Cocarde

A gauche, agrippé aux pavés, les yeux dilatés, porte le bonnet de police. A droite, devant la Liberté, il y a un garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice et du sacrifice pour les nobles causes. L’homme au béret Il porte la cocarde blanche des monarchistes et le nœud de ruban rouge des libéraux. C’est un ouvrier avec une banderole porte-sabre et un sabre. L’homme au chapeau haut de forme, à genoux Un bourgeois ou un citadin à la mode, le pantalon large et la ceinture de

personnage en relation avec le gavroche des Misérables de V.Hugo*. A gauche de la femme qui symbolise la liberté se tient un homme coiffé d’un chapeau haut de forme sans doute « un bourgeois éclairé ». A l’extrême gauche du tableau un homme porte la cocarde blanche des monarchistes. C’est un artisan ou un ouvrier. Au pied de la femme le personnage en chemise possède la ceinture rouge, symbole des paysans. En conclusion : Le tableau glorifie le peuple citoyen « noble, beau et grand ». Il témoigne du

Avant d'être drapeau, le tricolore fut cocarde , , le blanc représentant la monarchie, le bleu et le rouge, la ville de Paris, 1790, l'Assemblée constituante décide que tous les vaisseaux de guerre et navires de commerce français porteront un pavillon verticale aux trois bandes verticales : rouge près de la hampe, blanc au centre et cette bande sera plus large que les autres, bleu enfin Le drapeau tricolore ne prend sa forme définitive que le 15 février 1794, La légende voudrait que ce soit le

rôle de la royauté absolue , par exemple : le fait que le 27 juin 1789 il ait cédé aux revendication écrites dans les cahiers de doléance et renonce aux trois ordres et accepte la création d’une assemblée constituante. Le 17 juillet il adopte la cocarde tricolore(-> a définir),21 octobre drapeau tricolore 14 juillet 1790 il ait assisté à la fête de la fédération, l’évènement plus important des révolutionnaires ou son image était en danger. Le 13 septembre, il a volontairement approuvé la Constitution

plus tard. La giberne, trop grande, en bandoulière, les pistolets de cavalerie aux mains, il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. Il exhorte au combat les insurgés. L’homme au béret. Il porte la cocarde blanche des monarchistes et le nœud de ruban rouge des libéraux. C’est un ouvrier avec une banderolle porte-sabre et un sabre des compagnies d’élite d’infanterie, modèle 1816, ou briquet. L’habit – tablier et pantalon à pont – est celui d’un manufacturier

du système solaire c’est la terre. Et c’est à partir de 3 couleurs primaires, le bleu le rouge et le vert que toutes les autres couleurs prennent naissances. Au travers du drapeau tricolore également je commence saisir une signification, la cocarde parisienne révolutionnaire de la prise de la Bastille, rouge et bleu, à trouver sa pérennité et sa sérénité avec le blanc, emblème du royaume de France… c’est notre république qui est le fruit de ce mélange. Il y a le temps qui se décompose en

l’injustice et du sacrifice pour les nobles causes. La giberne, trop grande, en bandoulière, les pistolets de cavalerie aux mains, il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. L’homme au béret Il porte la cocarde blanche des monarchistes et le nœud de ruban rouge des libéraux. C’est un ouvrier avec une banderolle porte-sabre et un sabre des compagnies d’élite d’infanterie, modèle 1816, ou briquet. L’habit – tablier et pantalon à pont – est celui d’un manufacturier

Flesselles. Au milieu d’une foule déchaînée, ils décident de former un «comité permanent» et prennent la décision de créer une «milice bourgeoise» de 48 000 hommes, afin de limiter les désordres. Chaque homme portera comme marque distinctive une cocarde aux couleurs de Paris, rouge et bleu. Pour armer cette milice, les émeutiers mettent à sac le Garde-Meuble où sont entreposées des armes, mais aussi des collections anciennes. Sur ordre de Jacques de Flesselles, 50 000 piques furent forgées. La foule

tué son gouverneur et ses soldats) sur les lieux de la révolte populaire. Il est accueilli par le maire de Paris (élu après les insurrections) et accepte d’accrocher une cocarde tricolore, insigne de la révolution (blanc révolution et rouge te bleu couleurs de Paris), et de paraître au balcon de la mairie. En acceptant cette cocarde il accepte une alliance entre la monarchie et les insurrections. A cette date le pays est monarchiste et le roi est acclamé à Paris. La révolte ne s’arrête pas là, elle

tableau », c’est dans un journal d’opposition. D’autres journaux, monarchistes se montrent plus nuancés. Sa composition va aussi plaider pour l’égalité des races ; ce métisse brandit un drapeau qui fait un clin d’œil au républicain car il y a la cocarde tricolore. Le rapport avec la restauration n’est pas compliqué. Libre à lui de faire fonctionner sa mémoire. L’anecdote d’Henri IV est l’occasion de rappeler l’Histoire du peuple. Est montré comment se constitue une histoire collective. Le choix