Cocarde

plus tard. La giberne, trop grande, en bandoulière, les pistolets de cavalerie aux mains, il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. Il exhorte au combat les insurgés. L’homme au béret Il porte la cocarde blanche des monarchistes et le nœud de ruban rouge des libéraux. C’est un ouvrier avec une banderolle porte-sabre et un sabre des compagnies d’élite d’infanterie, modèle 1816, ou briquet. L’habit – tablier et pantalon à pont – est celui d’un manufacturier

pied avec leur livrée bleu sombre, leurs culottes mastic et leurs gilets rayés noir et jaune, se tenaient raides, graves et patients, comme des laquais de bonne maison qu’un embarras de voiture ne parvient pas à fâcher. Leurs chapeaux, ornés d'une cocarde noire, avaient une grande dignité. Seuls, les chevaux, un superbe attelas bai2, soufflaient d'impatience. « Tiens, dit Maxime, Laure d'Aurigny, là-bas, dans ce coupé... Vois donc, Renée. » Renée se souleva légèrement, cligna les yeux, avec cette

la philosophie. Poème : Déjà plus d'une feuille sèche Parsème les gazons jaunis ; Soir et matin, la brise est fraîche, Hélas ! les beaux jours sont finis ! On voit s'ouvrir les fleurs que garde Le jardin, pour dernier trésor : Le dahlia met sa cocarde Et le souci sa toque d'or. La pluie au bassin fait des bulles ; Les hirondelles sur le toit Tiennent des conciliabules : Voici l'hiver, voici le froid ! Elles s'assemblent par centaines, Se concertant pour le départ. L'une dit : " Oh ! que dans

personnages : à gauche Georges Bonnet (il est anticommuniste, pendant la guerre il se range du côté du maréchal Pétain) ministre français des affaires étrangères d'avril 1938 à septembre 1939. Au centre on trouve un coq portant un bonnet phrygien avec la cocarde tricolore. Derrière lui Hitler, la main tatouée de la croix gammée et vêtu d'un tablier, aiguise son couteau. Attitude et expression des personnages Grâce à la légende on sait que Bonnet déclare au coq : « N'ayez pas peur, Hitler est végétarien »

France. C’est l’anarchie. Jean Sylvain Bailly, président de l’Assemblée Nationale, décrit Paris comme la ville où « Tout le monde savait commander et personne obéir ». Le 17 juillet, Louis XVI se rend à l’hôtel de ville à Paris où on lui fixe une cocarde tricolore à son chapeau, un geste humiliant pour la monarchie. Le Roi est obligé de rappelé Necker sous la pression et enlevé ses soldat qui encerclait Paris mais cela ne suffit pas à calmer la colère des parisiens qui a gagné les paysans dans les

avec leur livrée bleu sombre, leurs culottes mastic et leurs gilets rayés noir et jaune, se tenaient raides, graves et patients, comme des laquais de bonne maison qu’un embarras de voitures ne parvient pas à fâcher. Leurs chapeaux, ornés d’une cocarde noire, avaient une grande dignité. Seuls, les chevaux, un superbe attelage bai, soufflaient d’impatience. « Tiens, dit Maxime, Laure d’Aurigny, là-bas, dans ce coupé... Vois donc, Renée. » Renée se souleva légèrement, cligna les yeux, avec

peinture morale. De plus, en peignant un serment, David s’engage lui-même pour son pays. Ce tableau a donc une dimension personnelle pour le peintre. Bien qu’en 1785, le drapeau tricolore ne fût pas encore le symbole de la Révolution française, la cocarde tricolore avait déjà été utilisée par Lafayette comme signe de la modernité française. Il n’est donc pas étonnant que la présence de ces trois couleurs sur le premier Horace ait fait de ce tableau un symbole fort de la Révolution. Toutefois nous ne

renvoi de Necker par le roi, alors très populaire, alarme les parisiens. Le 14 juillet, les parisiens prennent la bastille d’assaut, la prison royale, symbole de l’arbitraire. Après la Bastille, le roi se déplace lui-m^eme juqu’à Paris et accepte la cocarde bleue et rouge. L’abolition des privilèges la nuit du 4 Aout n’est alors signée par le roi que le 5 Octobre. Le roi est alors ramené avec sa famille au Palais des Tuileries, il est alors désacralisé, et le peuple prend désormais le pouvoir sur lui

nombreux citoyens, parmi lesquels on trouve les députés échangeant leurs points de vue sur le procès verbal, et les pétitionnaires venant réclamer la baisse des prix des produits de consommation et l'égalité sociale. De nombreux français arborent la cocarde tricolore afin de montrer leur position politique et beaucoup adhèrent à un club, lieu de réunion où l'on discute des questions politiques. Les femmes aussi souhaitent trouver leur place dans cette nouvelle organisation et créent des clubs de femmes

cède pas : il renvoie Necker et concentre des troupes autour de Paris. La foule parisienne réagit et s'empare le 14 juillet de la prison de la Bastille, symbole de l'absolutisme royal. Louis XVI en tire les conséquences, rappelle Necker et arbore la cocarde parisienne, bleue et rouge. Dans les campagnes, l'agitation prend une ampleur considérable avec le phénomène de la « Grande Peur ». Les paysans se soulèvent contre le régime féodal et pour apaiser la situation, l'Assemblée vote dans la nuit du