 2 modèles politiques, économiques et sociaux opposés : - le communisme pour l’URSS - la démocratie libérale et l’économie capitaliste pour les EU Parce que chacune de ces deux idéologies a pour ambition de s’étendre au monde entier, elles finissent par s’affronter. b) Une méfiance croissante et réciproque

organisée des élections libres où les vainqueurs forment une coalition. Selon Truman, la pauvreté nourrit le basculement au communisme. C'est pourquoi est mis en place le plan Marshall dont le but est d'empêcher l'expansion du communisme en rétablissant l'économie et stimuler le commerce extérieur. Tous les pays européens sont concernés mais l'URSS et les pays satellites refusent sous la pression de Staline. Ce sont donc 16 pays libéraux qui acceptent cette aide financière. De ce plan aboutit une

nombreux syndicalistes entrent dans les réseaux de résistance. Des actions sont menées conjointement par la CGT et la CFTC. 1944 : création de la CGC – Confédération Générale des Cadres. Institution des Comités d’entreprise et de la Sécurité Sociale 1946 : après la guerre, est posée la question du cumul des mandats politiques et syndicaux. Le non-cumul est adopté en février. 1947 : les tensions de la guerre froide entre l’Est et L’Ouest rejaillissent dans les débats internes aux syndicats

landside was setting up the Wefare state. This idea of comprehensive social reform, which was one of the key factors in explaining the labour landside in 1945, was not a new concept. The concept's real birth can be situated around the end of the Victorian period and first moves in western Europe towards reform where attempted well before 1945. One could use Loyd George's period as chancellor of the exchequer or Bismarck's reformist social policies in Germany as timid infancies of a concept who globally

en termes d'éducation. L'ouvrier sait aussi mieux se défendre face à son patron. Loisirs plus intéressants, plus divers et plus accessibles. Désenclavement social et culturel des Français. Modernisation économique du pays, dans un ensemble privilégié de l'Europe Occidentale. La vie s'y révèle moins rude qu'ailleurs, pour tous rangs sociaux. Cependant, la France ,en retard sur le reste de l'Europe, a su conduire les modernisations de l'industrie, des voies de communication, … L'effort d'adaptation

années après sa fin, le conflit sera à l’origine de changements sociaux et politiques importants. Comme les conséquences de la guerre ont été tres vastes, cet essai se limitera à étudier les faits qui se sont manifestés dans la période 1918-25. Ainsi on se concentrera sur les conséquences les plus immédiates de la guerre. On commencera par les pertes humaines, matérielles et financières, avant de focaliser sur les aspects sociaux, culturels et politiques de la France d’après-guerre. En 1918