Coca Cola Et Capitalisme

XVème, début XVIème) 7 III. Le développement de l’économie de l’Europe occidentale 7 A. Le facteur des développements 7 B. La révolution industrielle 8 IV. Evolution du XXème siècle 8 V. Evolutions des systèmes d’économie 8 A. Le libéralisme et le capitalisme initial 8 B. Les réactions socialistes ou communistes 9 C. Le néocapitalisme 9 Chapitre 2. L'entreprise « système organisé » 10 I. Vision statique - l'entreprise cellule économique 10 II. Vision dynamique - l'entreprise système 10 Chapitre 3. Typologie

consommation. Pays du sud → accentuée leur dépendance, plus vulnérables en les considérants comme états périphériques (pas d’existence en dehors de la mondialisation) 3) Des risques lourds ¤Standardisation de la consommation, consommer tous pareil (Coca Cola ®) ¤ Montée des revendications identitaires, on chercher à se démarquer d’une puissance extérieure → on tombe dans des revendications + ou – violentes (Corses/Bretons). Problèmes d’intégrations liés à l’explosion des frontières. B- Vers un

saison 2003-2004 sont de 236 millions d’Euros.  (2). En dix ans, la Chine est passée du rang de quinzième puissance commerciale au monde à celui de quatrième en 2004.  II.3.1. Quelques manifestations de la globalisation « suite »   (3). Coca-Cola est présent dans deux cents pays et 70 % de ses ventes sont réalisés hors Etats-Unis. (4). De parfaites copies de DVD de films à peine sortis à Hollywood s’achètent pour l’équivalent de 2 Euros dans les rues de Casablanca, de Lima, ou de Bangkok

amis, groupe, … Besoins d’estime/de réalisation : travail, utilité, responsabilités, … Un besoin n’est pas un désir. Un désir n’est pas un besoin. Besoins limités et existent dans la nature Ex : besoin de boire (physiologique) MAIS désir de Coca-Cola Pourquoi une pyramide ? Parce que la base est plus importante et représente les besoins indispensables à satisfaire avant de satisfaire les autres. Ex : si on meurt de soif, on va d’abord chercher à boire, pas à se sentir en sécurité. Cas spéciaux

résistant à l’impérialisme américain, ses films à gros budget, sa façon ostentatoire d’afficher son « American Way Of Life » En ligne de mire de cette désacralisation, la présence grandissante et de façon plus ou moins discrète des marques, symbole du capitalisme et de la rentabilité qui semble s’opposer par essence à la création. La France peine à accepter la présence d’annonceurs dans ce qu’elle voit toujours comme un art libéré de toute contrainte mercantile. Et pourtant, encore plus aujourd’hui qu’hier

techniciens, ingénieurs et chercheurs). La population constitue un important marché de consommation intérieure (niveau de vie des 300 millions d’Américains qui favorise le développement industriel). - Une organisation économique performante : Pays du capitalisme et de la libre entreprise, les Etats-Unis encouragent l'initiative privée (concurrence et esprit d'innovation). Les méthodes de production (taylorisme) et de vente (marketing, publicité) sont très performantes. Les industries traditionnelles connaissent

Cologne) et de fer (Lorraine/Luxembourg) : sur la plupart de ces gisements, sidérurgie et industrie chimique firent pendant plus d'un siècle la richesse de l'Europe rhénane, Ruhr en tête. Alors s'édifièrent des fortunes considérables qui fondèrent le capitalisme rhénan : les Krupp, les Mannesmann et les Thyssen (sidérurgie), Friedrich Bayer (chimie) venaient de Rhénanie‑Westphalie et constituèrent de vastes empires industriels. De plus, elle est très importante économiquement dans la mesure où les activités

signifier un esprit démocratique. En revanche, pour la droite, il est souvent associé au « rêve américain » (American dream). Concrètement, le modèle de vie américain c’est : La consommation à l’excès (supermarket lady), la « famille type » et le capitalisme poussé à son paroxysme. Ce modèle de vie est représenté par l'image de la « famille type »de la classe moyenne. Ce concept à vu le jour durant les 30 Glorieuses, lorsqu'il était nécessaire pour l'économie américaine de se relancer. Cette famille

progressive du système capitaliste dans l’espace géographique mondial. La « victoire » du capitalisme sur le bloc de l’URSS (à partir des années 1991) renforce cette idée d’extension spatiale du capitalisme. Certains parlent alors d’« économie-monde » avec un marché qui serait planétaire et uniformisé et qui, par conséquent, négligerait les spécificités des sociétés. Certains produits emblématiques comme Coca Cola ou Mc Donald répondent bien à cette définition, mais est-ce le cas pour tous les produits

amis, groupe, … Besoins d’estime/de réalisation : travail, utilité, responsabilités, … Un besoin n’est pas un désir. Un désir n’est pas un besoin. Besoins limités et existent dans la nature Ex : besoin de boire (physiologique) MAIS désir de Coca-Cola Pourquoi une pyramide ? Parce que la base est plus importante et représente les besoins indispensables à satisfaire avant de satisfaire les autres. Ex : si on meurt de soif, on va d’abord chercher à boire, pas à se sentir en sécurité. Cas